logo
Drogue en Indonésie: Une Sud-Africaine et un Brésilien arrêtés à Bali risquent la peine de mort

Drogue en Indonésie: Une Sud-Africaine et un Brésilien arrêtés à Bali risquent la peine de mort

24 Heures24-07-2025
La femme possédait un kilo de méthamphétamine et l'homme trois kilo de cocaïne, qu'ils avaient prévu de livrer sur l'île.
Publié aujourd'hui à 09h46
Les deux suspects, dont l'âge n'a pas été précisé et qui voyageaient séparément, ont été arrêtés le même jour, le 13 juillet, à l'aéroport de Bali (image d'illustration).
AFP/SONNY TUMBELAKA
Une Sud-Africaine et un Brésilien ont été inculpés pour trafic de drogue pour avoir tenté d'introduire à Bali plusieurs kilos de cocaïne et de méthamphétamine et risquent la peine de mort, a annoncé jeudi l'agence l'Agence indonésienne de lutte contre les stupéfiants.
Les deux suspects, dont l'âge n'a pas été précisé et qui voyageaient séparément, ont été arrêtés le même jour, le 13 juillet, à l'aéroport de Bali.
L'homme de nationalité brésilienne transportait deux sacs en plastique contenant un peu plus de trois kilos de cocaïne dans son sac à dos et ses bagages, a déclaré I Made Sinar Subawa, responsable de l'agence locale de lutte contre les stupéfiants, lors d'une conférence de presse.
L'homme arrêté a indiqué qu'on lui avait demandé de livrer le colis à un homme vivant à Bali, selon la même source.
La Sud-Africaine, qui arrivait de Singapour, a été arrêtée en possession d'environ 1 kilo de méthamphétamine dissimulé dans ses vêtements.
«Sur la base de l'interrogatoire, elle a avoué qu'on lui avait ordonné de transporter la méthamphétamine de Johannesburg à Bali, pour la livrer à quelqu'un sur l'île», a déclaré M. Made précisant que les deux étrangers risquent la peine de mort s'ils sont jugés coupables. Une des législation les plus sévères
L'Indonésie possède l'une des législations les plus sévères en matière de trafic de stupéfiants.
Plus de 90 étrangers, dont au moins une femme, se trouvent actuellement détenus, condamnés à mort pour trafic de drogue, selon le ministère de l'Immigration et des services correctionnels.
Les dernières exécutions de condamnés à mort pour trafic de drogue, celles d'un Indonésien et de trois Nigérians, remontent à 2016.
Drogue en Indonésie Newsletter
«Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde.
Autres newsletters
AFP
Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Deux ministres ghanéens tués dans un accident d'hélicoptère
Deux ministres ghanéens tués dans un accident d'hélicoptère

24 Heures

time5 hours ago

  • 24 Heures

Deux ministres ghanéens tués dans un accident d'hélicoptère

L'appareil, qui transportait huit personnes dont les ministres de la Défense et de l'Environnement, s'est écrasé mercredi dans le sud du pays. Publié aujourd'hui à 17h39 Le président du Ghana, John Dramani Mahama, a adressé ses condoléances aux familles des victimes du crash. AFP Les ministres de la Défense et de l'Environnement du Ghana ont été tués mercredi dans un accident d'hélicoptère, a annoncé la présidence. L'armée a signalé la disparition d'un appareil transportant trois membres d'équipage et cinq passagers, quelques heures plus tôt. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Le ministre de la Défense, Edward Omane Boamah, et celui de l'Environnement, Ibrahim Murtala Muhammed, figurent parmi les victimes du crash, dans le sud du pays, a précisé Julius Debrah, chef de cabinet du président John Mahama. «Le président et le gouvernement adressent leurs condoléances et leur solidarité aux familles de nos camarades et des militaires tombés lors de leur service pour la Nation», a déclaré Julius Debrah. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Parmi les victimes figurent également Alhaji Muniru Muhammad, coordinateur adjoint de la sécurité nationale et ancien ministre de l'Agriculture, ainsi que Samuel Sarpong, vice-président du parti Congrès national démocratique (NDC) du président Mahama. L'armée de l'air ghanéenne avait signalé plus tôt mercredi qu'un hélicoptère militaire avait disparu des radars. d'autres accidents dans les airs Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters ATS Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

DIRECT – Gaza: Un camion de vivres se retourne sur la foule et fait 20 morts
DIRECT – Gaza: Un camion de vivres se retourne sur la foule et fait 20 morts

