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« Drag Race France » : Mami Watta a mis Shy'm immédiatement dans l'ambiance avec cette blague

« Drag Race France » : Mami Watta a mis Shy'm immédiatement dans l'ambiance avec cette blague

TÉLÉVISION - Le plongeon raté de Shy'm dans la foule, en 2015 ? Personne ne l'a oublié. Et certainement pas Mami Watta. La finaliste de Drag Race France, de retour à l'occasion de l'édition « All Stars » de la compétition de drag-queens, a profité du premier épisode, diffusé ce jeudi 10 juillet, pour le rappeler.
Nous sommes dans la deuxième partie de l'épisode. L'ensemble du jury - composé cette année de l'interprète d' Et alors, Loïc Prigent, Daphné Bürki et Nicky Doll (rejoints exceptionnellement par Thomas Jolly) - assiste au défi de la semaine, le « Talent show », épreuve durant laquelle les candidates défilent devant eux pour leur faire un numéro.
Mami Watta, elle, a choisi l'humour. « Bonsoir, lance-t-elle en arrivant sur scène tout en criant. Bienvenue à mon make-up show. » Vêtue d'une robe noire à paillettes aux airs de smoking et d'une baguette de magicienne, la star commence : « Vous me connaissez, j'aime bien les minijupes. Je vais essayer de rendre cette robe plus courte. »
C'est un échec. Sa longue perruque s'envole. Ce sont ses cheveux, devenus rouges, qui ont rétréci. « J'ai raté, euh… Comme le plongeon de Shy'm à Bercy », regrette-t-elle non sans ironie, en pointant du doigt la jurée. Nouvel éclat de rire dans l'assemblée.
Connue pour ses gaffes et sa spontanéité « lé-gen-daire », la drag-queen originaire de Côte d'Ivoire fait, ici, référence à ce concert de Shy'm en 2015 à Bercy, au cours duquel la chanteuse s'est lancée dans le public, qui ne l'a pas rattrapée. Devenue un mème, la chute lui avait tout de même valu de perdre une dent, son incisive droite.
« Shy'm à l'envers »
La blague de côté, Mami Watta poursuit son show. Elle sort un jeu de cartes. « Nicky, j'ai besoin que tu en choisisses une », fait-elle à l'animatrice, avant de sauter de l'estrade pour rejoindre la drag-queen. Deuxième clin d'œil au plongeon : « Ouh Shy'm », souffle-t-elle après s'être réceptionnée, comme vous pouvez le voir dans l'extrait ci-dessous. C'est bon, la présidente du jury a pioché. Hop, la magicienne remonte. « Shy'm à l'envers », plaisante-t-elle de retour sur scène.
« Ça c'est très drôle », commente en pouffant de rire Daphné Bürki. Le tour de magie se termine, et Mami Watta hurle de joie en retrouvant la carte de Nicky Doll. « Maintenant, je vais disparaître sous vos yeux », annonce-t-elle, avant de jeter une poudre blanche dans les airs et de s'enfuir en courant.
Un comique de répétition, d'absurde et de « clownesque », que la principale intéressée dit sur X avoir préparé la veille du spectacle, en apprenant que Shy'm serait présente. Son humour a semble-t-il tapé dans l'œil du jury, puisque la drag-queen est sortie victorieuse de ce premier épisode, à l'issue duquel elle s'est vue remettre 2500 euros, et le choix cornélien de devoir éliminer l'une des deux candidates en bas du classement. Une nouvelle règle - fidèle à la franchise américaine - imposée cette saison.
