
DIRECT. Tour de France 2025, 7ème étape (Saint-Malo - Mûr-de-Bretagne (Guerlédan))
174 km
Alaphilippe attaque !
C'est Julian Alaphilippe, le Français, qui accélère en tête du peloton et lance une attaque pour relancer la course pour l'échappée.
il y a 3min,
176 km
Fin de l'échappée
Van Aert et Schmid viennent d'être repris par l'avant-garde du peloton.
il y a 4min,
177 km
Wellens à l'avant du peloton.
Tim Wellens, meilleur grimpeur de ce Tour de France, prend les commandes du peloton. Le puncheur belge imprime un rythme intense, réduisant l'écart avec les échappés à seulement 7 secondes.
il y a 7min,
179 km
L'écart reste stable malgré un peloton en chasse
Le peloton roule à vive allure sous l'impulsion de Movistar et Uno-X qui cherchent à relancer la course. Mais en tête, les deux échappés collaborent parfaitement et maintiennent leur avance stable, toujours à 15 secondes.
il y a 13min,
185 km
L'écart augmente légèrement
il y a 18min,
189 km
Van Aert et Schmid en tête
Le rythme est très soutenu à l'avant du peloton, qui tente de revenir sur les deux échappés, Wout van Aert (Visma-Lease a Bike) et Mauro Schmid (Jayco-AlUla), toujours en tête avec 5 secondes d'avance.
il y a 23min,
196 km
Des premières attaques
Départ très tonique pour les coureurs du Tour de France ! Parmi les premiers attaquants on retrouve Wout Van Aert (Visma Lease a Bike), Victor Camapanaerts (Visma Lease a Bile), Jonas Abrahamsen (Uno X Mobility).
il y a 25min
Départ réel : la 7e étape du Tour de France s'élance !
il y a 42min
Départ fictif
Le peloton vient de s'élancer à l'instant pour 7,4 kilomètres de défilé dans les rues de Saint-Malo. Pour rappel, le départ réel est prévu à 12h25.
il y a 55min
2450 m
C'est le dénivelé positif qu'affronteront les coureurs lors de cette 6e étape.
il y a 56min
Cinquième passage pour Mûr-de-Bretagne, la « petite Alpe d'Huez » bretonne
Mûr-de-Bretagne, ville-étape pour la cinquième fois, s'est imposée en une décennie comme un passage incontournable du Tour de France. Sa côte, aussi appelée Menez-Hiez, est devenue un classique, souvent surnommée « l'Alpe d'Huez bretonne » pour son importance et sa difficulté. Depuis sa première apparition en 1947, où René Vietto y avait perdu le maillot jaune lors d'un contre-la-montre historique, la côte a vu défiler de grands noms du cyclisme. En 2011, Cadel Evans y avait signé une victoire annonciatrice de son titre final. Plus récemment, des puncheurs comme Alexis Vuillermoz (2015) ou Dan Martin (2018) s'y sont imposés, tandis que la dernière arrivée en 2021 a offert un moment d'émotion intense avec la victoire de Mathieu Van der Poel, qui y a enfilé le maillot jaune que son grand-père Raymond Poulidor n'avait jamais eu.
il y a 59min
Pour la 10e fois, Saint-Malo accueille la Grande Boucle
Cette année, Saint-Malo fait son grand retour sur le Tour de France. C'est la 10e fois que la cité corsaire est ville étape. Cette ville fortifiée, célèbre pour ses impressionnants remparts, son château historique et sa cathédrale majestueuse, est une étape incontournable de la course. Depuis ses premières apparitions sur la Grande Boucle, Saint-Malo a souvent été le théâtre d'arrivées propices aux sprinteurs, avec des victoires mémorables signées par des coureurs rapides comme Marcel Kittel en 2013. Dès les années 60, des coureurs comme André Darrigade, Walter Godefroot ou Patrick Sercu avaient déjà marqué les esprits en s'imposant ici. Saint-Malo est aussi liée à une étape légendaire en 1960, où une échappée entre cette ville et Lorient a bouleversé le classement général, offrant le maillot jaune à Gastone Nencini après une victoire d'étape signée Roger Rivière.
