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Dernier hommage à Serge Fiori, les doutes de Carney et Moscou a besoin de « temps »

Dernier hommage à Serge Fiori, les doutes de Carney et Moscou a besoin de « temps »

La Presse4 days ago
La journée passe vite. Voici les trois nouvelles qui ont marqué l'actualité jusqu'ici.
L'hommage national s'est tenu à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, à Montréal
L'hommage national à Serge Fiori s'est déroulé à Montréal mardi après-midi. Plusieurs personnalités publiques ont participé à l'événement, dont le premier ministre François Legault, les chanteurs Richard Séguin et Michel Rivard, et l'acteur Luc Picard. Le cofondateur du groupe Harmonium s'est éteint le 24 juin à 73 ans.
Carney doute du retrait des droits de douane même avec un accord négocié
Pendant que Donald Trump qualifie d'« entente » les lettres qui menacent de frapper le Canada de nouvelles mesures tarifaires, le premier ministre Mark Carney soutient qu'un accord négocié avec les États-Unis est toujours possible, mais que cela n'éliminera pas forcément les droits de douane.
PHOTO SPENCER COLBY, LA PRESSE CANADIENNE
Le premier ministre du Canada, Mark Carney
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La Défense civile annonce la mort de 39 Palestiniens près des centres d'aide humanitaire
La Défense civile annonce la mort de 39 Palestiniens près des centres d'aide humanitaire

La Presse

time3 hours ago

  • La Presse

La Défense civile annonce la mort de 39 Palestiniens près des centres d'aide humanitaire

Un homme blessé lors d'une distribution de nourriture dans un centre géré par la Fondation humanitaire de Gaza est transporté à l'hôpital Nasser de Khan Younès, le 19 juillet 2025. La Défense civile annonce la mort de 39 Palestiniens près des centres d'aide humanitaire (Gaza) La Défense civile locale a affirmé que 39 Palestiniens avaient été tués samedi par des tirs israéliens près de centres d'aide humanitaire dans la bande de Gaza, affamée et ravagée par la guerre entre Israël et le Hamas. Agence France-Presse Les quelque deux millions de Palestiniens assiégés par Israël à Gaza sont au bord de la famine après plus de 21 mois de conflit, déclenché par une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien sur le sol israélien le 7 octobre 2023. Le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, a déclaré à l'AFP que « 39 personnes qui attendaient de l'aide humanitaire » avaient été tuées par l'armée israélienne. Plus tôt, il avait fait état de 32 morts et plus de 100 blessées près d'un centre au sud de Khan Younès (sud) et près d'un autre au nord de Rafah, attribuant les attaques à des « tirs israéliens ». Selon la même source, les tirs ont eu lieu à proximité de centres de distribution d'aide humanitaire gérés par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), soutenue par les États-Unis et Israël. La GHF a indiqué que les informations faisant état de morts près de ses sites étaient « fausses ». Un témoin a raconté à l'AFP s'être rendu avant l'aube avec cinq membres de sa famille pour chercher de la nourriture dans l'un de ces centres, lorsque des soldats israéliens ont commencé à tirer, selon lui. « Que des balles » « Nous n'avons rien pu avoir », a affirmé Abdelaziz Abed, 37 ans. « Chaque jour, je m'y rends mais nous ne recevons que des balles ». Trois autres témoins ont également accusé les soldats d'avoir ouvert le feu. Interrogée par l'AFP, l'armée israélienne a indiqué avoir identifié dans le secteur de Rafah des « suspects » qui se sont approchés de soldats. PHOTO AGENCE FRANCE-PRESSE Un homme blessé reçoit des soins médicaux à l'hôpital Nasser de Khan Younès, le 19 juillet 2025. Ils n'ont pas obtempéré aux appels à quitter les lieux et les soldats ont ouvert le feu en guise d'avertissement, a précisé l'armée, ajoutant avoir reçu des informations sur des victimes. « Nous examinons l'incident » qui s'est déroulé la nuit à environ un kilomètre du centre d'aide fermé à ce moment-là, selon l'armée. « Nous avons averti à plusieurs reprises les personnes en quête d'aide de ne pas se rendre sur nos sites pendant la nuit et tôt le matin », a déclaré la GHF sur X, faisant état de « fausses » informations sur des morts près de ses sites. Cette organisation avait commencé ses opérations fin mai, après un blocus humanitaire total de plus de deux mois imposé par Israël en dépit des avertissements de l'ONU sur un risque imminent de famine à Gaza. L'ONU et des ONG humanitaires refusent de travailler avec cette organisation au financement opaque en raison de préoccupations concernant ses procédés et sa neutralité. Après plusieurs semaines marquées par des scènes de chaos et des informations quasi quotidiennes faisant état de Palestiniens tués en attendant de l'aide, la GHF a reconnu la mort mercredi de 20 personnes dans une bousculade sur l'un de ses sites. En début de semaine, l'ONU a indiqué avoir recensé 875 personnes tuées en tentant de se procurer de la nourriture depuis fin mai, dont 674 « à proximité des sites de la GHF ». « Ouvrez les passages » Ailleurs dans le centre de la bande de Gaza, la Défense civile a fait état de 12 morts dans une frappe contre une maison à Nusseirat. Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël, qui assiège Gaza, et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et affirmations des différentes parties. L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) a assuré samedi disposer de stocks alimentaires suffisants pour toute la bande de Gaza pendant plus de trois mois. « Ouvrez les passages, mettez fin au blocus, et laissez l'Unrwa accomplir sa mission », a-t-elle écrit sur X. Les négociations indirectes entre le Hamas et Israël en vue d'une trêve sont dans l'impasse, la branche armée du Hamas accusant vendredi Israël de les bloquer. L'attaque du 7–Octobre a entraîné du côté israélien la mort de 1219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles. Sur les 251 personnes également enlevées ce jour-là, 49 sont toujours otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne. Israël a juré de détruire le Hamas et a lancé en représailles une offensive destructrice dans laquelle au moins 58 765 personnes, majoritairement des civils, ont été tuées, selon des données du ministère de la Santé à Gaza, jugées fiables par l'ONU.

