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Formule 1 : coup de théâtre chez Red Bull, Christian Horner licencié après 20 ans, un Français nommé à sa place

Formule 1 : coup de théâtre chez Red Bull, Christian Horner licencié après 20 ans, un Français nommé à sa place

Le Parisien09-07-2025
Christian Horner et Red Bull Racing, c'est fini ! L'écurie du champion du monde
Max Verstappen
a donc décidé de se séparer de son Team Manager, avec effet immédiat.
Le Britannique de 51 ans, en poste depuis 2005, a fait ses adieux à son équipe et aux employés de l'usine de Milton Keynes, en Angleterre dans la matinée. Il est remplacé par le Français Laurent Mekies. L'écurie autrichienne a officialisé la nouvelle ce mercredi.
« Nous tenons à remercier Christian Horner pour le travail extraordinaire qu'il a accompli au cours des 20 dernières années, a déclaré dans un communiqué le directeur général de Red Bull, Oliver Mintzlaff. Grâce à son engagement infatigable, son expérience, son expertise et sa pensée innovante, il a largement contribué à faire de Red Bull Racing l'une des équipes les plus performantes et les plus attractives de la
Formule 1
. Merci pour tout, Christian, tu resteras à jamais une partie importante de l'histoire de notre équipe. »
Dans ce même communiqué de presse, on apprend également que l'ancien pilote est remplacé par l'ingénieur français Laurent Mekies, 48 ans, qui avait pris l'an passé les commandes de Racing Bull, la seconde écurie de l'entreprise autrichienne, où évolue depuis cette saison le Parisien
Isaac Hadjar
.
Le licenciement de Christian Horner est la conséquence de plusieurs évènements qui ont secoué la Team Red Bull Racing. Le dernier en date concerne
l'avenir de Max Verstappen
, dont on dit qu'il pourrait rejoindre Mercedes dans les prochains mois.
En 2024, Horner avait fait l'objet
d'accusations de comportement inapproprié
vis-à-vis d'une collègue qui avait plongé Red Bull dans une grosse polémique.
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Athlétisme : Bol et Wanyonyi continuent sur leur lancée à Londres
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Le Figaro

time2 hours ago

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Athlétisme : Bol et Wanyonyi continuent sur leur lancée à Londres

La Néerlandaise Femke Bol a signé sa 29e victoire en autant de courses sur 400 mètres haies quand le Kényan Emmanuel Wanyonyi a failli battre le record du monde du 800 mètres à Londres. Auteurs des meilleures performances mondiales de l'année dans leur discipline la semaine dernière à Monaco, le Kényan Emmanuel Wanyonyi (800 mètres) et la Néerlandaise Femke Bol (400 mètres haies) ont enchaîné avec des victoires solides samedi à Londres. Sur 800 mètres, Wanyonyi a signé en Angleterre sa quatrième victoire de suite en Ligue de diamant avec un nouveau chrono canon (1:42.00) pour devancer dans les derniers mètres le Canadien Marco Arop (1:42.22). Publicité À un cheveu du record du monde Comme à Monaco la semaine dernière, où il s'était imposé en 1 min 41 sec 44, les quelque 60.000 spectateurs présents dans le stade olympique de Londres ont même cru un temps qu'ils allaient assister à la chute du record du monde de la discipline, 13 ans après les 1 min 40 sec 91 de David Rudisha dans le même stade. En retard à 200 mètres de l'arrivée sur la «wavelight» le dispositif indiquant le rythme à suivre, le Kényan et le Canadien ont accéléré en fin de course, rattrapant le point lumineux mouvant en bord de piste et faisant se lever une partie du public, mais ont finalement craqué dans les derniers mètres. Femke Bol poursuit sa série magistrale Sur 400 mètres haies, la Néerlandaise Femke Bol s'est imposée sans surprise en 52 sec 11 et signe sa 29e victoire en 29 courses sur 400 mètres haies en Ligue de Diamant. La Néerlandaise, qui avait amélioré la semaine dernière à Monaco la meilleure performance mondiale de l'année (51.95), affichait une moue déçue à l'arrivée. «Je voulais aller plus vite qu'à Monaco, où mon deuxième virage n'était pas bon. Je pense que je m'en suis mieux tirée aujourd'hui (samedi) mais j'ai fait des erreurs ailleurs donc c'est un peu décevant», a-t-elle dit après la course.

