
Mercato : Youssef El-Arabi va signer à Nantes
Comme indiqué par Ouest-France, le FC Nantes va enregistrer l'arrivée de l'attaquant international marocain Youssef El-Arabi (38 ans, 47 sélections, 16 buts), pour un an. Passé notamment par Caen et l'Olympiakos, il était libre après une saison à l'APOEL Nicosie (14 buts en 45 matches, toutes compétitions confondues).
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16 minutes ago
- L'Équipe
Quand Victor Wembanyama et Rudy Gobert se défient aux échecs...
Lors d'un tournoi mêlant échecs et basket qu'il a organisé dimanche dans sa ville natale du Chesnay, l'intérieur des San Antonio Spurs Victor Wembanyama a notamment défié son coéquipier en équipe de France Rudy Gobert. Et il s'est imposé. C'est une image qui restera. Invité de marque du tournoi mêlant échecs et basket organisé par la star des San Antonio Spurs Victor Wembanyama dans sa ville natale du Chesnay (Yvelines), Rudy Gobert s'est retrouvé face à « Wemby ». Pas pour jouer au basket, mais aux échecs. La partie a évidemment été suivie en nombre par les personnes présentes. Et c'est Wembanyama (21 ans) qui s'est imposé au temps face au pivot des Minnesota Timberwolves. Wembanyama, bientôt de retour après une thrombose à l'épaule droite, a mis sur pied le « Hoop Gambit », qui a rassemblé 150 joueurs d'échecs et 280 joueurs de basket dans le groupement sportif Pierre-Curvat. « Mêler basket et échecs dans un tournoi près de chez moi, c'était naturel. Et ce n'est qu'un début », a déclaré l'intérieur.


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an hour ago
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La France s'incline au tie-break face à la Pologne et termine 3e du tour préliminaire de la Ligue des nations
L'équipe de France, remaniée, a poussé la Pologne au tie-break mais s'est inclinée dans le set décisif ce dimanche à Gdansk. Qualifiée pour le Final 8, elle termine troisième du tour préliminaire de la Ligue des nations et affrontera la Slovénie en quarts de finale. Pas de passe de six pour l'équipe de France. Après cinq succès d'affilée dans l'épreuve, les Bleus se sont inclinés au bout du tie-break, ce dimanche à Gdansk face à la Pologne (32-30, 20-25, 25-20, 23-25, 15-12) lors du douzième et dernier match du tour préliminaire de la Ligue des nations. Elle concède sa quatrième défaite de l'été. Mais avec une équipe remaniée, diminuée entre autres par les absences de Trévor Clévenot, Nicolas Le Goff et Barthélémy Chinenyeze, ménagés, les champions olympiques ont trouvé les ressources, notamment Théo Faure (28 points), Mathis Henno (20 ans) et Moussé Gueye, face à Wilfredo Leon (30 points), finalement décisif dans le tie-break. Wilfredo Leon, bourreau des Bleus Les Bleus conservent malgré tout la troisième place du classement et sont qualifiés pour le Final 8 (30 juillet-3 août) d'une épreuve dont ils sont tenants du titre. Ils affronteront la Slovénie, le 30 ou le 31 juillet à Ningbo (Chine), qui a arraché sa place au bout du tie-break dimanche à Ljubljana face à la Serbie. Malgré le manque d'enjeu direct, les deux sélections étant qualifiées avant cette dernière journée, la revanche de la finale olympique de Paris 2024 (3-0 pour la France) a tenu toutes ses promesses. Devant 11 000 supporters, Leon et ses coéquipiers ont mis la pression sans cesse sur la réception française et tenu leur block, les points forts traditionnels des champions d'Europe. Mais il a fallu un premier set à rallonge (32-30) et huit balles de set pour prendre les commandes, avant un grand numéro d'Antoine Brizard en fin de deuxième pour égaliser (25-20) grâce à deux aces du passeur et cinq points de suite des Français. Mathis Henno et Moussé Gueye tiennent le choc Avec pas mal de déchets au service (27 erreurs), les coéquipiers de Benjamin Tonutti s'essoufflaient dans la troisième manche et s'inclinaient sans inquiéter les Polonais (25-20). Mais ils trouvaient les ressources autour d'un superbe Mathis Henno pour boucher quatre points de retard dans la quatrième manche, reprendre la main et conclure sur la spéciale d'Antoine Brizard, une première main devenue célèbre depuis le tie-break de la finale olympique 2021 face à la Russie (25-23). Les Bleus faisaient un petit break (7-5) dans le set décisif sur un ace de Théo Faure, mais ils craquaient physiquement et s'inclinaient sur deux attaques de l'inévitable Leon (15-12), leur bourreau ce dimanche. Les Tricolores ont néanmoins tenu le choc dans un contexte particulier, sans plusieurs de leurs cadres.