24 Heures

time14 hours ago

  • 24 Heures

DIRECT – Gaza: Un camion de vivres se retourne sur la foule et fait 20 morts

Accueil | Monde | Israël/Hamas | Un spécialiste onusien appelle à mettre fin aux activités de la fondation américaine qui distribue des vivres à Gaza. Notre direct. Nos articles sur la guerre à Gaza 08h00 La Défense civile de Gaza a fait état de la mort de vingt personnes dans l'accident d'un camion de vivres qui s'est retourné sur la foule dans la nuit de mardi à mercredi. Des Palestiniens portent des sacs alors qu'ils reviennent d'un point de distribution alimentaire géré par le groupe Gaza Humanitarian Foundation (GHF), le 3 août. (Image d'illustration) AFP «Le camion s'est renversé alors que des centaines de civils attendaient de l'aide alimentaire dans la zone de Nousseirat, dans le centre de la bande de Gaza», a dit le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal. Selon lui, «le camion avait été contraint par l'armée israélienne d'emprunter des routes dangereuses, qui avaient auparavant été bombardées» et étaient en mauvais état. «Malgré la récente autorisation limitée de quelques camions d'aide, l'occupant (ndlr: Israël) entrave délibérément le passage sûr et la distribution de cette aide. Elle oblige les conducteurs à emprunter des itinéraires surchargés de civils affamés qui attendent depuis des semaines les produits de première nécessité», a accusé dans un communiqué le gouvernement de Gaza, sous l'autorité du Hamas. Ce «comportement délibéré et criminel se solde souvent par des foules désespérées qui se ruent sur les camions et s'emparent de leur contenu par la force», a expliqué le gouvernement, faisant lui aussi état de 20 civils tués et de dizaines de blessés. Interrogée par l'AFP, l'armée israélienne a indiqué vérifier ces informations. Hier, 23h22 Le président des Etats-Unis, Donald Trump, a qualifié d'«horrible» la vidéo de l'otage israélien Evyatar David, la peau sur les os, diffusée il y a quelques jours par le groupe islamiste palestinien Hamas et qui a choqué en Israël et à l'étranger. Interrogé par la presse à Washington pour savoir s'il avait vu la dite vidéo, Donald Trump a répondu: «Je l'ai vue, oui, je trouve ça horrible et j'espère que beaucoup de gens la verront (…) parce que je pense que c'est une chose horrible». Hier, 22h36 Le gouvernement libanais a chargé mardi l'armée de préparer un plan pour désarmer le Hezbollah d'ici la fin de l'année, une mesure sans précédent depuis la fin de la guerre civile. Cette décision, encore impensable avant la guerre avec Israël ayant fortement affaibli le mouvement pro-iranien à l'automne dernier, a été prise lors d'une réunion du Conseil des ministres, à l'heure où l'influence du Hezbollah sur la scène politique libanaise, qu'il dominait, a nettement reculé. Elle s'inscrit dans le cadre de l'application du cessez-le-feu conclu sous médiation américaine, qui a mis fin le 27 novembre à plus d'un an de conflit entre le Hezbollah et Israël. L'accord prévoit que seuls six organismes militaires et sécuritaires sont autorisés à porter les armes. Hier, 22h02 Israël devra «vaincre totalement» le Hamas à Gaza pour assurer la libération des otages, selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui a tenu mardi une réunion de sécurité sur la prochaine phase de la guerre, annoncée comme imminente. «Il est nécessaire de vaincre totalement l'ennemi à Gaza, de libérer tous nos otages et de s'assurer que Gaza ne constituera plus une menace pour Israël. Nous n'abandonnons aucune de ces missions», a affirmé Benjamin Netanyahu lors d'une visite sur une base militaire. Dans l'après-midi, il a tenu selon ses services une «réunion restreinte de sécurité de près de trois heures» au cours de laquelle «le chef d'état-major de l'armée lui a présenté les options pour la poursuite des opérations à Gaza». Hier, 21h42 Un haut responsable de l'ONU a mis en garde mardi contre «les conséquences catastrophiques» que pourrait avoir une extension des opérations militaires israéliennes à Gaza, au moment