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Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Incendie dans l'Aude : un millième de la forêt française parti en fumée
Se pencher sur les chiffres de la forêt, c'est entrapercevoir les relations multiples, et les équilibres subtils, entre l'homme, la nature et le climat. Loin des idées simplistes. Un millième de la surface forestière détruite, l'ordre de grandeur est en effet saisissant. Mais cela ne suffit pas à inverser l'extension continue de la forêt en France : de 10 % du territoire métropolitain au début du XIXe siècle, elle en couvre aujourd'hui 32 %, et le mouvement se poursuit. Bonne nouvelle, car la forêt est un réservoir de biodiversité et un puits de carbone absorbant 9 % de nos émissions.


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
« Se projeter sans risque » : quand les couples s'imaginent des scénarios coquins pour pimenter leurs ébats
« On adore s'imaginer des scénarios au lit, on se projette coincés dans un ascenseur, dans une cabine d'essayage ou derrière un arbre dans un parc, se marre la future maman. Rien que d'en parler ensemble, de se dire je te ferais ceci ou cela est très excitant alors que dans la vie, on n'aura peut-être jamais l'occasion de coucher ensemble sur une plage au soleil couchant ! On est ensemble depuis dix ans, cela permet de varier les plaisirs sans prendre de grand risque (rires). »


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
«Des abattages traumatisants» : les éleveurs face aux dégâts de la dermatose
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Plus d'un mois après le premier cas de cette maladie propagée par des piqûres de mouches ou de taons, 36 exploitations de Savoie et Haute-Savoie sont concernées. Près de 1500 vaches ont dû être abattues pour tenter de stopper l'avancée du virus. Les prairies sont désertes. On ne voit plus de vaches brouter l'herbe et les promeneurs n'entendent plus leurs cloches résonner à chaque mouvement de tête. Dans les cours de ferme, tout est figé. Les tracteurs sont à l'arrêt. Les bâtiments sont vides et étrangement silencieux. La vie semble s'être arrêtée. Seul le va-et-vient des camions d'équarrissage, des voitures de gendarmes ou des services départementaux anime le quotidien. À Cessens, en Savoie, où a été décelé le premier cas de dermatose nodulaire contagieuse bovine (DNC) le 29 juin dernier, les éleveurs sont encore sous le choc et dans l'incompréhension face à l'abattage systématique des troupeaux. « Les vétérinaires mandatés par un arrêté préfectoral m'ont encore euthanasié 12 jeunes vaches et cinq veaux ce mardi alors que ces animaux étaient vaccinés, confinés dans un bâtiment fermé, souffle désabusé Pierre-Jean Duchêne, jeune agriculteur laitier de 28 ans. Ils m'avaient déjà abattu mes 100 vaches laitières le 22 juillet. »