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Le DJ Martin Solveig annonce prendre sa retraite sur la scène des Vieilles Charrues
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Le compositeur de 48 ans, figure incontournable de la «French Touch», a choisi Carhaix, dans le Finistère, pour clôturer sa carrière de DJ mondialement reconnue. Un clap de fin inattendu. Le DJ mondialement connu Martin Solveig a annoncé prendre sa retraite lors d'un ultime concert lors du festival des Vieilles Charrues, le samedi 19 juillet. Les organisateurs de l'événement avaient communiqué cette information quelques heures avant que l'artiste ne monte sur scène, auprès de nos confrères de Ouest-France . Auteur de cinq albums, le musicien de 48 ans a joué devant près de 70.000 personnes - et sous une pluie battante - pour faire ses adieux en grande pompe. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Si cette annonce a surpris beaucoup de fans, le compositeur des tubes «Hello» ou «All Stars» avait déjà évoqué la fin de sa carrière plus tôt dans l'année. Il avait notamment indiqué que son passage à Carhaix (Finistère) serait sa seule et unique représentation de l'année 2025, précise Le Télégramme . «C'est un festival mythique dans lequel j'ai déjà eu l'occasion d'aller plusieurs fois et j'ai eu la chance d'y jouer en 2012. Donc c'est très très excitant, ça va être pour moi LA date de l'année. J'espère que vous pourrez être là», avait-il déclaré. Publicité «C'était une surprise quand on nous l'a dit, il y a quelques semaines, que les Vieilles Charrues seraient sa seule date cette année, et qu'elle serait sa dernière», a déclaré le directeur du festival Jérôme Tréhorel à l'AFP. «C'est un immense honneur.» «Fais comme si c'était le dernier» Suspendu derrière sa platine samedi soir, l'artiste a remercié «du fond du cœur» le public de s'être déplacé. «C'est un moment spécial», a-t-il reconnu avant de livrer un discours d'adieu : «Toute ma vie, à chaque fois que je montais sur scène, je me suis dit : ''Fais comme si c'était le dernier''. Jusqu'au moment où cela arrive. Et à ce moment-là, t'es content d'être aux Vieilles Charrues.» «Parmi vous, certains me suivent depuis des dizaines d'années. Merci d'être venus, je sais que certains sont venus de loin. Certains parmi vous prendront ma place», a-t-il poursuivi avec émotion. Après un peu plus d'une heure Martin Solveig, le DJ a salué la foule, sa fille dans les bras. Martin Solveig, Martin Laurent Picandet de son vrai nom, a fait danser la planète pendant plus de 20 ans. Son morceau «Hello» a indéniablement marqué sa carrière. Il comptabilise sur Spotify plus de 114 millions d'écoutes et son clip iconique, qui le met en scène en tennisman affrontant Bob Sinclar dans le cadre d'un Roland Garros fictif - avec en invité Gaël Monfils et Novak Djokovic -, cumule plus de 2,4 millions de vues du YouTube. «French touch» Le DJ avait également brillé lors de la cérémonie de clôture des Jeux paralympiques de Paris, l'année dernière. Le compositeur avait transformé le Stade de France en dancefloor géant, aux côtés d'autres grands noms de la «French Touch» tel que le pape français de l'électro Jean-Michel Jarre. Martin Solveig avait rejoint ce courant musical dans les années 1990, devenant l'une des figures incontournables. Cela lui avait permis d'acquérir une reconnaissance dans le milieu de la musique électronique à l'international. Publicité Lancé en 2002 avec la reprise du titre «Madan» de Salif Keïta, Martin Solveig a enchaîné de nombreux succès. Il a aussi collaboré avec Madonna, produisant plusieurs titres de son album «MDNA» en 2012. Depuis plusieurs années, il semblait s'éloigner de la scène puisque en 2020, il a lancé Alma studio, une application audio d'histoires pour les enfants de 2 à 10 ans.

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Toujours en contact, nous nous offrons des cadeaux à Noël.» Préparer son voyage Service Le contenu de cet article a été rédigé de manière indépendante par la rédaction. Lorsque vous cliquez ou effectuez une réservation via nos liens partenaires, Le Figaro peut percevoir une commission. Réserver un voyage sur mesure Voir Réserver un autotour Voir La coquille saint Jacques sur laquelle Marie a peint le Petit Prince, en hommage à sa mère. Photo personnelle «J'ai ensuite rencontré dans un autre gîte ma '«maman du Camino'» : toutes les deux coiffées avec des tresses, les cheveux châtains et portant des lunettes, nous nous ressemblions tellement que tout le monde pensait que j'étais sa fille. Elle-même a perdu sa mère et a très bien compris pourquoi j'étais là. Lors de ce premier