
« Ce qui nous empêche de sombrer, c'est l'amour » : après l'incendie, les champions de la planche apéro gardent espoir
Sucy-en-Brie
. « Je crois que ce qui nous empêche de sombrer, c'est l'amour. L'amour qu'on met dans notre travail, et celui qu'on a l'un pour l'autre », confie ce mercredi 16 juillet, d'une voix douce mais ferme, Véronique, la cofondatrice des Savouristes.
Le 11 juillet à l'aube, un incendie accidentel a totalement ravagé leur laboratoire de production. L'origine reste inconnue mais les dégâts sont considérables : la structure est fragilisée, les installations électriques fondues, les chambres froides condamnées. À l'intérieur, des stocks entiers destinés aux événements prévus, qu'ils ne pourront pas honorer.
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Le Parisien
35 minutes ago
- Le Parisien
Pétition contre l'implantation d'une supérette : à Paris, ces célébrités en veulent-elles vraiment à Carrefour City ?
C'est un petit local encore vide, au rideau de fer tiré, surmonté d'une vaste terrasse arborée et entouré d'élégants appartements haussmanniens. La petite placette, au croisement des très chics rues Vavin et Bréa (VIe arrondissement de Paris), à deux pas du jardin du Luxembourg, sait se faire discrète. En apparence seulement. Car depuis plusieurs mois, une sourde révolte gronde au sein de son voisinage très huppé qui refuse de voir s'y installer un Carrefour City . L'enseigne de magasins de proximité doit ouvrir ses portes au mois d'août, en lieu et place d'un magasin de jouets, désormais fermé. Au grand dam de certains riverains qui, dans une pétition , alertent sur les « nuisances » et les « risques non négligeables pour ( leur ) sécurité ». Un conflit de voisinage en apparence banal, d'abord raconté dans Le Parisien , qui est en passe de virer au roman social, sur fond de lutte des classes à la sauce VIe arrondissement. Car parmi les signataires opposés à l'arrivée de la supérette figurent nombre de célébrités du monde de la chanson, du cinéma, de la politique ou des médias. Comme l'a d'abord révélé le site d'informations stratégiques La Lettre , puis le journal Le Monde , l'ancien ministre Jacques Toubon aurait notamment apposé sa signature, tout comme le chanteur Alain Souchon , son épouse et ses deux fils, l'essayiste Alain Finkielkraut et sa femme, l'avocate Sylvie Topaloff , ou encore l'actrice Catherine Frot . Cité également, le dénommé Pierre Richard ne serait cependant pas le célèbre acteur (de son vrai nom Pierre-Richard Defays) mais bien le banquier, fondateur et président de Dexia, comme nous le confirme Bruno Segré, à l'origine de la pétition. Un petit entre-soi de privilégiés, vent debout contre l'arrivée d'une enseigne davantage populaire ? Sous la pluie battante de ce dimanche 20 juillet au matin, ce commerçant du quartier, qui n'a pas souhaité donner son nom, trouve cette vision un brin « caricaturale ». Mais celui qui compte parmi ses clients réguliers Catherine Frot ou Ruth Elkrief n'est pas loin de partager le sentiment de ses voisins fortunés. « Ils ont envie de garder ce côté village, familial, c'est bien normal, laissez les gens vivre, souffle le commerçant. À la place de cette supérette, on aurait préféré un truc un peu chic, un peu classe, là, ça va gâcher. Mais le monde change et le quartier aussi… » Signataire assumé de la pétition, l'essayiste Alain Finkielkraut ne le contredira pas. Sollicité par Le Parisien, l'académicien trouve cette mise en cause « répugnante ». « C'est totalement absurde, les gens à l'origine de cette pétition ne sont pas des riches, plaide l'écrivain. Nous voulons juste préserver la beauté et la tranquillité de ce quartier. L'arrivée de ce Carrefour City, ça serait la mort de cette place. » Sur le fond, le message d'Alain Finkielkraut se fait plus politique, rejoignant les thèses des opposants à la maire de Paris agissant au sein de la mouvance « Saccage Paris » . « Ce sont des militants de l'enlaidissement de la capitale, tance l'essayiste. Tout cela fait partie du plan du saccage de Paris. J'espère que les riverains auront gain de cause… » À l'inverse de l'académicien, d'autres personnalités mises en cause ont rapidement tenu à se désolidariser des intentions qui leur étaient prêtées. La journaliste Ruth Elkrief (notamment autrice de chroniques pour Le Parisien) dément ainsi avoir signé la moindre pétition. « J'ai rencontré une personne qui s'est présentée à moi comme un confrère et me demandait comment médiatiser sa pétition, retrace la journaliste. J'ai seulement voulu être aimable et je lui ai indiqué que je n'avais pas à me prononcer pour ou contre, cela n'était pas mon rôle. Je signe très peu de pétitions. Quand mon nom est apparu, je suis tombée des nues. Tout cela est un concours de circonstances. » Également cité parmi les signataires, le chef d'entreprise Denis Olivennes a lui aussi moyennement apprécié la publicité de son nom. Dans un échange avec la journaliste du Monde qu'il s'est autorisé à reproduire sur le réseau social X, l'essayiste indique ainsi ne pas être « contre la présence de ces mini grandes surfaces » mais bien « contre la fermeture d'un magasin de jouets ». Sollicitée par Le Parisien, une autre de ces célébrités (qui préfère rester anonyme) est, elle aussi, restée « scotchée » en voyant son nom apparaître. « J'ai d'abord signé en soutien aux commerçants avec qui j'entretiens de bons rapports, souffle-t-il. Je n'approuvais pas spécialement le ton de la pétition qui était un peu alarmiste. En aucun cas mon propos n'était de dire que les riches voulaient rester entre eux… » Faut-il y voir un rétropédalage de ce mondain voisinage ? Ou bien une « manipulation » de l'auteur de la pétition qui aurait pris quelques largesses avec la vérité ? « Je tiens tout à disposition, rétorque Bruno Segré, ancien journaliste économique. Tout ceci ressemble à une campagne de déstabilisation. Certains font aujourd'hui machine arrière mais nous n'avons tordu le bras à personne pour signer cette pétition. » Dans ce petit bout de quartier qui, il y a trente ans, était déjà parvenu à faire reculer le géant de la restauration McDonald's , Bruno Segré veut croire que ce « bashing » aura au moins le mérite de redonner de la visibilité à son combat. « C'est une campagne qui va faire bouger les lignes, insiste-t-il. Notre combat, c'est celui de la défense des commerces de proximité et de la qualité de vie d'un quartier. On ne va pas abandonner. »


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