où la presse israélienne fait état d'un projet d'occupation de tout le territoire palestinien. «Le droit international est clair à cet égard, Gaza est et doit rester une partie intégrante d'un futur État palestinien» a déclaré Miroslav Jenca, sous-secrétaire général de l'ONU pour l'Europe, l'Asie centrale et les Amériques, à l'occasion d'une réunion d'urgence du Conseil de sécurité consacrée à ce conflit. Hier, 20h55 Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a dénoncé mardi une «guerre de famine et de génocide» en cours à Gaza, tout en réfutant des accusations selon lesquelles l'Egypte empêcherait l'entrée de l'aide humanitaire via le poste-frontière de Rafah. AFP «La guerre en cours à Gaza n'est plus une guerre pour atteindre des objectifs politiques ou libérer des otages uniquement», a déclaré M. Sissi lors d'une conférence de presse avec son homologue vietnamien Luong Cuong. «Cette guerre a depuis longtemps dépassé toute logique ou justification et est devenue une guerre de famine et de génocide, ainsi qu'un moyen d'extermination de la cause palestinienne» a-t-il ajouté. Hier, 20h49 La Défense civile de la bande de Gaza a annoncé mardi la mort de 68 personnes tuées par des tirs israéliens au cours de divers incidents dans le territoire palestinien, dont 56 qui attendaient des distributions d'aide alimentaire. Selon le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, trente personnes sont mortes sous les tirs près d'un centre d'aide près de la ville de Khan Younes. Interrogée par l'AFP, l'armée israélienne a déclaré avoir procédé à des «tirs de semonce» en direction d'un «rassemblement de Gazaouis avançant dans leur direction» dans le corridor de Morag, mais a affirmé ne pas avoir connaissance de victime. Hier, 17h42 Le ministre sud-africain des Affaires étrangères Ronald Lamola a appelé mardi le «plus de pays possible» à faire pression sur Israël pour «mettre un terme aux actes génocidaires» commis, selon lui, à Gaza par Israël, dans un entretien exclusif à l'AFP. «Nous nous félicitons de l'intention de la France, du Canada et d'autres pays dans le monde de reconnaître» l'Etat de Palestine. «Cela permet d'accroître la pression pour l'obtention d'un cessez-le-feu», a ajouté M. Lamola interrogé à Pretoria. Hier, 15h37 Le rapporteur spécial de l'ONU sur les minorités, le Fribourgeois Nicolas Levrat, et plus de 30 de ses collègues experts indépendants demandent le démantèlement de la controversée Fondation humanitaire de Gaza (GHF). Mardi à Genève, ils ont parlé d'un «besoin urgent d'une surveillance internationale robuste». Dans une déclaration commune, les experts indépendants, qui ne s'expriment pas au nom de l'ONU, dénoncent dans la GHF, soutenue par Israël et les États-Unis, une exploitation «totalement perturbante» de l'aide pour des raisons militaires et politiques. Ils ciblent une normalisation de l'impunité et des violations du droit international. Un Palestinien porte une boîte alors que d'autres reviennent avec des sacs d'un point de distribution alimentaire géré par la Fondation Humanitaire de Gaza. AFP/Eyad BABA «Dans ce cas, nous laissons un État accusé de génocide, de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité être chargé de nourrir la population affectée par le génocide», ajoutent-ils. Plus de 1300 personnes ont été tuées et plus de 4000 blessées en venant chercher de la nourriture depuis la reprise du contrôle de l'aide humanitaire par l'État hébreu. Parmi elles, près de 860 se trouvaient près des quelques sites pilotés par la GHF depuis un peu plus de deux mois. La fondation affirme, elle, que ses distributions fonctionnent et revendique près de 1,8 million de repas distribués pour la seule journée de lundi, appelant régulièrement l'ONU à collaborer avec elle. Hier, 15h36 Vous pouvez retrouver notre précédent live en cliquant sur ce lien . Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Les derniers témoins de Nagasaki racontent 80 ans après l'horreur
Les derniers témoins de Nagasaki racontent 80 ans après l'horreur