11h46
Les maillots distinctifs au départ de l'étape
11h44
Description du parcours
Pour cette 7e étape du Tour de France 2025, les coureurs partiront de Saint-Malo pour rejoindre Mûr-de-Bretagne Guerlédan sur 197 kilomètres. Le parcours, plutôt vallonné, présente un dénivelé positif conséquent de 2450 mètres, avec plusieurs petites côtes tout au long de la journée qui mettront déjà à l'épreuve les jambes des coureurs. Mais l'enjeu principal se trouve dans les 20 derniers kilomètres, avec la difficulté finale du Mûr-de-Bretagne : une montée de 2 kilomètres à 6,9 % de moyenne, précédée d'une autre côte classée en 4e catégorie. Ce final très sélectif, déjà emblématique du Tour, promet une bataille intense entre les favoris et pourrait bien être le théâtre d'attaques décisives.
11h38
Bonjour et bienvenue !
Bienvenue sur notre site pour suivre en direct et en intégralité la septième étape du Tour de France 2025 entre Saint-Malo et Mûr-de-Bretagne. L'étape de la veille a été marquée par une lutte acharnée pour intégrer l'échappée, un rythme effréné, et surtout la superbe victoire en solitaire de Bean Healy. Aujourd'hui, les coureurs évoluent sur un terrain plus plat, mais qui réserve encore quelques belles difficultés en fin de parcours. Le juge de paix du jour ? Mûr-de-Bretagne, qui reçoit le Tour pour la cinquième fois de son histoire et dont les pentes ont déjà été le théâtre de belles histoires. Départ de l'étape à 12h25.

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
28 minutes ago
- Le Figaro
XV de France : longtemps dans le coup, les Bleus tombent une troisième fois en Nouvelle-Zélande
Pour le dernier match de la tournée d'été face aux All Blacks, les Bleus se sont inclinés de peu (29-19) malgré un nouveau match de bonne facture. Comme au premier test, le XV de France a été très longtemps dans le coup, a dominé physiquement des All Blacks peu inspirés mais a fini par céder (29-19). Le manque de fraîcheur a payé et le coaching néo-zélandais a fait la différence. Les tricolores n'ont marqué qu'un seul essai par Le Garrec (8e) alors que les joueurs à la fougère argentée en ont inscrit trois (Jordan, Lienert-Brown, Kirifi). Courageux et proches d'un exploit au premier et dernier test, les hommes de Galthié terminent toutefois la tournée avec trois défaites en trois matches. Publicité Le Garrec a guidé les siens Ils voulaient les faire douter. Repartir avec une victoire prestigieuse, historique, de cette tournée en Nouvelle-Zélande. Un succès ou l'oubli, disait-on. Alors les Bleus, qui avaient visiblement coché ce dernier match, ont envoyé tout ce qu'ils leur restaient dans une bataille féroce à Hamilton. Après plusieurs minutes décousues, Nolann Le Garrec, déterminé, ouvrait le bal en terminant dans l'en-but derrière un solide ballon porté mené par Pierre Bourgarit (9e). Le ton était donné. Face à des Néo-Zélandais bousculés et peu précis, les Bleus ne baissaient pas en régime, continuaient leur courageux travail de pilonnage et prenaient même 10 points d'avance grâce à la botte de leur demi de mêlée (20e). Même scénario que durant le premier test (les Bleus menaient également 0-10) ? Mêmes erreurs également. Deux minutes seulement après la pénalité inscrite par Le Garrec, Ratima usait du pied dans le second rideau, curieusement déserté par Léo Barré, et l'inévitable Will Jordan