
Remboursement en ligne par Santévet : comment ça marche ?
Pour éviter la douloureuse chez le vétérinaire, mieux vaut en effet assurer son animal ! Plusieurs formules sont proposées par les assureurs avec des tarifs qui varient selon le niveau de protection.
Santévet
, l'assureur pour animaux préféré des Français, propose plusieurs formules avantageuses avec des taux de remboursement allant de 60 à 100% ! Pourquoi s'en priver ?
Bon à savoir : avec la formule OPTIMAL pour chien ou chat, le taux de remboursement s'élève à 100% avec un plafond annuel de 4000 euros ! En plus, vous pouvez obtenir un budget de prévention de 150 euros par an (détartrage, vermifuge, etc.) et
un budget alimentation thérapeutique jusqu'à 200 euros par an pour un chien
et jusqu'à 50 euros par an pour un chat!
Santévet propose à ses assurés une application et un site intuitifs qui permettent d'obtenir rapidement un remboursement. Pour cela, l'assuré est invité à
remplir une feuille de soins
avec son vétérinaire et à l'envoyer à Santévet en y joignant la facture détaillée des soins remplie par le vétérinaire. L'assureur va plus loin en proposant un service de paiement simplifié, Payvet. Avec Payvet, Santévet avance vos frais chez le vétérinaire. Le reste à charge prévu par vos garanties sera toujours à régler, mais des facilités de paiement sont également proposées par l'assureur. De quoi anticiper des dépenses qui font parfois mal au cœur quand son animal est malade ou blessé. N'attendez plus pour souscrire une assurance Santévet pour votre chien ou votre chat !
>>Cliquez ici pour souscrire une assurance Santévet
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
37 minutes ago
- Le Figaro
Des conseils sur les actions Air Liquide, L'Oréal, Capgemini et GTT, une belle italienne à renforcer... Consultez La lettre des placements du 6 août
Réservé aux abonnés L'édition du mercredi 6 août de La lettre des placements, l'hebdomadaire de conseils boursiers du Figaro, vient de paraître. Découvrez le sommaire de ce numéro et consultez le PDF de La lettre. Chers abonnés, À découvrir Suivez Le Figaro Bourse sur WhatsApp Notre série de l'été dans les archives de La lettre des placements se poursuit avec un événement marquant à plus d'un titre : celui des attentats du 11 septembre 2001. Alors que la rédaction était sur le point de boucler le 935e numéro de notre publication, la série d'attaques terroristes sans précédent perpétrée ce jour-là sur le sol américain a bouleversé le monde et les sujets prioritaires pour La lettre. Dans l'éditorial de ce numéro, le rédacteur en chef, Joël Freymond, appelle les investisseurs au calme, avec de solides arguments : «vendre serait signer une perte définitive. L'expérience montre au contraire qu'en conservant ses positions, les valeurs non seulement rattrapent leurs pertes mais repartent de l'avant en quelques mois. Acheter ne peut se faire qu'avec prudence car les marchés risquent, pour quelques jours encore, d'être déstabilisés. » Une situation inédite qui demande en effet du sang-froid, mais qui n'empêche pas La lettre de recommander à…


Le Figaro
4 hours ago
- Le Figaro
Taxe foncière : pourquoi cet impôt local pourrait aussi connaître une année blanche
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Un temps envisagée, la piste d'un gel de cet impôt local a, pour l'instant, été mise de côté. Mais le gouvernement reste ouvert à cette idée. Une des plus vieilles traditions républicaines veut que les impôts locaux aient tendance à être assez stables l'année des élections municipales – ainsi que celle qui la précède, d'ailleurs. « Une question de bon sens politique », sourit un élu. En effet, on comprend aisément pourquoi un édile souhaitant se représenter choisirait, si les finances de la commune le lui permettent, de ne pas augmenter les taxes dont s'acquittent ses administrés. Pour ceux qui ne souhaitent pas briguer un nouveau mandat, il y a peu de justification à endosser la responsabilité d'une hausse d'impôts qui profitera au budget de leur successeur. Alors que la campagne des municipales bat déjà son plein, les taux dits « communaux » de taxe foncière – ceux votés en conseil municipal avec le budget – ont toutes les chances de ne pas augmenter en 2026 dans la grande majorité des communes. À lire aussi Taxe foncière, frais de notaire… Ces impôts locaux qui vont encore augmenter cette année Mais ce taux communal n'est pas la seule variable de la facture fiscale que reçoivent les propriétaires en automne. En plus…


Le Parisien
4 hours ago
- Le Parisien
La répression des fraudes inflige 3,9 millions d'euros d'amende à Fnac Darty, le groupe « contestera »
Fnac Darty s'est vu infliger 3,9 millions d'euros d'amende en début de semaine par la répression des fraudes en raison de « retards dans le paiement des factures de ses fournisseurs ». Joint ce mercredi par l'Agence France-Presse (AFP), le groupe annonce qu'il « contestera » ces décisions « devant les juridictions compétentes ». Dans le détail, c'est à la fois « Fnac Darty participations et services » et « Darty & Fils » qui ont été sanctionnées par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), chacune pour le même motif et un montant similaire de 1,95 million d'euros. Fnac Darty affirme que les contrôles ayant mené aux sanctions remontent à l'époque de la pandémie du Covid-19. « Un contexte exceptionnel qui ne semble pas avoir été pleinement pris en compte », déplore le groupe dans une réaction transmise à l'AFP, en rappelant la « forte désorganisation » qui avait marqué cette période. Le groupe s'interroge également sur le montant des amendes infligées par la DGCCRF, citant plusieurs exemples de sanctions réduites devant les tribunaux administratifs après prise en compte du contexte et des perturbations engendrées par la pandémie du Covid-19. À voir aussi Les retards de paiement interentreprises, un problème récurrent Problème récurrent, les retards de paiement interentreprises sont passibles d'une amende administrative d'un montant maximum de 2 millions d'euros. En 2024, ces retards se sont dégradés « de manière significative en France » et sont repassés « au-dessus de la moyenne européenne », indiquait début juillet la Banque de France, avec un retard moyen de 13,6 jours l'an dernier. « Seules 50 % des grandes entreprises paient aujourd'hui sans retard. En l'absence de ces retards, les PME auraient bénéficié de 15 milliards d'euros de trésorerie supplémentaire en 2024 », affirmait la Banque de France. Face à ce qui constitue parfois des trous conséquents dans la trésorerie de certaines PME, le montant maximal actuel de l'amende est jugé insuffisamment dissuasif par l'exécutif.