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Olivia Smith rejoint Arsenal pour 1,15 million d'euros, transfert le plus élevé du football féminin

Olivia Smith rejoint Arsenal pour 1,15 million d'euros, transfert le plus élevé du football féminin

L'Équipe3 days ago
Arsenal a officialisé ce jeudi l'arrivée de la Canadienne Olivia Smith pour 1 million de livres, soit 1,15 million d'euros. Il s'agit du transfert le plus cher de l'histoire du football féminin.
Un record mondial. La Canadienne Olivia Smith s'est officiellement engagée avec Arsenal, ce jeudi, pour un montant de 1 million de livres (1,15 million d'euros), selon les médias anglais. C'est la première fois qu'un transfert atteint cette somme dans le football féminin, surpassant l'arrivée de Naomi Girma à Chelsea pour 1 million d'euros.
La milieu de terrain offensive de 20 ans débarque de Liverpool, où elle avait déjà établi le record de la transaction la plus élevée du club, l'été dernier, avec un transfert estimé à 250 000€. Chez les Reds, l'internationale canadienne (18 sélections, 4 buts) a marqué 9 fois en 25 matches toutes compétitions confondues, faisant d'elle la meilleure buteuse du club la saison dernière.
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Oliver Solberg remporte à la surprise générale le rallye d'Estonie devant Tänak et Neuville, Fourmaux 5e
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L'Équipe

time14 minutes ago

  • L'Équipe

Oliver Solberg remporte à la surprise générale le rallye d'Estonie devant Tänak et Neuville, Fourmaux 5e

Après un week-end de rêve, Oliver Solberg a remporté dimanche le rallye d'Estonie à la surprise générale. Le Suédois de 23 ans, pourtant en pige, s'est imposé avec la manière devant les favoris, dont Ott Tänak et Thierry Neuville, qui complètent le podium. Adrien Fourmaux termine 5e. C'est l'une des plus grandes surprises de l'histoire du WRC. Incroyable de solidité et de régularité d'un bout à l'autre, Oliver Solberg a inscrit son nom au palmarès du rallye mondial en remportant le rallye d'Estonie dimanche, d'une manière aussi inattendue que méritée. Le Suédois de 23 ans devait être là pour apprendre. Trois ans après une saison écourtée avec Hyundai, il ne faisait qu'une pige (la seule prévue pour l'instant) dans la catégorie reine avec Toyota, marque pour laquelle il dispute le Championnat WRC2 dont il est d'ailleurs le leader. Mais dès la première vraie spéciale vendredi matin, le fils de Petter (champion du monde 2003, 13 victoires en WRC dont la dernière en 2005) a imprimé le rythme. Et personne n'a pu contester sa suprématie, pas même Ott Tänak, pourtant à domicile, qui termine à plus de 20 secondes, un petit gouffre sur un rallye au profil aussi rapide. « Je n'ai jamais vécu quelque chose d'aussi génial de toute ma vie » Oliver Solberg Vendredi, l'Estonien avait tenté de convaincre que la position sur la route de Solberg (partant plus loin que les prétendants au Championnat avec une piste balayée et un peu plus rapide) était la raison de ses performances. Les six spéciales gagnées samedi et dimanche, alors que Solberg découvrait la Yaris GR Rally1 sous la pluie, ont prouvé que le Suédois était tout simplement le plus fort. « Après avoir essayé et rêvé autant de temps, moi et Elliot (Edmondon, son copilote), on l'a fait ! Je ne sais pas comment décrire ce que je ressens. Je veux remercier Toyota et leur équipe d'essais qui m'a permis d'être aussi à l'aise. C'est vraiment une incroyable équipe et je n'ai jamais vécu quelque chose d'aussi génial de toute ma vie », a-t-il lâché, ému après avoir été accueilli par ses parents et sa fiancée au point stop final. C'est une gifle de plus pour tous les « permanents » du Championnat du monde des rallyes. Alors que Sébastien Ogier, qui les a plus que maltraités cette année (3 victoires et 2 2e place en 5 rallyes), n'était pas là, c'est un petit jeune - le troisième plus jeune vainqueur de rallye dans l'histoire du Championnat du monde - qui leur a fait la leçon. Tentant d'expliquer l'inexplicable, Tänak n'a pas manqué de se plaindre de sa Hyundai i20 N tout au long des spéciales, même s'il a reconnu à l'arrivée ne pas avoir abordé le week-end avec le meilleur état d'esprit possible. Il termine deuxième derrière Solberg et réalise la meilleure opération au Championnat du monde, prenant la tête du général pour un point (162 contre 161) devant un Elfyn Evans (Toyota, 6e) à nouveau inoffensif, même lorsqu'il n'ouvrait pas la route. Fourmaux, une cinquième place logique Pénalisé de 10 secondes par un départ volé d'un rien dimanche matin, Thierry Neuville (Hyundai) affichait plutôt un sourire avec sa troisième place à l'arrivée. Le champion du monde en titre, souvent à la peine cette saison (c'est seulement son 3e podium cette année), était satisfait d'avoir quasiment fait jeu égal avec Tänak sur un terrain qui ne lui convient pas d'habitude. Derrière, Kalle Rovanperä (4e), qu'on pensait retrouvé après sa démonstration de force aux Iles Canaries, a montré une nouvelle fois ses limites sur terre cette saison. Au Championnat, avec 138 points, il reste derrière Ogier qui compte trois courses de moins (et 141 unités), avant le retour du Français en Finlande. « Je n'ai pas la vitesse sur terre et il n'y a pas d'excuse, a regretté le double champion du monde, alarmiste. D'habitude en Estonie, je fais de bon temps même en pilotant normalement et là, j'ai vraiment essayé ce week-end... Donc si on n'y arrive pas ici, je ne vois pas comment on pourra y arriver ailleurs. » Adrien Fourmaux a, lui, signé une cinquième place intéressante sur un terrain où il a encore à apprendre. En difficulté dès les premières spéciales, il a retrouvé du rythme ensuite, mais n'a jamais pu se battre avec les meilleurs. Dimanche, trop optimiste sur un saut, il a endommagé l'avant de sa Hyundai i20 N ne pouvant pas défendre pleinement ses chances dans la Power stage notamment. Il gagne quand même une place au Championnat du monde (6e désormais) puisque Takamoto Katsuta (Toyota) a été contraint d'abandonner dimanche sur problème mécanique. Miné par un problème moteur vendredi, Sami Pajari doit se contenter de la 7e place et devance le trio de Ford M-Sport : Martin Sesks (8e), Joshua McErlean (9e) et Grégoire Munster (10e). En WRC2, le local Robert Virves s'est imposé en l'absence de tous les autres prétendants au titre (Yohan Rossel, Solberg, Gus Greensmith, Nikolay Gryazin...).

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