surgissait (pour inscrire son 42e essai international) et ainsi sonner la révolte. Antoine Hastoy passait ensuite un drop astucieux (24e) , auquel répondait Damian McKenzie par une pénalité près des 22 mètres (31e). Trois minutes plus tard, Le Garrec, impérial au pied et dans le jeu courant, passait deux pénalités pour donner neuf points d'avance aux Bleus. Admirables en défense (21 plaquages pour Fischer, 16 pour Halagahu et 14 pour Erdocio), les hommes de Fabien Galthié craquaient finalement dans les dernières secondes après une séquence interminable, encaissant un essai de Lienert-Brown sur une mauvaise montée défensive de Barré, décidément peu à son aise en première période. Le XV de France basculait néanmoins avec deux points d'avance à la pause, à 40 minutes d'un exploit historique (17-19). Les Bleus, si près, si loin Il y avait ainsi de quoi croire en un exploit historique. Mais dans un deuxième acte cadenassé, les All Blacks, comme lors du premier test, ont donné une leçon d'occupation aux Bleus. Incapables de sortir de leur camp, tout le temps acculés grâce à un jeu au pied parfaitement maîtrisé de la part de McKenzie et de Barret (entré à la 55e). Kirifi, à la 55e, donnait ainsi l'avantage aux siens (sur une nouvelle erreur de Léo Barré, auteur d'un match catastrophique), avant que McAlister, bien servi par Jordie Barret, ne vienne mettre un terme aux espoirs tricolores (76e). Théo Attissogbe et les siens n'auront pas existé dans ce second acte, mais pourront se targuer d'avoir encore fait douter les hommes du pays du long nuage blanc, en s'appuyant sur une énergie débordante et une défense ô combien valeureuse. Il y aura certainement beaucoup à retenir de cette tournée d'été pour le staff tricolore. Pour les supporters cependant, ces trois défaites face à la Nouvelle-Zélande ne devraient pas rester dans les annales.


Le Figaro
28 minutes ago
- Le Figaro
Ligue 1 : «quel plaisir de recruter sans menottes», le tacle de Textor envers la DNCG
L'ancien président de l'OL, John Textor, s'est fendu d'une nouvelle pique à l'égard de la DNCG sur son compte Instagram, affirmant apprécier diriger un club «sans l'interférence d'un agenda politique». John Textor n'a décidément pas sa langue dans sa poche. L'homme d'affaires a provoqué le foot français et plus particulièrement la DNCG dans une récente story Instagram. On y voit l'Américain se réjouir de l'arrivée de six nouveaux joueurs à Botafogo en affirmant que «conquérir des trophées et recruter sans menottes [était] un vrai plaisir». Une pique acerbe complétée par une autre phrase dénonçant le fonctionnement du ballon rond dans l'hexagone. Il n'a par la suite pas manqué d'affirmer qu'il se délectait de diriger un club «sans l'interférence d'un agenda politique». Vincent Labrune, Philippe Diallo et Jean-Marc Mickeler apprécieront (respectivement présidents de la LFP, de la FFF et de la DNCG). John Textor a taclé la DNCG sur ses réseaux sociaux. lancedigital sur X Publicité Ce tacle s'ajoute à une longue liste de précédents, visant la plupart du temps spécialement la DNCG. Il y a quelques jours, Textor avait déjà estimé que «la gouvernance en France ne fonctionnait pas». Une réponse à peine voilée à la rétrogradation de l'OL en Ligue 2, annulée depuis en appel. L'homme d'affaires américain n'a probablement pas digéré sa mise à l'écart de l'OL.