Usyk - Dubois : à quelle heure et sur quelle chaîne TV voir le combat pour le titre des poids lourds ?
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Le Parisien

time8 hours ago

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Usyk - Dubois : à quelle heure et sur quelle chaîne TV voir le combat pour le titre des poids lourds ?

Ce combat aura comme un goût de revanche. Ce samedi, Oleksandr Usyk , incontesté champion du monde des lourds, retrouve Daniel Dubois qu'il avait battu en août 2023. Chez lui à Wembley, devant près de 100 000 spectateurs férus de boxe, ce dernier défendra non seulement son titre IBF mais tentera surtout de ravir à son adversaire les ceintures WBC, WBA et WBO. L'Anglais a tenté de rassurer ses fans. Il n'est « plus le même boxeur » que celui qui avait été battu par arrêt de l'arbitre au neuvième round le 26 août 2023 à Wroclaw. Le Britannique (1,96 m, 22 victoires, dont 21 avant la limite, 2 défaites) s'était relancé en dominant son compatriote Anthony Joshua en septembre 2024 pour le titre IBF laissé vacant par Usyk, devenu entre-temps l'incontesté champion en écartant deux fois l'Anglais Tyson Fury . Il ne part toutefois pas favori face à Usyk (1,91 m), de 11 ans son aîné, toujours invaincu en 23 combats professionnels, dont 14 remportés avant la limite. Le combat entre Oleksandr Usyk et Daniel Dubois sera à suivre à partir de 23h, ce samedi 19 juillet, sur la plateforme DAZN.

Et si Dubois, battu à l'issue d'un combat controversé en 2023, était plus qu'un outsider et détrônait cette fois Alexandre Usyk ?
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L'Équipe

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Et si Dubois, battu à l'issue d'un combat controversé en 2023, était plus qu'un outsider et détrônait cette fois Alexandre Usyk ?