Manifestation à Québec contre le projet de loi 97
Manifestation à Québec contre le projet de loi 97

La Presse

time7 hours ago

  • La Presse

Manifestation à Québec contre le projet de loi 97

Le projet de loi 97 porté par la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, a été vivement critiqué par des communautés autochtones et des groupes environnementaux, à l'exception des acteurs de l'industrie forestière. (Montréal) Une manifestation organisée par le Front de Résistance Autochtone Populaire (FRAP) contre le projet de loi 97 sur le régime forestier a eu lieu samedi midi devant le Parlement du Québec. Les organisateurs exigent le retrait complet du projet de loi et appellent la population allochtone à se joindre à eux. Quentin Dufranne La Presse Canadienne Le projet de loi porté par la ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, a été vivement critiqué par des communautés autochtones et des groupes environnementaux, à l'exception des acteurs de l'industrie forestière. Les opposants au PL97 reprochent notamment au gouvernement d'avoir donné carte blanche à l'industrie forestière pour exploiter la ressource. « On fait un projet de loi qui est inacceptable, car il va détruire notre territoire comme jamais auparavant et notre territoire est déjà détruit par l'industrie forestière et, avec le PL 97, ça va juste s'empirer, a expliqué à La Presse Canadienne en marge de l'évènement, le militant pekuakamiulnu et coorganisateur de la manifestation, Xan Choquet. La population est en colère, les peuples autochtones sont de plus en plus à se mobiliser, mais ça touche aussi les allochtones. » Xan Choquet assure que la « colère globale va s'accentuer et on va se battre contre le PL97 autant qu'il faut ». La manifestation de samedi vise également à ce qu'une prise de conscience des personnes allochtones ait lieu, considérant que le projet de loi les impactera également. « C'est un combat qui touche tout le monde et qui concerne tout le monde, car quand on se bat pour le territoire, on se bat pour l'avenir de tous et toutes, ajoute le militant du FRAP. C'est pas juste les autochtones qui vont dans le bois, avec ce projet de loi, ça va être interdit d'aller dans des zones du bois, donc ça touche toute la population. » Réagissant à la tenue de la manifestation, la ministre Blanchette Vézina a soutenu que le projet de loi 97 « offre déjà des avancées majeures pour les Premières Nations ». PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE La ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina « Nous avons déjà mentionné à la suite des consultations particulières que nous prendrions l'été pour préparer des amendements afin de bonifier le projet de loi, notamment en ce qui a trait aux communautés autochtones, a déclaré la ministre dans un message texte transmis à La Presse Canadienne. La modernisation du régime forestier est essentielle afin d'assurer la pérennité de la filière forestière partout au Québec et de protéger les communautés qui en dépendent. » Elle a ajouté que les communautés ont besoin que la filière forestière « reprenne son dynamisme pour qu'elle puisse faire face aux nombreux défis auxquels elles sont confrontées. » Xan Choquet soutient que les amendements au projet de loi que propose la ministre ne seront que des « modifications de façade ». « Ils vont aller directement [consulter] les conseils de bandes, alors qu'ils n'ont pas juridiction en dehors de la communauté », explique-t-il. Lors d'un passage à Longueuil en juin pour une annonce dans le domaine aérospatial, le premier ministre avait tenté d'apaiser les tensions. Il s'était voulu clair en expliquant qu'aucun grand changement n'était encore prévu, et qu'il s'agissait pour le moment « d'ajustements ». Trois manifestations similaires ont déjà eu lieu à Montréal pour demander l'abandon du texte législatif. Des barricades ont également été érigées à travers la province par des militants autochtones. Avec des informations de Pierre Saint-Arnaud

