
«Les 10 montagnes russes les plus extrêmes» En quête d'adrénaline documentaire RMC découverte
En manque de sensations fortes ? Des États-Unis aux Émirats arabes, en passant par le Canada ou la Grande-Bretagne, Les 10 montagnes russes les plus extrêmes de la planète revient, avec archives et images de synthèses à la clé, sur l'histoire de ces attractions, depuis la création de la première au Danemark, en 1583, jusqu'à aujourd'hui. Toujours plus haut, toujours plus vite, elles repoussent les limites des courageux qui s'y essaient.
Les wagons de Maxx Force dans l'Illinois, aux USA, un des plus grands terrains de jeu pour les amateurs, atteignent 126 km/h en 2 secondes. En Grande-Bretagne, le Smiler détient le record mondial de 14 loopings. Quant au Steel Dragon à Nagashima, il propose le plus long parcours (2 km) et la chute la plus impressionnante (94 mètres). Et, d'une manière générale, les montagnes russes exercent une pression de 3 à 5 G - supérieure à celle exercée sur les astronautes lors du décollage d'une fusée !
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Un shoot de dopamine
Ces attractions jouent sur les réactions du corps et la perception du danger. Chute libre, vitesse, apesanteur sont les sensations provoquées. Face à une situation périlleuse, la nature humaine n'a que deux réponses possibles, explique le narrateur : le combat ou la fuite. Les montagnes russes sont pensées pour provoquer ces réactions. L'idée est de « faire grimper l'adrénaline à son maximum », et ainsi « céder la place à un shoot de dopamine, une euphorie bien réelle », dit-il encore.
La conception de chaque montagne russe est différente selon les effets voulus. Les sièges ou harnais ne sont pas toujours les mêmes, puisque la perception de sécurité doit être la plus minime possible afin de faire croire au danger. Les concepteurs de ces attractions exercent une véritable « manipulation psychologique » sur les passagers. Une expérience dont l'unique but est de jouer sur les nerfs des intrépides afin d'atteindre la « folie jubilatoire » recherchée.
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