tronçon, j'avais peint sur une coquille saint-Jacques un dessin représentant le Petit Prince de Saint-Exupéry, le livre préféré de ma mère. Je l'ai laissée dans la chapelle Saint-Roch, en Lozère, avec un petit mot et mon adresse mail, demandant qu'elle soit emportée jusqu'à Santiago. La coquille est arrivée devant la cathédrale quelques mois plus tard, photo à l'appui ! Je sème mes aquarelles sur le chemin avec des messages spirituels et mon compte Instagram, sur lequel je reçois des messages très émouvants.» «L'ami américain» Jean, Nantais de 84 ans, a parcouru le chemin durant dix ans, étape après étape, partant tous les printemps avec un groupe d'amis. Dès le premier tronçon, il a fait la connaissance d'un Américain, Jerry, de Fairfield, dans le Connecticut, entre New York et Boston. «On a dîné ensemble dans un gîte et, embarqué avec un compatriote avec lequel ça ne se passait pas si bien, il a souhaité poursuivre avec nous. Jerry est revenu tous les ans accompagner notre petite équipe. Nous avons fait certains tronçons tous les deux, quand les autres n'étaient pas disponibles. 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Photo personnelle Pierre, professeur d'histoire parisien de 68 ans en train de corriger les épreuves du Bac, enchaîne les tronçons depuis 2019, entraîné par une collègue malgache. «Je marche péniblement vite, ce qui m'a valu de me faire tancer : freine un peu la cadence ! Je suis descendu de mon estrade et je me suis adapté au rythme des autres. Le chemin m'a obligé à réfléchir et à m'aligner sur mes compagnons de route. J'ai appris à passer du 'c'est moi qui décide' à 'comme tu veux' »». Le chemin m'a obligé à réfléchir et à m'aligner sur mes compagnons de route. J'ai appris à passer du 'c'est moi qui décide' à 'comme tu veux' «Un monde parallèle de bienveillance» Hervé a entrepris ce printemps une marche solidaire pour créer une cagnotte en ligne. Photo personnelle Publicité Hervé a entrepris ce printemps une marche solidaire pour créer une cagnotte en ligne au profit de Rose, touchée par une maladie orpheline, le trouble CDKL5. Ému par le témoignage des grands-parents de cette petite fille de 11 ans, dans le même club de randonnée que lui, cet élu local s'est lancé sur le chemin d'Arles, jusqu'à Sorèze, où il vit, dans le Tarn, 370 kilomètres en 14 jours. «J'ai eu l'impression d'avancer dans un monde parallèle, étonné par l'écoute et la bienveillance, sans jugement ni arrière-pensée», relève-t-il. Lors d'un bivouac près d'un lac, ce technicien informatique de 52 ans a dormi à côté d'un couple qui terminait sa randonnée. Ces derniers l'ont invité à faire halte chez eux, vers la fin de son tronçon : un bon repas, un vrai lit et une lessive, selon la règle de l'hospitalité millénaire. La cagnotte a atteint plus de 2000 euros. «Amies, nous nous sommes découvertes sœurs» Fouzia et Éliette ont formé un duo inédit entre Le Puy-en-Velay et Aumont-Aubrac. Photo personnelle Fouzia et Éliette sont amies d'enfance, grandies à Bobigny (Seine-Saint-Denis). 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Arrivée du quinté du dimanche 20 juillet : Major Oak tambour battant
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Arrivée du quinté : 2 - 9 - 1 - 16 - 7 Comme on pouvait s'y attendre, les candidats au quinté disputé la ligne droite de l'hippodrome des Princes de Condé se sont scindés en deux pelotons. Celui qui a galopé côté tribunes s'est avéré être le bon. Même s'il devait porter du poids, 59 kg en l'occurrence, Major Oak (n° 2) s'est montré le plus fort pour finir. D'abord attentiste, le pensionnaire de Marian Weissmeier s'est rapproché de lui-même avant de parfaitement répondre aux sollicitations de Clément Lecœuvre à environ 300 m du but, faisant dire à ce dernier : « Sa dernière sortie était bonne mais j'avais dû changer de ligne à trois reprises dans la phase finale. Ce dimanche, il a tout aussi bien accéléré mais on a eu le passage au bon moment. Il est en progrès et peut refaire parler de lui à ce niveau. » Confirmé sur cette distance et dans les handicaps, Simply Lovely (n° 9) n'a pu signer une troisième victoire de rang mais réalise une excellente performance en subtilisant le premier accessit à l'animateur, Ciao Pa' (n° 1), meilleur que jamais à l'heure actuelle. Habitué à disputer les deuxièmes épreuves, Goldfield (n° 16) démontre qu'il peut bien faire dans les quintés en prenant la quatrième place aux dépens de Scarface (n° 7), longtemps vu sur une première ligne et courageux jusqu'au bout. Dimitri Fortin indiquait le quarté dans le désordre en six chevaux.

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