L'architecture de paysage au cœur d'une tour
L'architecture de paysage au cœur d'une tour

La Presse

time8 hours ago

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L'architecture de paysage au cœur d'une tour

De grands bacs végétalisés et un sol en granit marquent l'entrée de la phase 3 de la Tour des Canadiens. Source de bien-être actuel et futur, l'architecture de paysage tend à occuper une place significative dans des tours de condos grâce à des projets façonnés pour améliorer le tissu urbain public et privé. La phase 3 de la Tour des Canadiens, située à quelques pas du Centre Bell, en est un bel exemple. La troisième phase du projet immobilier de la Tour des Canadiens, situé dans l'arrondissement de Ville-Marie à Montréal, se singularise des deux premières, car elle bénéficie de plusieurs espaces paysagers privés et publics. Sa conception a commencé en 2017, sa réalisation, en 2020, et l'aménagement extérieur a été pensé simultanément. « Cette culture est très développée en Asie, où les promoteurs ont compris la plus-value de l'aménagement paysager et y investissent énormément, constate Ziad Haddad, architecte paysagiste associé de la firme WAA Montréal. C'est assez récent chez nous au Québec, mais de plus en plus de promoteurs suivent cette tendance-là et font appel à l'architecture de paysage en amont des décisions plutôt qu'une fois que tous les plans sont terminés. » Ce travail commun entre les bâtisseurs (promoteurs Canderel et Cadillac Fairview, architectes IBI et BLTA, designer d'intérieur Camdi Design) et l'architecte paysagiste semble d'ailleurs indissociable d'un point de vue esthétique et structurel. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE Ziad Haddad, architecte paysagiste associé de la firme WAA Montréal La végétation est l'un des outils que nous utilisons, mais ce n'est pas le seul. On est appelés à mettre en scène les espaces et les bâtiments. Ziad Haddad, architecte paysagiste associé de la firme WAA Montréal C'est de cette association que sont nés l'harmonie et le caractère particulier de cette tour dotée de zones extérieures attrayantes. La majorité d'entre elles sont destinées aux résidants de l'immeuble, mais d'autres, dont un jardin de poche, profitent à la ville et à ses passants. « Les condos de cette tour sont très luxueux, alors il fallait créer des agencements élégants, tout en répondant aux enjeux urbain et sociétal, précise l'architecte paysagiste. Il fallait offrir la privauté aux résidants, sans pour autant bloquer la fluidité de la circulation des passants. » Ainsi, un sol de granit marque l'entrée principale, délimitée par des bacs de plantations où les feuillages des végétaux indigènes produisent un beau contraste. Un minijardin pour tous PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE Le jardin de poche, situé en contrebas de la rue, est accessible au public et ses marches se terminent en pente douce, facilitant l'accès à tous. Les prismes grillagés servant à la ventilation du stationnement souterrain circonscrivent l'espace. PHOTO FOURNIE PAR ZIAD HADDAD Le soir, les prismes grillagés s'éclairent comme des lanternes. 1 /2 Un espace vacant entre la nouvelle tour et un immeuble patrimonial adossé à la phase 2 a donné l'occasion d'installer un jardin de poche. « Ce concept de pocket park s'est développé à New York pour verdir les petits espaces résiduels entre les bâtiments. Ici, on l'a travaillé un peu à l'européenne avec un pavé en chevrons chaleureux, puis une végétation luxuriante adaptée à notre climat », informe M. Haddad. Des volumes grillagés animent et complètent cet espace qui donne sur la rue. « Il fallait accommoder la ventilation à différentes places, alors on a imaginé ces éléments qu'on appelle 'les bijoux' pour en faire quelque chose d'esthétique qui ceinture l'espace, plutôt que de mettre de simples grilles d'évacuation d'air. » Ces prismes, que l'on retrouve à plusieurs endroits, nécessitaient un budget supplémentaire que le promoteur a accepté d'ajouter pour valoriser le complexe. Accessible au public, ce jardin de poche, financé et entretenu par les propriétaires de l'immeuble, donne l'occasion de faire une pause sous les féviers ou encore de boire un verre sur la terrasse du café intégré à la tour. On y accède du trottoir par de longues marches qui se terminent en pente douce, facilitant l'accès aux personnes handicapées et aux poussettes. « Je déteste que les aménagements destinés aux personnes à