
Municipales à Paris : la difficile mise en ordre de bataille de la droite, divisée et en panne d'idées
trois candidats
sur la ligne de départ en vue des
élections municipales de mars 2026
, c'est à présent à la droite de désigner celui ou celle qui portera ses couleurs lors du scrutin.
Et si la question du leadership
n'est toujours pas tranchée à gauche
, entre le socialiste
Emmanuel Grégoire
, le communiste
Ian Brossat
et l'écologiste
David Belliard
, les choses sont également loin d'être réglées chez leurs adversaires.
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25 minutes ago
- Le Figaro
Un homme tué par arme blanche au sud de Lyon
Un autre homme s'est présenté au commissariat s'accusant du meurtre. Un homme de 35 ans a été tué par arme blanche ce samedi matin à Saint-Fons, au sud de Lyon, et un autre s'est rendu à la police, a indiqué à l'AFP le parquet de Lyon. «Un homme de 24 ans s'est présenté au commissariat à 15 heures en s'accusant du meurtre» samedi et «il a été placé en garde à vue» a précisé le parquet. La victime présentait une plaie au thorax et «a été tuée ce matin aux alentours de 5h20 rue Émile Zola», a-t-il ajouté, sans préciser davantage les circonstances. Une enquête a été ouverte du chef d'homicide volontaire et confiée à la division de la criminalité territoriale du Rhône. Publicité Plus d'informations à suivre…

Le Parisien
25 minutes ago
- Le Parisien
Commissariat attaqué, tabac pillé… À Compiègne, une nuit marquée par les violences urbaines
Il pourrait s'agir de représailles aux coups de filets anti-stups menés par les autorités ces dernières semaines. À Compiègne ( Oise ), la nuit de vendredi à ce samedi a été marquée par des violences urbaines dans le quartier du Clos-des-Roses , où une trentaine d'individus cagoulés s'en sont violemment pris au commissariat de police, visé par des tirs de mortiers, avant de piller un bureau de tabac. Exaspéré, le gérant évalue son préjudice à près de 40 000 euros. « À 1h30 et 2 heures du matin, à deux reprises, une trentaine d'individus ont pris pour cible le commissariat de police de Compiègne, et tiré 40 mortiers vers la façade », indiquait vendredi matin un communiqué du préfet de l'Oise, Jean-Marie Caillaud, qui précise que l'attaque n'a fait « aucun blessé » parmi les forces de l'ordre. Appuyés par la gendarmerie nationale et la police municipale, les effectifs de la police nationale ont riposté à coups de lanceurs de balle de défense et de grenades lacrymogènes pour « sécuriser le commissariat et réinvestir le quartier ». Vers 2h15 du matin, le bureau de tabac du Clos-des-Roses, situé à 500 m de là, rue Phileas Lebesgue, a été victime d'une effraction. Les images de vidéosurveillance, que Le Parisien a pu consulter, permettent d'apercevoir une vingtaine d'individus encapuchonnés et masqués fracturer le rideau de fer, puis la porte d'entrée, avant de s'engouffrer dans le magasin pour le piller. Selon le gérant de cette entreprise familiale, Kajan Thavarajah, les émeutiers ont volé près de 4 000 euros en espèce et quasiment l'intégralité de son stock de tabac et de cigarettes électroniques. Ces pertes, ajoutées aux dégâts matériels, feraient grimper son préjudice à près de 40 000 euros. C'est un homme fatigué et exaspéré que nous retrouvons ce samedi matin. « Je suis venu sur place vers 3 heures du matin, après avoir été alerté grâce à l'alarme. Je n'ai pas dormi de la nuit », soupire-t-il. Son tabac, incendié après les émeutes qui avaient suivi la mort du jeune Naël , en juin 2023 à Nanterre (Hauts-de-Seine), avait rouvert il y a tout juste un an . Il s'agace : « Je ne comprends pas pourquoi ils s'en prennent à nous. La journée, on n'a jamais de problèmes avec personne. » Dégoûté par ces nouvelles dégradations, il songe désormais à vendre son commerce et partir travailler ailleurs. Le préfet, Jean-Marie Caillaud, s'est rendu dans la matinée au commissariat de Compiègne avec le premier adjoint au maire, Éric de Valroger, pour apporter son soutien aux forces de l'ordre, saluer leur « sang-froid » et leur « professionnalisme ». Face aux policiers, il a estimé que les violences urbaines pourraient être liées à la politique antidrogue menée par l'État et la Ville. Des coups de filets anti-stups, survenus ces deux dernières semaines dans le quartier du Clos-des-Roses, pourraient avoir attisé la colère des émeutiers. Une enquête a été ouverte, selon la procureure de la République de Compiègne, Caroline Gaziot. Dans un communiqué, le maire de Compiègne, Philippe Marini (LR), assure que « la Ville ne pliera pas devant ceux qui bafouent la loi et troublent la tranquillité publique » et continuera à lutter activement contre les trafics de drogue. « Comme l'a indiqué le préfet, cette mobilisation se poursuivra, bien entendu, dans les jours à venir, avec le même niveau d'intensité. La Ville de Compiègne sera aux côtés des forces de police à chaque instant », assure l'édile.


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Tarn-et-Garonne : un agriculteur tué d'un coup de fusil
Une insulte « vieille d'un an » en cause. Dans le Tarn-et-Garonne , Paul Rivière, un agriculteur de 42 ans, a été tué d'un coup de fusil dans la poitrine dans sa ferme à Saint-Loup. Le suspect, interpellé jeudi, a reconnu les faits et a été mis en examen pour assassinat, a indiqué le procureur de Montauban, confirmant une information de la Dépêche du Midi. L'auteur présumé du tir mortel est un jeune homme de 25 ans se disant schizophrène . Il aurait expliqué aux enquêteurs avoir décidé de tuer la victime, âgée de 42 ans, après s'être souvenu d'un message vocal « insultant » envoyer par la victime un an plus tôt, a indiqué samedi le procureur, Bruno Sauvage. L'agriculteur , connu dans la commune, a été retrouvé à son domicile vers 18 heures, près d'Agen par une amie inquiète d'être sans nouvelles de lui. Deux fusils de chasse au calibre pouvant correspondre à la blessure de la victime ont été découverts lors d'une perquisition chez le suspect. Des expertises balistiques doivent encore être menées, a précisé le procureur.