
On a assisté aux Olympiades de la physique… et c'est pas du gâteau !
polytechnique
, sur le plateau de Saclay (Essonne). Si ce ne sont d'étranges cliquetis de règles métalliques et d'inattendus bruissements de sable. Il est pourtant loin d'être vide. Sous les deux bustes d'Henri Poincaré et d'Augustin Fresnel, anciens polytechniciens, une longue rangée de sacs à dos indique la tenue du concours.
Dans les centaines de box alignées, 400 candidats planchent, dos voûté, sur l'épreuve expérimentale, des
Olympiades internationales de physique
. À l'entrée de chacune de ces boîtes, une feuille affiche le drapeau du pays d'origine des participants. 87 délégations sont présentes. « Ils disposent aussi chacun de trois autres drapeaux s'ils ont besoin d'aller aux toilettes, d'avoir de l'eau ou de demander de l'aide », explique un bénévole.
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