
Votre maison est-elle prête pour la saison des inondations ?
Qu'est-ce qu'un XTRA?
XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs. Les journalistes et photographes de La Presse n'ont pas collaboré à ce contenu promotionnel.
La prévention avant tout
L'année 2024 s'impose comme la plus coûteuse jamais enregistrée au Canada pour des évènements météorologiques extrêmes1 : feux de forêt, pluies diluviennes et inondations, tempêtes de grêle records… Déterminée à soutenir des projets qui protègent les gens et les collectivités, Intact Assurance multiplie ses investissements en adaptation pour aider les gens d'ici à se préparer aux risques croissants. À cet effet, l'entreprise lance une initiative de prévention à l'échelle nationale.
Le programme Toujours Intact d'Intact Assurance propose des solutions concrètes aux Canadiens pour les aider à mieux se préparer aux phénomènes météo qui pourraient frapper leur communauté. Les mesures qui y sont répertoriées, dont plusieurs s'avèrent simples et abordables, permettent de réduire les risques liés à différents types d'évènements météorologiques extrêmes qui sont susceptibles d'affecter la population canadienne, notamment les inondations, les incendies de forêt et les épisodes de grêle.
L'été dernier, les vestiges de l'ouragan Debby ont causé près de 2,5 milliards de dollars de dommages assurés, selon le Bureau d'assurance du Canada. L'évènement est ainsi devenu le sinistre climatique le plus coûteux de l'histoire du Québec, surpassant la crise du verglas survenue en 1998.
Devenir plus résilients, un geste à la fois
S'adapter, ça peut prendre la forme d'actions aussi simples que la taille des haies autour de la maison pour aider à réduire le risque d'incendie, ou encore le nettoyage des gouttières pour aider à protéger la maison contre les infiltrations lors de fortes pluies. Que vous commenciez par de petits ajustements ou que vous entrepreniez des travaux plus importants, l'adaptation de votre propriété au climat changeant est une démarche proactive qui pourrait aider à réduire les répercussions négatives d'un sinistre.
C'est pourquoi le programme Toujours Intact met à votre disposition des astuces pratiques éprouvées. Il comprend également des guides adaptés, basés sur le risque, et tenant compte du budget et du type d'événement météo extrême.
Préparez votre domicile pour la saison des inondations
Les épisodes de pluies fortes entraînent chaque année des pertes matérielles et financières pour de nombreux propriétaires. Au Canada, 2 maisons sur 10 risquent d'être inondées2. Vous n'êtes pas en mesure de contrôler ni l'intensité des précipitations, ni les infrastructures vieillissantes, ni l'urbanisation dans votre secteur, mais vous pouvez aider à mieux protéger votre propre habitation.
Le coût moyen pour réparer un sous-sol inondé est plus de 40 000 $ 3, selon les recherches du Centre Intact d'adaptation au climat de l'Université de Waterloo.
Par exemple, avez-vous vérifié le bon fonctionnement de votre pompe de puisard récemment ? Retirez-vous fréquemment les feuilles mortes et d'autres débris pouvant obstruer vos gouttières ainsi que les égouts pluviaux ? Avez-vous pensé à transformer des surfaces imperméables de votre terrain en zone végétalisée ou en jardin de pluie ?
Des gestes comme ceux-là, que vous retrouverez parmi les mesures préventives et les outils répertoriés dans le programme Toujours Intact, pourraient réduire le risque d'infiltration et de dommages en cas de pluies abondantes. La bonne nouvelle : il est possible d'entreprendre ces mesures d'adaptation en moins d'une journée et à peu de frais. Cela représente bien peu d'efforts en comparaison des soucis occasionnés par la gestion d'un sinistre touchant votre habitation.
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La Presse
2 hours ago
- La Presse
Sommes-nous trop compétitifs ?
