Renault plonge comme Stellantis, Ferrari résiste : faut-il s'intéresser aux actions des constructeurs auto ?
Renault et Stellantis sont particulièrement chahutés en Bourse par le départ de son patron pour l'un et des difficultés sur le marché américain pour l'autre. D'autres raisons comme la concurrence chinoise, mais également le retard technologique sont à l'origine de la méforme du secteur automobile.
Depuis de nombreux mois, les valeurs automobiles sont confrontées à de nombreux défis qui mettent le secteur au pied du mur. Les droits de douane de Donald Trump, la montée en puissance des constructeurs chinois et le retard européen sur la Recherche et Développement (R&D) font partie des principales problématiques. «Le secteur automobile a des difficultés en Bourse, mais il n'y a pas une seule raison, toutes les valeurs ont une spécificité qui amène à cette méforme», souligne Damien Mariette, gérant thématique senior chez CPRAM.
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Dans ce contexte, le secteur automobile européen se montre particulièrement moribond avec une perte de plus de 30% pour Stellantis ou encore de 12% de Renault : «Dans une vision assez simpliste, le marché a partagé le secteur entre ceux qui vont mourir, comme Stellantis ou Volkswagen, et ceux qui vont survivre comme BMW, Mercedes ou BYD», estime Matéis Mouflet, analyste de marchés chez XTB France.
La dernière secousse pour les marchés financiers provient des…
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