
« Une pratique interdite mais indispensable » : à Paris, faut-il autoriser partout la baignade dans les canaux ?
Fête de la musique
a souvent rimé avec fête nautique. Sur les réseaux sociaux, nombre de vidéos ont rapidement relayé ces scènes de fêtards se jetant à l'eau, notamment aux abords du canal Saint-Martin (Xe). Des plongeons également observés quelques jours plus tard alors que
Paris suffoquait sous la canicule
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Le Parisien
27 minutes ago
- Le Parisien
Programme TV du samedi 19 juillet : « Nosferatu », « L'Empire mongol, une autre histoire »… Notre sélection
« Nosferatu » à 21h05, sur Canal +. Thomas Hutter, un jeune clerc de notaire allemand qui vient tout juste de se marier, est expédié au fin fond de la Transylvanie afin de finaliser une transaction immobilière entre son cabinet et un noble local, le comte Orlock. Il laisse seule sa jeune épouse, Ellen, qui dès lors souffre de troubles nocturnes intenses. Arrivé au château d'Orlock, Hutter fait face à un hôte plus qu'inquiétant. Et pour cause : c'est un vampire, qui semble avoir noué une étrange connexion psychique à distance avec sa femme… C'est l'Américain Robert Eggers, connu pour son terrifiant « The Witch » (2015) et son très violent « The Northman » (2022) , qui livre ici la dernière version en date de « Nosferatu », après l'originale de 1922 et le remake de 1979. Quoique l'originale, c'est vite dit, puisque « Nosferatu » n'est autre qu'un décalque assumé de « Dracula », dont il reprend tous les thèmes majeurs. Et pour son film, Eggers a fait un choix audacieux : tourner comme il y a un siècle. Éclairages à l'ancienne, cadrages qu'auraient pu utiliser les pionniers du 7e art, dialogues emphatiques…


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Après le scandale de la Kiss Cam au concert de Coldplay, Andy Byron a été démis de ses fonctions de PDG le temps de l'enquête
Après avoir été pris en flagrant délit d'adultère avec la directrice des ressources humaines de l'entreprise dont il est le directeur, Andy Byron a été «placé en congés». Les amants coupables punis. «Il est attendu de nos dirigeants qu'ils établissent la norme en matière de conduite et de responsabilité», a communiqué le conseil d'administration d'Astronomer, une entreprise spécialisée dans l'intelligence artificielle, sur LinkedIn dans la nuit. Mercredi 16 juillet, son directeur, Andy Byron, a été filmé par une Kiss Cam lors du concert de Coldplay, enlaçant la directrice des ressources humaines, Kristin Abbot. Mais cette dernière n'est pas son épouse, avec qui le PDG a deux enfants. Face à l'ampleur de la polémique, qui a très vite fait le tour des réseaux sociaux, l'entreprise a annoncé sur LinkedIn, vendredi 18 juillet, qu'Andy Byron avait été «placé en congés» le temps d'une enquête interne. Il a donc été remplacé temporairement par Pete DeJoy, PDG par intérim. À lire aussi Le PDG, la Kiss Cam et l'adultère : la folle histoire du concert de Coldplay Publicité «Andy Byron n'a fait aucune déclaration» Dans sa déclaration Astronomer a également démenti la présence d'une employée, Alyssa Stoddard, qui aurait été filmée au même concert riant de la gêne occasionnée par la découverte de cette infidélité. Cette dernière aurait été promue récemment, selon les médias américains. La société a aussi affirmé qu'Andy Byron ne s'était pas exprimé au sujet de cette vidéo, contrairement à ce qu'avaient affirmé plusieurs médias. «Andy Byron n'a fait aucune déclaration ; les rumeurs contraires sont toutes inexactes», a conclu Astronomer. Pour rappel, l'histoire s'est déroulée mercredi soir au Gillette Stadium à Foxborough (Massachussetts). Alors que le groupe Coldplay entonnait son titre The Jumbotron Song, sur les écrans, la caméra balaie l'assemblée à la recherche de couples. Elle s'arrête sur les deux amants. L'homme plonge au sol pour y échapper. La femme se cache le visage entre ses mains. «Waouh, regardez-moi ces deux-là !», s'amuse Chris Martin, le leader de Coldplay, sur scène. «Soit ils ont une liaison, soit ils sont juste très timides.» La vidéo est rapidement devenue virale, et les deux amants ont été identifiés par des internautes, grâce en partie à de l'intelligence artificielle, secteur dans lequel… tous deux travaillent.


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Qui veut épépiner à la plume d'oie les groseilles de « la confiture la plus chère au monde » ?
Alfred Hitchcock en réclamait chaque jour. Reine d'Écosse, Marie Stuart la décrivait comme un « rayon de soleil en pot ». On la retrouvait autrefois chez Fauchon. La célèbre confiture de groseilles épépinées à la plume d'oie continue de ravir les papilles du noyau d'adeptes inconditionnels de la « plus chère confiture du monde » . On retrouve la trace de ses premières productions au XIVe siècle. Certains la nomment le « caviar de Bar-le-Duc », du nom de la petite ville de la Meuse où elle est produite depuis plusieurs siècles. À la tête de l'entreprise « À la Lorraine » dont elle a repris les rênes depuis 25 ans, dans le sillage des générations précédentes, Anne Dutriez continue d'accueillir avec un large sourire les louanges sur cette petite production très spécifique. Et cherche ses petites mains expertes pour étoffer ses effectifs . Car s'il s'agit de la seule confiture de groseilles au monde - à ne pas confondre avec la gelée — dans laquelle la totalité des pépins sont extraits manuellement. Avec l'aide d'une plume d'oie s'il vous plaît. « C'est ce qui permet, d'une part de retirer précautionneusement les pépins sans altérer la pulpe du fruit, et d'autre part de ne pas l'oxyder » éclaire la patronne. La suite du processus, qui s'opère dans les ateliers discrets de Bar-le-Duc ? « Secret de fabrication ! » coupe la quadragénaire. Reste que la minutie et l'exigence de l'opération d'extraction des pépins sont telles que l'entreprise éprouve des difficultés à trouver de la main-d'œuvre pour épépiner, un à un, chaque groseille, après avoir pris le soin préalable, de couper la tige au ciseau, à 2 mm. « Bar-le-Duc comptait 400 épépineurs au début du siècle et encore une cinquantaine dans les années 1980, poursuit Anne Dutriez. J'ai une équipe à mes côtés, mais j'aimerais l'étoffer pour parvenir à une vingtaine de personnes en contrat saisonnier ». Délicate et parfumée, la confiture « la plus chère du monde » est commercialisée au prix de 24 euros (la rouge) et 26 euros (la blanche) le pot de 100 g, avec une production annuelle de 4 000 à 6 000 pots, dont une large part exportée aux États-Unis. Un archéologue a même retrouvé un pot au Texas daté entre 1880 et 1915 !