Si on est toujours dans la compétition, même dans nos loisirs, on peut avoir un problème de confiance et d'estime de soi, souligne le psychiatre Frédéric Fanget. La culture de la compétition et de la performance dans notre société ne date pas d'hier, mais elle peut parfois être à double tranchant Dans notre société axée sur la performance, peut-on encore courir ou jardiner pour le simple plaisir, sans rivaliser avec les autres ni montrer nos exploits ? Sommes-nous toujours dans un modèle de compétition en tout temps ? « On a hérité ça des Grecs ! Ça fait penser à la culture de la compétition en Grèce antique, la culture de l'Agon qui est une culture de la compétition sportive, intellectuelle, artistique. L'esprit de compétition se trouve à l'origine de la grandeur de la culture grecque, car la compétition pousse à l'excellence, au progrès et à l'innovation », croit Isabelle Chouinard, professeure de philosophie à l'UQAM. Selon elle, il y a clairement des origines culturelles lointaines à toujours vouloir se mesurer à autrui et rivaliser avec les autres. « Il y a de nombreux concours dans notre société, des concours sportifs, littéraires, gastronomiques, philosophiques, animaliers, les Oscars, les Félix, les Gémeaux, etc. Remporter un trophée ou une médaille, ça envoie le message qu'il faut être le meilleur, quel que soit le domaine, et on reproduit cela dans notre vie personnelle. » PHOTO ÉDOUARD DESROCHES, LA PRESSE Isabelle Chouinard, professeure de philosophie à l'Université du Québec à Montréal (UQAM) Attention, si on est toujours dans la compétition, même dans nos loisirs, on peut avoir un problème de confiance et d'estime de soi, souligne le psychiatre Frédéric Fanget. Il est toutefois normal, selon lui, de se prouver des choses à soi-même et on va tous à un moment donné dans notre vie prouver qu'on vaut quelque chose. Ce n'est alors pas pathologique. Si vous vous mettez à courir à 40 ou à 50 ans pour prouver que votre corps est encore capable, vous êtes dans une performance par rapport à vous-même. À condition que l'effort que vous faites reste un plaisir. Frédéric Fanget, psychiatre Ce qui compte, à ses yeux, c'est de connaître ses forces et ses faiblesses, et de ne pas viser l'inatteignable. « La performance, si c'est dans nos capacités, c'est bien pour notre santé mentale. Mais au-delà de nos compétences, on va être dans la souffrance. » L'aspect social Jocelyne Planche, 52 ans, participe à une ou deux courses organisées par année. Elle estime ne pas être une personne compétitive dans la vie, mais pour le sport, le sentiment de dépassement de soi entre en jeu. « Lors d'une compétition, tu as des sensations que tu n'as jamais eues auparavant, la vitesse, ton corps en mouvement, tes muscles en action. C'est incroyable, tu défies les limites de ton corps, tu le pousses au maximum, et la sensation est extrême, estime-t-elle. Ce n'est pas comme un petit jogging du samedi. » PHOTO FOURNIE PAR JOCELYNE PLANCHE Jocelyne Planche lors du demi-marathon d'Ottawa « Il y a un sentiment de communauté et de connexion très fort lors de ces évènements, ajoute-t-elle. Les gens avec qui tu cours deviennent des amis. Des groupes se créent, on se fixe des objectifs et on se retrouve en compétition ! » Il ne faut pas oublier l'attrait des réseaux sociaux. « On veut montrer nos exploits, ce qui crée une culture de performance qu'on retrouve dans d'autres sphères de nos vies. Par exemple, des parents sont dans la compétition et souhaitent que leur enfant soit toujours le meilleur », explique Fannie Valois-Nadeau, professeure en études culturelles et médiatiques à l'Université TELUQ. Cette mise en scène de la performance est omniprésente. « On aime recevoir des likes et être encouragé. Il y a aussi le phénomène des défis sportifs, des communautés se créent via les réseaux sociaux. » On court pour la bonne cause, on va participer à des collectes de fonds et à un défi physique. C'est une tendance qu'on observe de manière croissante, depuis 15 ans. Fannie Valois-Nadeau, professeure en études culturelles et médiatiques à l'Université