
Frappé à coups de marteau par un collègue à l'hôpital Foch : le combat de Cédric pour obtenir réparation
l'hôpital Foch de Suresnes
(Hauts-de-Seine) tient à faire reconnaître la responsabilité de l'établissement hospitalier, dans la tentative d'assassinat dont il a été victime sur son lieu de travail et pour laquelle
son agresseur a été condamné à quinze ans de réclusion
.
Au-delà de cette condamnation, Cédric D. veut obtenir celle de l'hôpital. Aussi, après
une première plainte
classée sans suite, il dépose maintenant une plainte avec constitution de partie civile pour contraindre la justice à mener des investigations.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Parisien
10 minutes ago
- Le Parisien
Législative partielle à Paris : Dati, Barnier, Chappaz… Les électeurs ont « du mal à suivre »
Dimanche 20 juillet, place Monge, dans le Ve arrondissement de Paris. Comme chaque semaine, c'est jour de marché. Entre les dédales des stands, profitant d'une courte accalmie de la pluie, une invitée surprise se faufile avec panache. Tenue noire, lunettes sur les yeux, quelques conseillers à ses côtés… Aucun doute : « C'est Rachida Dati ! » reconnaît un passant. Poignée de mains, sourire aux lèvres et salutations : en une quinzaine de minutes, le passage de la ministre de la Culture aura suffi à faire tourner les têtes, sans pour autant parler de politique.


Le Parisien
10 minutes ago
- Le Parisien
Drancy : le garagiste exploitait un sans-papiers 13 heures par jour pour 250 euros mensuels
L'interpellation d'un garagiste de Drancy et la fermeture de son activité ont mis fin aux conditions inhumaines dans lesquelles était employé un sans-papiers handicapé. La perquisition menée mardi dernier a permis de découvrir que cet homme vivait dans des conditions proches de l'esclavage tant les droits humains, les règles du travail étaient bafoués. Le même jour, son patron a été placé en garde à vue. Son employé, un étranger en situation irrégulière, était contraint de « travailler entre 11 et 13 heures par jour, six jours sur sept pour la somme dérisoire de 250 euros mensuels », indique Éric Mathais, le procureur de Bobigny. Il était logé à demeure « dans des conditions insalubres » et subissait « les brimades de son employeur » qui le nourrissait au compte-goutte, déplore le ministère public. Au terme de sa garde à vue, le mécanicien a été placé sous contrôle judiciaire et son garage a été placé sous scellés. Il sera jugé à la rentrée. La victime, elle, a été confiée à une association de lutte contre la traite des êtres humains. La division des affaires économiques et financières du parquet a co-saisi l'inspection du travail et le commissariat de Drancy pour mener cette enquête « turbo », ouverte des chefs de « traite d'être humain », « soumission à des conditions de travail et d'hébergement indignes », « rétribution inexistante d'une personne vulnérable » et « travail dissimulé ». Dans un département où l'économie souterraine se déploie dans de nombreux secteurs d'activité, un plan d'action a été mis en place par le parquet de Bobigny. Objectif : déclencher des opérations concertées et accélérer le traitement judiciaire des procédures. Le dossier du garagiste de Drancy en est la première illustration. Un véritable « écosystème » se développe en Seine-Saint-Denis, un territoire « rongé par l'économie souterraine », soulignait en février 2024 Isabelle Minguet, procureure adjointe en charge des affaires économiques et financières à Bobigny.


Le Figaro
40 minutes ago
- Le Figaro
Toujours coupé en deux, le PS peine à définir une ligne stratégique claire
Réservé aux abonnés ANALYSE - Alors que le congrès de Nancy de début juin n'a rien tranché, les socialistes restent divisés quant aux stratégies à mener pour les prochaines échéances électorales. Lorsque les socialistes évoquent leur dernier congrès, à Nancy, début juin, c'est souvent la même piteuse conclusion qui revient : « Un congrès pour rien. » Après des mois de campagne au printemps, le PS est finalement resté figé avec les mêmes fragmentations et les mêmes tensions qu'après le cacophonique congrès de Marseille de 2023. Le parti reste coupé en deux avec un premier secrétaire réélu d'un cheveu, et divisé sur la question tactique mais essentielle - presque existentielle - des alliances avec le reste de la gauche. Certains considèrent que le Parti socialiste peut redevenir une force motrice de la gauche et agréger autour d'elle, quand d'autres en doutent encore et invitent à ne pas se voir trop gros après les lourdes défaites présidentielles de 2017 (6,36 %) et de 2022 (1,74 %). « Au sein du parti, certains considèrent que nous sommes encore le PS du 10 mai 1981… Il faut de la lucidité », soupire un proche d'Olivier Faure. Certes, le plus gros a été tranché …