24 Heures

time16 hours ago

  • 24 Heures

Les derniers témoins de Nagasaki racontent 80 ans après l'horreur

Les bombes nucléaires ont explosé sur le Japon il y a 80 ans. Les survivants de Nagasaki témoignent de l'enfer vécu ce jour-là. Bernard Delattre - Envoyé spécial à Nagasaki Publié aujourd'hui à 06h31 La deuxième bombe atomique américaine a été larguée sur Nagasaki le 9 août 1945 et a détruit une très grande partie de la ville japonaise. imago images/Reinhard Schultz En bref: Tomoko Matsuo, qui avait 12 ans en août 1945, n'a jamais oublié le moment où la bombe atomique a explosé à Nagasaki. «J'étais en train de faire de la couture. Tout à coup, on a entendu un fracas terrible, un bruit absolument assourdissant, et ressenti une secousse extrêmement violente – la maison a tremblé alors qu'elle était à près de trois kilomètres de l'endroit où la bombe est tombée. Ensuite, dans toute la ville, le ciel s'est illuminé d'une blancheur sinistre. On n'avait jamais vu cela. On était tous tétanisés: complètement sous le choc. Huit décennies plus tard, le souvenir de cet instant d'épouvante me glace toujours le sang.» Tomoko Matsuo Bernard Delattre «Un spectacle d'apocalypse» à Nagasaki Au centre-ville, ce fut le cauchemar. «Au point d'impact de la bombe, la température au sol a atteint 4000 degrés», explique Katsufumi Shiraishi, qui est guide bénévole à la Fondation pour la promotion de la paix, à Nagasaki. «Un vent brûlant soufflant à plus de 245 km/h s'est propagé dans toute la ville. Les habitants qui avaient survécu au bombardement étaient si assoiffés qu'ils buvaient l'eau des rizières, ce qui leur a souvent été fatal car elle était contaminée à cause des retombées radioactives.» «Dans un rayon d'un kilomètre, toutes les maisons en bois, sans exception, ont été pulvérisées. Même des immeubles en béton n'ont pas résisté au choc», rappelle Takuji Inoue, qui dirige le Musée de la bombe atomique de la même ville. À l'école primaire de Shiroyama, qui n'était située qu'à 500 mètres du lieu de l'explosion, ce fut le carnage. «En une fraction de seconde, 1400 de ses 1500 élèves furent tués ainsi que la plupart des enseignants», s'effare son directeur actuel, Masanori Yamaguchi. Shigemitsu Tanaka Bernard Delattre Dans la cité dévastée, «c'était un spectacle d'apocalypse», se souvient Shigemitsu Tanaka, qui avait 4 ans à l'époque. «Des blessés erraient, hagards, souvent affreusement brûlés, leur visage criblé d'éclats de verre ou ne pouvant plus ouvrir les yeux tellement l'éclair de la bombe les avait aveuglés. Des corps jonchaient les rues, parfois si carbonisés qu'on ne pouvait pas distinguer s'il s'agissait d'hommes ou de femmes. Il y avait tant de cadavres qu'on les empilait sur des charrettes tirées par des bœufs et qu'il fallut deux jours entiers pour tous les transporter vers les morgues de fortune qu'on créa en catastrophe. Dans les hôpitaux, bondés, c'était le chaos: les irradiés étaient allongés à même le sol. Jamais je n'oublierai leurs gémissements, pas plus que cette puanteur étrange qui a empli l'air de toute la ville. C'était terrifiant.» Un acte impardonnable pour 67% des Japonais Pour les enfants, le calvaire s'est poursuivi après les bombardements. «La plupart des écoles du centre-ville durent fermer tellement elles étaient dévastées», se souvient Matsuyoshi Ikeda, qui avait 7 ans. «Pendant trois ans, les élèves ont donc été transférés d'un établissement à l'autre mais, en fait, énormément d'enfants n'ont plus pu se permettre le luxe d'aller en classe. Du jour au lendemain, beaucoup se sont retrouvés sans maison, sans parents parfois, et sans rien à manger ni à boire. Ils ne pouvaient donc compter que sur eux et se battre pour survivre. Chez nous, à la maison, le riz trois fois par jour, c'était terminé. Quand on en trouvait, c'était la fête, mais elle était très rare car les autorités envoyaient prioritairement cette céréale au front et dans les garnisons: pour nos soldats. Pendant des années, on dut donc se contenter d'orge, de radis, de patate douce ou de citrouille. On était si démunis que ma mère en était réduite à laver puis réutiliser les langes pour bébés. Moi-même, j'ai dû interrompre ma scolarité: il m'a fallu travailler. D'abord chez un boulanger – je me réveillais à 3 heures du matin et me couchais à 23 heures – puis sur un bateau de pêche, y compris quand il faisait glacial en hiver. Cela a été terrible.» Matsuyoshi Ikeda Bernard Delattre À en croire un sondage publié samedi, seuls 20% des Japonais jugent que le recours américain à l'arme atomique sur Hiroshima et Nagasaki était «inévitable». À l'inverse, ils sont 67% à ne toujours pas pardonner aux États-Unis d'avoir fait ce choix à l'époque. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store