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Les Blue Jays signent une 10e victoire consécutive

Les Blue Jays signent une 10e victoire consécutive

La Presse09-07-2025
(Chicago) Chris Bassitt a été solide pendant six manches sur la butte, Davis Schneider a cogné un circuit et les Blue Jays de Toronto ont signé une 10e victoire de suite, mardi, en vertu d'un gain de 6-1 contre les White Sox de Chicago.
Associated Press
Il s'agit de la plus longue séquence de victoires des Blue Jays depuis qu'ils ont signé 11 gains de suite, en 2015.
Vladimir Guerrero fils a réussi deux coups sûrs et a produit deux points au cours de ce match qui a duré sept manches en raison de la pluie.
Schneider a cogné une longue balle aux dépens du partant des White Sox Aaron Civale (1-6) pour ouvrir la marque. Guerrero et Addison Barger ont ajouté des doubles productifs au cours d'une cinquième manche de cinq points des Blue Jays.
Bassitt (9-4) a accordé un point et quatre frappes en lieu sûr – un circuit en solo de Josh Rojas en sixième manche.
Les White Sox ont perdu neuf matchs d'affilée à domicile contre les Blue Jays.
Guerrero a frappé un simple productif en sixième manche pour porter le score à 6-0.
L'interruption due à la pluie a duré environ une heure et vingt minutes avant que le résultat soit officialisé.
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La semaine de rêve de Denis Shapovalov au Mexique s'est poursuivie, vendredi soir. La Presse Canadienne Le Canadien, 33e raquette mondiale, n'a fait qu'une bouchée de son adversaire Adam Walton, huitième tête de série, en deux manches identiques de 6-2 en demi-finale du tournoi de Los Cabos. Shapovalov, troisième tête de série, n'a perdu que 12 jeux depuis le début de la semaine et il n'a perdu aucune manche. Il s'agira d'une neuvième finale sur le circuit de l'ATP pour Shapovalov et d'une deuxième cette saison, après Dallas, où il a remporté le troisième titre de sa carrière. Pour venir à bout de son opposant australien, vendredi, Shapovalov a frappé sept as et a gagné 76 % des points disputés sur son premier service. En comparaison, Walton n'a claqué que trois as et n'a gagné que 65 % des points joués sur son premier service. Shapovalov a converti ses quatre occasions de bris et il n'a jamais donné à son adversaire l'occasion de le briser. En finale, le Canadien de 26 ans affrontera l'Américain Aleksandar Kovacevic, septième favori, qui a défait le Russe Andrey Rublev, première tête de série, 3-6, 6-4, 6-4.

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Justine B Simard, 9 ans, a été l'athlète la plus décorée lors des finales mondiales de la World Ninja League. À 9 ans, Justine B Simard possède une endurance, une agilité ainsi qu'une force physique et mentale impressionnante. Sur les parcours ninja québécois, canadiens et même américains, elle domine dans son groupe d'âge. À tel point qu'elle a été l'athlète la plus décorée lors des finales mondiales de la World Ninja League, en Caroline du Nord, au début du mois de juillet. La photo prise par la maman de Justine B après les finales mondiales à Greensboro est assez comique : autour du cou de la petite ninja, les médailles sont tellement nombreuses qu'elles ressemblent à un épais (et lourd !) foulard. PHOTO FOURNIE PAR LA FAMILLE Justine B avec ses 11 médailles aux finales mondiales de la World Ninja League Ces médailles s'ajoutent à toutes celles que la petite fille possède déjà. « J'ai genre 40 médailles d'or », nous lancera-t-elle au cours de notre entretien sur la terrasse d'un café de Saint-Sauveur, par une bouillante journée d'été. Justine B, JuB de son surnom, ne pratique pourtant la discipline que depuis quelques années. Elle l'a découverte par pur hasard, en allant visiter ses grands-parents à Granby. « À côté, il y avait un centre de ninja. On est passés devant et on a dit : on va aller essayer ça ! », raconte-t-elle avec entrain. Il faut savoir que la jeune athlète originaire de Saint-Jean-sur-Richelieu, ses parents et son grand-père paternel avaient déjà l'habitude, tous les dimanches, d'écouter l'émission télévisée Ninja Warrior. Ainsi, quand JuB a mis les pieds dans le Motion Parc Évolutif de Granby, du haut de ses 5 ans, « elle était comme un poisson dans l'eau », dixit sa maman Anne St-Pierre. « Elle faisait des affaires que les jeunes de 9 ans ne faisaient pas encore. » PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Anne St-Pierre et Dominic Simard, parents de Justine B Simard La Johannaise avait déjà pratiqué d'autres sports par le passé : gymnastique, cirque aérien, soccer et BMX. Elle avait d'ailleurs adoré le BMX, mais ses parents jugeaient le sport trop dangereux pour son avenir. « Il y avait plein de jeunes qui n'avaient plus de dents, qui avaient des clavicules cassées… […] Il était hors de question qu'on lui offre un avenir pas de dents », se souvient son père, Dominic Simard. Elle est donc devenue une ninja. Et une très douée qui plus est. « Encore ! » Les parcours ninja sont créés à partir de toutes sortes d'obstacles conçus pour tester les capacités, tant physiques que mentales, des athlètes. À titre d'exemple, JuB nous parle de la flying bar, qui consiste à « amener une barre d'un crochet à un autre ». « Ça a l'air épouvantablement difficile », lance-t-on. « C'est épouvantablement difficile ! », répond-elle du tac au tac. Il y a des obstacles qui sont durs, mais quand tu te pratiques, ça devient moins dur. Tu réussis. Quand tu réussis, tu peux passer à un autre obstacle. C'est sûr que s'il y a des gens qui se pratiquent moins, ils vont être moins bons. Justine B Au départ, JuB suivait des cours à raison d'une fois par semaine, les vendredis soir. Elle avait 6 ans. « Elle ne voulait pas partir ; on partait à la fermeture, relate M. Simard. À un moment donné, le propriétaire est venu nous voir et a dit : vous devriez suivre des cours un peu plus avancés parce qu'elle a certaines habiletés… » PHOTO FOURNIE PAR LA FAMILLE Justine B Simard en action à la finale canadienne de la World Ninja League Rapidement, les parents ont inscrit JuB dans une première compétition au Québec, qui s'est bien déroulée. De fil en aiguille, la famille est entrée dans un monde duquel elle ne compte plus sortir. « C'est vraiment le fun, parce que c'étaient plein de jeunes de son âge. Tous des jeunes qui aiment bouger, de dire le paternel. Nous, on cherchait vraiment des activités pour qu'elle bouge. » Comme JuB performait bien au Québec, elle a rapidement été invitée dans la Ligue canadienne, la Canadian Ninja League. En 2024, elle a fini au premier rang québécois et canadien chez les filles de 6 à 8 ans. 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