TELUQ La professeure évoque aussi la culture matérielle qui s'est développée à travers la mise en marché d'équipements de sport à la fine pointe. Car on ne va pas courir en vieux jogging, on s'équipe (leggings, shorts, chaussures), ce qui accroît le côté compétitif. « Avec l'apparition des applications et des montres intelligentes, on va encore plus loin. Les données sont quantifiées sur notre course, et ces outils ont un effet aussi sur notre esprit de compétition. C'est très contemporain et cela concerne les gens les plus favorisés de la société. Il y a un statut de classe sociale qui vient avec la volonté de performer », précise Fannie Valois-Nadeau. Conditions favorables On peut toutefois se soustraire au modèle dominant de la performance, selon le psychiatre Frédéric Fanget. « Vous n'êtes pas obligé de vous soumettre aux diktats sociaux. On ne vous impose pas le modèle de performance, mais on y répond. Il faudrait éviter de pratiquer un loisir pour épater les autres. On ne se met pas à jardiner avec l'objectif d'avoir le plus beau jardin du monde et le souhait qu'il soit admiré par tous, on jardine pour notre plaisir », estime l'auteur de La confiance en soi – Comment croire en vous. PHOTO PHILIPPE QUAISSE, FOURNIE PAR LES ÉDITIONS LES ARÈNES Frédéric Fanget, médecin psychiatre et psychothérapeute français Tout le monde ne prend évidemment pas le chemin de la compétition, mais les conditions y sont favorables. « Il y en a pour qui courir avec de la musique est suffisant. Mais les outils sont là pour nous pousser vers la compétition », observe Fannie Valois-Nadeau. Même chez les enfants. « Le simple fait de jouer pour le plaisir devient de plus en plus difficile dans les sports d'équipe. Les fédérations sportives commencent à en prendre conscience et perdent beaucoup de jeunes qui auraient aimé continuer de pratiquer un sport sans être dans la compétition. » Nous sommes poussés à la compétition par défaut, car c'est profondément ancré dans notre culture, rappelle Isabelle Chouinard. Même dans les débats démocratiques, les arguments sont mis en compétition. « On vise l'excellence, et c'est par le jugement des autres qu'on va atteindre la victoire, la gloire et les honneurs et socialement. C'est ce qu'on valorise. »


La Presse
20 hours ago
- La Presse
Docteur, j'ai peur… de tout !
Lorsqu'on pense à la multitude des épreuves que l'être humain a dû surmonter au cours de sa longue évolution pour survivre, domestiquer les forces de la nature et occuper le territoire, on ne peut qu'admirer ses capacités d'adaptation et d'invention, son sens de la coopération et, surtout, son courage ! On se dit, ma foi, ce drôle d'animal n'avait peur de rien ! Réjean Bergeron Philosophe, auteur de Je veux être un esclave ! (2016), de L'école amnésique ou Les enfants de Rousseau (2018) et de Homère, la vie et rien d'autre ! (2022) Aujourd'hui, c'est une tout autre histoire. Nos valeureux ancêtres qui parcouraient monts et vallées se sont métamorphosés en êtres fragiles et craintifs qui sursautent à la vue de leur ombre ou d'un titre de livre qui les indispose. Portrait de l'homme moderne L'été, on a peur des piqûres d'insectes, des coups de soleil et de la chaleur, tout particulièrement du terrifiant facteur humidex que tous les « señor météo » de ce monde agitent comme un épouvantail. L'hiver, on a peur du froid et du terrible facteur éolien, ce nouveau visage du Bonhomme Sept Heures qui jadis faisait si peur aux enfants. En cas de tempête de neige, pas de risque à prendre, on s'empresse de fermer les écoles. Tous aux abris avant que le ciel nous tombe sur la tête ! Et on a peur aussi que nos enfants se blessent, se fassent bobo ! Action-réaction : on leur impose alors le port du casque, de la ceinture, des bretelles et du gilet pare-balles avec interdiction de courir, de grimper, de se chamailler – presque de respirer ! Et les adultes ne sont pas en reste. Une enseignante me racontait que chaque année, la direction de son école recommandait fortement à tous les membres du personnel de tenir la rampe lorsqu'ils descendaient