mobilité réduite soient très marqués. Donc, j'essaie de les fondre dans l'agencement », explique l'architecte paysagiste. D'après Luc Villandré, directeur général de l'Association des architectes paysagistes du Québec, cette tendance aux jardins de poche pour occuper des espaces orphelins s'accroît dans les grandes villes depuis plusieurs années. PHOTO AURORE DEGAIGNE, FOURNIE PAR LUC VILLANDRÉ Luc Villandré, directeur général de l'Association des architectes paysagistes du Québec Il y voit des atouts majeurs : « Sur le plan de l'inclusion, les personnes âgées, entre autres, bénéficient d'endroits où s'asseoir. Ce sont des espaces de cohabitation où toutes les populations, marginalisées ou non, se côtoient dans une quête d'équilibre en plus de favoriser les liens sociaux, remarque-t-il. Sur le plan environnemental, ils réduisent les îlots de chaleur en augmentant les surfaces verdies et la canopée. Ils contribuent aussi à la rétention des eaux de pluie qui, plutôt que d'être dirigées vers les systèmes d'égouts, sont absorbées dans le sol. » M. Villandré note également que ces jardinets créent une dynamique dans des zones où il y a une cohabitation commerciale et résidentielle. Un jardin secret en hauteur PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE Des habitations rappelant des maisons de ville bénéficient d'un espace paysager central. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE Des habitations rappelant des maisons de ville bénéficient d'un espace paysager central. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE Le design des numéros d'appartement est repris à l'intérieur du bâtiment pour identifier chaque condo. 1 /3 La première zone privée végétalisée de la phase 3 de la Tour des Canadiens a été imaginée comme un jardin en suspension. Celui-ci est aménagé sur une dalle surélevée au-dessus des stationnements et chaque habitation est pensée comme une maison de ville, avec son entrée privée, ce qui diminue l'échelle de la tour. Le tout est imperceptible de la rue. Quand on travaille sur un grand immeuble comme celui-là, l'architecture de paysage fait la transition entre l'échelle humaine et celle, grandiose, du bâtiment à travers la création de sous-espaces, de nivellement et de végétation. Ziad Haddad, architecte paysagiste associé de la firme WAA Montréal La cour intérieure est donc suspendue entre terre et ciel, mais en même temps réfléchie comme un jardin secret dans lequel on se sent comme dans une oasis de végétation. Les plantes sont sélectionnées de façon à ce qu'il y ait des jeux de textures et une floraison successive du début du printemps jusqu'à l'automne, puis pour que le jardin reste agréable toute l'année. « On a choisi des plantes qui ne sont pas souvent utilisées dans les aménagements paysagers publics, car on trouvait opportun de les introduire dans ces aménagements résidentiels pour amener la notion de zone privée », poursuit-il. Une terrasse ressourçante PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE La terrasse du troisième étage bénéficie d'un bassin et d'un jardin d'esprit méditerranéen qui surplombe le jardin de poche. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE La terrasse du troisième étage bénéficie d'un bassin et d'un jardin d'esprit méditerranéen qui surplombe le jardin de poche. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE La terrasse du troisième étage bénéficie d'un bassin et d'un jardin d'esprit méditerranéen qui surplombe le jardin de poche. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE La terrasse du troisième étage bénéficie d'un bassin et d'un jardin d'esprit méditerranéen qui surplombe le jardin de poche. 1 /4 Les résidants des condos jouissent quant à eux d'une terrasse située au troisième étage, dans la continuité de la piscine intérieure. Recouvert de grandes dalles, cet espace résolument contemporain est animé d'un bassin, de végétaux en pots et de nombreuses zones de repos confortables. Un jardin contrastant inspiré des climats arides de la Méditerranée prolonge ce lieu, planté d'arbres en pleine terre. Compliqués à mettre en place, ce jardin méditerranéen ainsi que les autres zones paysagées du projet n'auraient pas pu voir le jour s'ils n'avaient pas été programmés en même temps que la construction du bâtiment, puisque des dérogations mineures et des consolidations de structure se sont avérées nécessaires à plusieurs reprises.

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