L'Équipe
28 minutes ago
- L'Équipe
Un XV de France vaillant craque en deuxième mi-temps et s'incline pour la troisième fois en Nouvelle-Zélande
En tête à la pause, la France s'est inclinée pour la troisième fois d'affilée face à la Nouvelle-Zélande (29-19), samedi, à Hamilton, lors de l'ultime match de sa tournée d'été. Après le 14 juillet 1979 à Auckland, le 26 juin 1994 à Christchurch, le 3 juillet 1994 à Auckland et le 13 juin 2009 à Dunedin, il n'y aura pas de cinquième glorieuse cet été. Battus 31-27 à Dunedin puis 43-17 à Wellington, les Bleus ont chuté 29-19 à Hamilton, samedi, non sans être restés en tête au score jusqu'à l'heure de jeu. Le quinze de France a commencé par défendre et défendre encore de longues séquences néo-zélandaises. Ce fut fait sans se mettre à la faute. Les Bleus récupérèrent ensuite la première touche des All Blacks, trop longue, et une première pénalité pour une faute sur un ballon porté. Ils firent le choix de ne pas la tenter pour viser une pénaltouche. L'option ambitieuse fut payante puisque le maul avança, en crabe mais il avança, jusqu'à temps que Nolann Le Garrec s'infiltre au ras pour aplatir (0-7, 9e). Les Bleus durent de nouveau refouler une attaque à rallonge autour de leurs quarante mètres. Malgré une touche directe d'Antoine Hastoy, une hésitation de Léo Barré sur un petit rasant, l'animation néo-zélandaise fut contenue et la contre-attaque permit d'investir le camp adverse. Présents dans les duels à l'image de Joshua Brennan, agressifs dans les montées, Gaël Fickou et ses acolytes réglèrent peu à peu leur jeu au pied offensif. Et sur une bonne séquence de possession, Anton Lienert-Brown leur offrit une pénalité cadeau pour creuser l'écart (0-10, 20e). Tout se passait bien jusqu'à ce petit par-dessus de Cortez Ratima qui piégea la couverture de fond de terrain française, mal répartie sur ce coup. Un boulevard devant lui, Will Jordan marqua sur une occasion qui n'en était pas vraiment une. Ballot et rageant à la fois. Le drop d'Hastoy travaillé toute la semaine Aussitôt, les Bleus réagirent et Hastoy dégaina un drop, qu'on l'avait vu préparer toute la semaine (7-13). Les Néo-Zélandais revinrent aussi sec à la charge. Sur leur ligne, Le Garrec et Nicolas Depoortere « tuèrent » une action dangereuse avant que Jordan reste un poil court sur une passe au pied de McKenzie. C'est finalement d'une pénalité que durent se contenter les All Blacks. Elle leur fut rendue par Le Garrec (10-16, 34e). Cette première période fort cohérente des Français fut récompensée par trois points de plus, à la suite d'un grattage de Mickaël Guillard (10-19). Désireux d'en rester là à la pause, les Bleus se crachèrent dans les pognes pour défendre un ballon porté hyper menaçant. Mais cela ne fut pas suffisant : à la 43e, vague après vague après vague, Lienert-Brown trouva la faille et ramena les siens à deux points (17-19). À la reprise, Gabin Villière, tellement présent, subtilisa dans les airs le coup d'envoi, les Bleus enchaînèrent avec du jeu à une passe mais cette fois, le drop d'Hastoy manque la cible. Un cafouillage de Barré près de l'en-but français fit craindre le pire (45e) mais il fut évité. La défense des Bleus sut ensuite coffrer un ballon chaud et obtenir une pénalité sur la mêlée qui suivit. C'est ensuite Villière, dans son style hyperactif, qui permit de récupérer une pénalité mais Le Garrec, dans une position difficile, la loupa. L'ailier toulonnais se laissa ensuite emporter, commit une faute sur le relayeur puis les Bleus se rendirent coupables d'une absence sous une chandelle et à la longue, l'élastique cassa. Sur un rasant de McKenzie, Sevu Reece bougea Léo Barré au duel et l'essai de Kirifi fit passer les Blacks en tête pour la première fois (22-19, 60e). Sur un contre, Émilien Gailleton fut proche de planter un essai en coin mais les Blacks, supérieurs en mêlée, s'installèrent dans les trente mètres français. Un essai fut évité par Le Garrec, contraint de sortir juste après (68e), mais le bivouac dans le camp des Bleus se prolongeait jusqu'à ce que la résistance française n'obtienne un nouveau renvoi d'en-but. L'équipe de Fabien Galthié a ensuite cédé à la 76e sur un franchissement de Jordie Barrett qui raffûta Romain Taofifenua pour ouvrir la voie de l'essai à Brodie McAlister (29-19) et garantir une troisième victoire aux siens dans cette série de tests.