l'escalier et, l'hiver, de mettre des crampons à leurs bottes lorsqu'ils allaient marcher dans la cour de récréation. Que voulez-vous, il faut minimiser les risques… de poursuite contre l'employeur ! Il y a aussi cette peur des allergies alimentaires, du sel, du sucre, du gluten ou du mauvais cholestérol. Peur des microbes aussi, des germes, des infections de toutes sortes. « Lavez, lavez », chantait Martine St-Clair, sans oublier de frotter, de désinfecter, d'aseptiser l'intérieur de nos maisons tout comme l'intérieur de notre petit moi qu'il faut cajoler, rassurer, protéger. Allez, encore un effort ! L'être humain est un animal social, fait pour vivre en société, nous ont raconté bien des philosophes depuis plus de 2000 ans. Mais mon dieu que c'est devenu difficile et compliqué de vivre ensemble de nos jours – et surtout tellement menaçant ! Barricadés derrière nos écrans, on s'empresse de virtualiser nos rapports sociaux pour éviter le face-à-face et les contacts physiques. La vie en présentiel est tellement hasardeuse, pleine de surprises et dangereuse ! Comment interpréter le timbre de la voix qui sort de cette bouche ? Comment ne pas voir une intention malveillante dans le regard oblique de cette personne ? Comment se prémunir contre les non-dits, les allusions, les sous-entendus ? Mieux vaut alors se mettre à l'abri, bien emmitouflés dans nos cocons numériques. Oui, pour les êtres fragiles que nous sommes devenus, la vie en société est pleine de menaces qui peuvent se jeter sur nous sans crier gare. Une statue dans un parc, un conférencier, une représentation théâtrale, le titre d'un livre, la présence de celui-ci dans une bibliothèque ou encore le simple fait qu'un mot nouvellement déclaré tabou soit prononcé : voilà autant de manifestations culturelles qui ont désormais le potentiel d'être pointées du doigt par quiconque se sent agressé dans son ressenti. D'où cette ribambelle de traumavertissements diffusés à la télévision, au théâtre ou au cinéma pour nous prévenir qu'on pourrait être heurté non pas par une chute de glace, mais par une scène de violence ou de nudité, un langage vulgaire, la présence de produits du tabac, certains préjugés ou stéréotypes qui ne cadrent plus avec les valeurs de bienveillance, d'ouverture et d'inclusion qui sont dorénavant les nôtres. Y'a pas à dire, tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ! Au bout du compte, c'est à se demander si les progrès de la science, les exploits de la technologie et le développement de notre civilisation en général n'ont pas eu pour effet de nous fragiliser, de faire de nous des êtres craintifs et anxieux toujours prêts à invoquer mille et une causes pour camoufler notre peur devant la vie, jusqu'à cette peur d'avoir peur. Qu'en pensez-vous ? Participez au dialogue


La Presse
2 days ago
- La Presse
L'analyse par le gouvernement des phénomènes aériens non identifiés recommandée
Les incidents liés aux ballons ont suscité d'intenses spéculations publiques avant de disparaître des manchettes. (Ottawa) La collecte et l'analyse systématiques par le gouvernement de données sur les observations mystérieuses dans le ciel pourraient aider le Canada à mieux se préparer à des incidents, comme l'apparition soudaine de plusieurs ballons à haute altitude au-dessus de l'Amérique du Nord il y a deux ans, selon un rapport de la Conseillère scientifique en chef du Canada. Jim Bronskill La Presse Canadienne L'un des ballons, qui a survolé l'ouest du Canada au début de 2023 avant d'être abattu au large des côtes américaines, provenait apparemment de Chine et transportait du matériel sophistiqué. Les incidents liés aux ballons ont suscité d'intenses spéculations publiques avant de disparaître des manchettes. Le rapport final du projet Ciel Canada, de la Conseillère scientifique, indique que ces incidents soulignent l'importance d'une enquête gouvernementale sur ce qui apparaît dans le ciel, et sur la difficulté de distinguer les phénomènes naturels des dispositifs technologiques courants et des problèmes de sécurité potentiels. Le rapport, publié