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Pierre Moscovici : « La France a le choix entre un effort volontaire maintenant et l'austérité subie demain »

Pierre Moscovici : « La France a le choix entre un effort volontaire maintenant et l'austérité subie demain »

Le Parisien17 hours ago
Pierre Moscovici, premier président de la Cour des comptes, juge nécessaire de ne pas reculer sur
le plan de François Bayrou pour redresser les finances publiques
. Selon lui, il est nécessaire pour le gouvernement de tenir compte des demandes politiques des oppositions. «
Une non-censure, cela se gagne et se conquiert
, explique-t-il. Pour cela, il faut convaincre. » Pierre Moscovici revient aussi sur la polémique autour de
la nomination à la Cour des comptes
de l'ex ministre de François Hollande,
Najat Vallaud-Belkacem
.
Le plan d'économies présenté par François Bayrou est-il à la hauteur de la situation ?
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«On confisque leur téléphone, elles en récupèrent un autre» : contre la prostitution des mineures placées, les bonnes âmes s'épuisent
«On confisque leur téléphone, elles en récupèrent un autre» : contre la prostitution des mineures placées, les bonnes âmes s'épuisent

Le Figaro

time15 minutes ago

  • Le Figaro

«On confisque leur téléphone, elles en récupèrent un autre» : contre la prostitution des mineures placées, les bonnes âmes s'épuisent

Le Figaro a voulu savoir ce que vivent ces adolescentes trimballées d'hôtels miteux en Airbnb. S'il y a un lien de cause à effet entre le placement et cette exploitation. Si l'Aide sociale à l'Enfance a les moyens de freiner ce phénomène qui frappe un nombre important des enfants dont elle a la charge. Ilona, Assia, Nour, Asma* nous ont raconté leur histoire. Placées et exploitées : ces jeunes filles de l'ASE piégées par les réseaux de prostitution En savoir plus sur notre série ENQUÊTE - Les jeunes filles qui tombent dans les réseaux de prostitution manquent d'adultes de confiance vers qui se tourner. Les associations réclament une prise de conscience nationale. Et la fin des placements en foyer. Ce matin de novembre 2024 à 6 heures, la famille H. dort quand la sonnette résonne. Hagarde, Samia H., 39 ans, ouvre la porte et, en quelques minutes, une escouade de policiers se fraie un chemin, menotte sa fille Ilona, 15 ans, l'emmène au commissariat. C'est la BRP, la Brigade de répression du proxénétisme de Marseille. «À moi, on me parle pas, on m'explique pas.» Comme Ilona est mineure, sa mère doit signer chacune de ses dépositions. «Et là, vision d'horreur...» En une matinée, sans que les mots ne lui soient dits à elle, Samia H. a découvert la vérité sur les trois ans de placement de sa fille dans les foyers de l'Aide sociale à l'enfance (ASE). Six mois plus tôt, une juge des enfants de Marseille y avait mis un terme, émue par un courrier conjoint de Samia et d'Ilona demandant un retour de cette dernière à la maison. À lire aussi Ilona, prostituée à 12 ans : enquête sur ces jeunes filles placées, piégées par les réseaux de proxénétisme Tout ce qu'Ilona a tu à Samia depuis qu'elle est rentrée, «agressive, insolente, très différente», s'étale en noir sur blanc. À son arrivée au foyer à 12 ans, cette brune au regard vert, qui encore aujourd'hui ressemble à une enfant, a été livrée à des hommes par des «grandes» placées au même endroit. Puis elle a continué de son propre chef via Coco - site rendu célèbre par l'affaire des viols de Mazan, fermé depuis - pour…

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Le Parisien

time15 minutes ago

  • Le Parisien

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C'est une période douloureuse que vivent la plupart des commerçants de l'avenue Gabriel-Péri. Cette grande artère du centre-ville d' Argenteuil (Val-d'Oise) est en travaux depuis avril . Objectif : monter en gamme en attirant de nouvelles enseignes. Le projet , qui prévoit de réduire la circulation à deux voies, diminuer le nombre de places de stationnement, créer des pistes cyclables et planter 360 arbres, est entré dans sa phase la plus contraignante. Jusqu'à la fin du mois d'août, la circulation est totalement fermée sur la majeure partie de l'avenue.

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Le Parisien

time15 minutes ago

  • Le Parisien

Pétition contre la loi Duplomb : « Il y aura sûrement un débat à l'Assemblée pour dire ce qu'on a dit pendant 6 mois », fustige l'élu

La pétition d'une étudiante va-t-elle relancer le débat sur la controversée loi Duplomb ? Le texte a franchi dimanche matin les 780 000 signatures sur le site de l'Assemblée nationale, du jamais-vu, ouvrant la voie à une discussion à l'Assemblée sur le bien-fondé de cette loi. « Cela ne m'inspire pas grand-chose, ça veut dire que l'opposition s'exprime » a réagi ce dimanche Laurent Duplomb, sénateur LR de la Haute-Loire, à l'origine de la loi, au micro de Franceinfo . « Derrière il y aura sûrement un débat qui sera organisé à l'Assemblée nationale pour dire ce qu'on a dit pendant six mois », ironise l'élu qui rappelle qu'« il y a eu des débats, que ce soit au Sénat en première lecture, pendant la commission mixte paritaire, (…) en conclusion de la commission mixte paritaire ». Le sénateur, également agriculteur de profession, a rappelé que « 70 % des sénateurs ont voté cette loi, 60 % des députés l'ont votée : c'est la loi du Parlement qui a été adoptée et qui fera force de loi si elle est promulguée par le président de la République ». À partir de 500 000 signatures, et si celles-ci sont issues d'au moins 30 départements, la Conférence des présidents de l'Assemblée peut décider d'organiser un débat en séance publique. Mais seule la pétition sera débattue. La loi ne sera pas réexaminée sur le fond et encore moins éventuellement abrogée. « Ce que les gens ne comprennent pas forcément dans les 700 000 signatures, c'est que c'est la fin de l'agriculture française », face à la concurrence européenne, juge l'élu. Le texte de loi comprend une mesure particulièrement décriée par les écologistes et la société civile : la réintroduction sous conditions d'un pesticide néonicotinoïde, l'acétamipride , interdit en France depuis 2018. « L'acétamipride est autorisé dans 26 pays sur 27 en Europe », a souligné Laurent Duplomb. « Tous les scientifiques de toute l'Europe, sauf la France, ont donné leur aval pour continuer à l'utiliser jusqu'en 2033 ». Mais, selon le sénateur, en continuant à interdire ce pesticide, la France « fait courir une concurrence déloyale » à ses agriculteurs, dont elle fait des « boucs émissaires ». « Moins nous produirons en France, plus nous seront soumis à acheter des produits qui viennent d'ailleurs et qui ne correspondent pas du tout à nos normes », a-t-il soutenu.

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