Bien que l'Ukrainien Alexandre Usyk (38 ans) soit favori à 3 contre 1, une victoire de l'Anglais Daniel Dubois, beaucoup plus jeune (27 ans) et très puissant, ne constituerait pas une grande surprise, samedi, devant près de 100 000 spectateurs à Wembley. Champion du monde des super-moyens, le Mexicain Saul « Canelo » Alvarez s'est vanté d'avoir parié 500 000 dollars (près de 430 000 euros) sur la victoire de l'Ukrainien Alexandre Usyk face à Daniel Dubois, ce samedi à Wembley. Logiquement, l'incontesté champion du monde des lourds est favori à 3 contre 1, puisqu'il a déjà battu Dubois par arrêt de l'arbitre au neuvième round, le 26 août 2023 à Wroclaw (Pologne). Pourtant, l'Anglais pourrait bien le détrôner. Aucun autre poids lourd actuel n'apparaît aussi dangereux que lui. Un premier combat controversé Lors de leur premier combat, l'Anglais avait envoyé l'Ukrainien au tapis au cinquième round. Percuté par un crochet du droit sur la ceinture de son short, le tenant se retournait et s'effondrait sur les genoux et les poings, indiquant qu'il avait été touché bas. L'arbitre portoricain Luis Pabon le laissait récupérer et, après une minute, Usyk se relevait, mais profitait encore d'une minute avant de repartir au combat. S'estimant victime d'une injustice, Dubois se démoralisait. Il posait un genou à terre aux huitième et neuvième rounds, avant d'être arrêté par l'arbitre. Luis Pabon avait-il commis une faute ? Non, car le règlement indique que tout coup arrivé sous le haut des hanches est irrégulier. Mais, lorsque la règle du coup bas avait été instaurée vers 1910, elle avait pour but de sanctionner les coups dans les parties génitales. Au fil des ans, cette règle a été dévoyée, d'autant que les boxeurs sont désormais pourvus d'une coquille de protection. « J'ai étudié le style d'Usyk, revu ses combats depuis les amateurs, je le connais mieux que ses entraîneurs, affirme l'Anglais Frank Warren, promoteur de Dubois. Il n'aime pas les coups au corps. Et quand Daniel frappe, il fait mal. Même si c'est juste sur le bras. » Dubois a-t-il été privé d'une victoire par K.-O. ? « Si l'arbitre ne m'avait pas laissé récupérer, répond le gaucher ukrainien, s'il m'avait compté, je me serais relevé à temps, avant les dix secondes. » Dubois a progressé Indéniablement, Dubois a progressé depuis leur premier Championnat et ne mise pas que sur son énorme puissance. Il a continué à s'entraîner avec le Nigérian Don Charles, qu'il avait recruté seulement trois mois avant d'affronter Usyk. Et, surtout, iI a remporté les trois plus belles victoires de sa carrière face à deux invaincus, l'Américain Jarrell Miller (arrêt 8e) et le Croate Filip Hrgovic (arrêt 10e), à chaque fois à Riyad (Arabie saoudite), et contre son compatriote Anthony Joshua, en septembre dernier, déjà à Wembley. Alors que ce combat était censé propulser Joshua, encouragé par les 96 000 spectateurs, vers un nouvel affrontement avec Usyk qui l'avait battu deux fois aux points, Dubois le mettait K.-O. au cinquième round. « J'ai revu plein de fois le premier combat de Daniel avec Usyk, commente l'Anglais Kieran Farrell, entraîneur-adjoint de Dubois. C'est maintenant un boxeur différent, que ce soit en raison de travail que nous avons fait avec lui, du travail qu'il a fait lui-même ou du fait qu'il a pris de la maturité. Ce serait idiot de la part d'Usyk de croire qu'il aura affaire au même boxeur. La première fois, Daniel frappait avec un seul coup, sans enchaînement, et était statique. Il ne se déplaçait pas. Il avait été battu par meilleur que lui. » Une explication qui, toutefois, n'a pas convaincu le Lituanien Egis Klimas, manager d'Usyk : « C'est toujours le même boxeur. Que peut-il changer en deux ans ? Vous ne pouvez pas changer votre mental, et c'est ça son point faible. Il a remporté trois victoires, mais ses adversaires n'avaient rien à voir avec Alexandre. » Dubois est réputé manquer de rage de vaincre, car, en plus de s'être démoralisé contre Usyk, il avait déjà posé un genou à terre contre son compatriote Joe Joyce au dixième round et s'était laissé compter « 10 », en 2020. Dubois menait aux points, mais souffrait d'une fracture du plancher de l'orbite gauche. « J'ai encore pris un coup dessus, s'est-il justifié, et la douleur était insupportable. » Face à Joshua, il n'a pas manqué de coeur, ni de résistance. Au cinquième round, Dubois, qui menait largement, était secoué par une droite. En grande difficulté, il réussissait pourtant à contrer Joshua et à le mettre K.-O. Le poids des ans Depuis qu'il est monté chez les poids lourds en 2019, Usyk n'a cessé d'impressionner, y compris lors de ses deux derniers combats, des victoires aux points sur l'Anglais Tyson Fury. Pourtant, aujourd'hui âgé de 38 ans, il pourrait accuser son âge, surtout face à un adversaire de onze ans son cadet. Et, fortune faite, après avoir été champion olympique et champion du monde indiscuté des lourds-légers et lourds, il n'a plus rien à prouver, contrairement à Dubois. « Tous les combats sont importants pour moi et mon équipe, rétorque Usyk. C'est très important pour mon pays, pour les soldats qui se battent pour l'Ukraine. Mon combat est une motivation pour mon pays. C'est très important pour moi. Trente-huit ans, ce n'est pas vieux. Vous verrez samedi soir. » À lire aussi Pacquiao, le combat de trop ? Et maintenant, quel grand combat pour Mbilli ? Mbilli coeur de lion Onley, jeune loup plein d'ambition

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