cette semaine, recommande qu'Ottawa désigne un ministère ou un organisme fédéral pour gérer les données publiques sur les observations célestes et mettre en place un service chargé de recueillir des témoignages, d'enquêter sur les cas et de publier des analyses. Le rapport explore la fascination du public pour les objets volants non identifiés et leur association à la vie extraterrestre, depuis des décennies, et souligne une évolution récente vers un concept plus nuancé de phénomènes aériens non identifiés (PANI). Le document souligne que l'évolution de la terminologie pourrait atténuer le scepticisme et le ridicule qui ont parfois entouré les observations d'ovni. « La stigmatisation peut avoir des conséquences importantes, comme décourager les témoins de se manifester et entraver la recherche scientifique », affirme le rapport. « L'adoption de la nouvelle expression plus globale 'PANI' contribue à promouvoir une transparence, une crédibilité et une acceptation accrues en ce qui a trait à la recherche au sein des milieux professionnels et scientifiques et du grand public. » Le rapport révèle que si de nombreuses observations peuvent être attribuées à des illusions d'optique, à des phénomènes atmosphériques ou à l'activité humaine, une minorité reste inexpliquée pour une multitude de raisons, notamment le manque de données fiables qui empêche une analyse scientifique rigoureuse. Les observations inexpliquées suscitent l'intérêt et peuvent être source de désinformation, ce qui mine la confiance du public, ajoute le document. Lorsque les gens sont exposés à plusieurs reprises à de faux récits, ils peuvent devenir sceptiques à l'égard des sources crédibles, y compris les scientifiques, les journalistes et les institutions gouvernementales. Extrait du rapport Depuis le début de la guerre froide, les observations inhabituelles ont attiré l'attention de divers organismes fédéraux. Le Conseil de recherches pour la défense a d'ailleurs créé en 1952 un comité appelé « Projet Second Storey » pour examiner les observations de « soucoupes volantes » au-dessus du Canada. Le rapport souligne que Transports Canada gère actuellement le système de compte rendu quotidien des évènements de l'aviation civile (SCRQEAC), pour les incidents affectant la sécurité aérienne, y compris les observations de PANI, tandis que l'Aviation royale canadienne et le ministère de la Défense nationale peuvent également recevoir des rapports par l'intermédiaire de leurs réseaux opérationnels. De plus, les forces policières entendent parfois des témoins, et des organisations de la société civile, comme Ufology Research of Manitoba et MUFON Canada, compilent et analysent les données des citoyens, selon le rapport. Cependant, il n'existe pas de « système cohérent et normalisé » de signalement et de suivi au Canada. Le rapport cite les États-Unis, la France et le Chili comme exemples intéressants d'approches coordonnées, transparentes et scientifiques en matière de signalement des PANI. Il indique que le gouvernement fédéral devrait choisir une organisation scientifique fiable et reconnue, comme l'Agence spatiale canadienne, pour gérer les données publiques sur les observations. Le rapport recommande également que l'organisation responsable joue un rôle important dans la lutte à la désinformation en répondant aux demandes de renseignements du public et des médias concernant les observations, ainsi qu'en documentant et en communiquant les interprétations erronées courantes des observations. De plus, les données devraient être mises à la disposition du public par souci de transparence et pour soutenir la recherche. L'agence spatiale n'a pas répondu à une question concernant le rapport à temps pour la publication de ces lignes, et le ministère de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique a déclaré que les PANI ne relèvent pas de son mandat. « L'adoption de communications plus transparentes et de méthodes scientifiques robustes constituera un pas important vers l'éduction du public et la lutte contre la désinformation », soutient le rapport.