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an hour ago
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Encore sorties aux tirs au but, les Bleues n'ont toujours pas brisé leur « plafond de verre » mental
Éliminée samedi pour la troisième fois de suite en quarts de finale d'une grande compétition, l'équipe de France n'a pas réglé son problème mental, malgré l'apport du préparateur Thomas Sammut. Même si Selma Bacha est revenue dessus dans un message posté dimanche sur Instagram, ses déclarations, à chaud, à l'issue de l'élimination face à l'Allemagne, ont surpris. « On a manqué de chance, a avancé la latérale des Bleues. Elles n'ont rien proposé. On les a dominées de A à Z. Elles sont qualifiées, je suis désolée de le dire, ce n'est même pas mérité. » La Lyonnaise de 24 ans a aussi étonné en zone mixte, quand elle a été interrogée sur son absence de la séance fatidique. « Pour mon équipe, j'ai pris la responsabilité de me retirer, a expliqué la joueuse aux 50 sélections, qui se charge pourtant de tous les coups de pied arrêtés bleus. J'étais déterminée à frapper mais je savais qu'il fallait que je prenne mes responsabilités. Je suis un leader, donc je me retire. Je croyais en mes coéquipières. » Elle semblait effectivement très détendue près du banc, avant la séance, blaguant avec Lou Bogaert. Du haut de ses 8 sélections, Alice Sombath (21 ans) s'est donc présentée devant Ann-Katrin Berger, qui a envoyé la France dans des abysses qu'elle ne connaît que trop. Si la capitaine Griedge Mbock a juré que « cela n'a rien à voir avec un blocage mental », Sakina Karchaoui a reconnu qu'il fallait faire « un travail mental » après ce nouvel échec avant le dernier carré. « Est-ce qu'on a un problème psychologique ? Oui, on peut le dire, car on n'a pas passé ce quart, a avoué Laurent Bonadei. On va travailler pour briser ce plafond de verre, un jour. » Le sélectionneur de l'équipe de France avait pourtant nommé le préparateur mental Thomas Sammut comme adjoint. « Il apporte toute son expérience et son expertise auprès des joueuses, individuellement et collectivement. La préparation mentale est un élément parmi d'autres mais on va se focaliser sur ça car on fait face à un quart de finale », assurait-il avant le match contre l'Allemagne. Quatre éliminations de suite aux tirs au but Force est de constater qu'elles sont encore passées à côté de l'événement. Aucune nation n'a été plus éliminée en quarts de l'Euro que la France (4 fois), qui reste sur quatre éliminations de suite lors de la séance des tirs au but (Euro et Mondial confondus). Pourtant, Laurent Bonadei ne les a pas travaillés plus que ça : « On avait beaucoup bossé ça avant la Coupe du monde 2023, avait-il rappelé. J'ai préféré ne pas trop prendre la tête avec cela aux joueuses, on ne sait pas comment ça peut se passer en match. » Comme avec Bonadei, Jean-Michel Aulas, patron du football féminin français, a manifesté sa volonté d'échanger avec le préparateur mental des Bleues afin de voir ce qui peut être amélioré. « Je veux aussi discuter en détail avec Thomas Sammut, qui a apporté sur le plan collectif, psychologique, et je crois beaucoup à cette relation avec des choses positives, nous a-t-il confié estimant que le psychologue a effectué « un excellent travail. Il faut qu'on amplifie ce qui a été bien. Mais quand on perd un match, alors qu'on a l'impression d'être plus fort, souvent, c'est qu'il y a eu un manque d'humilité quelque part. » À lire aussi «On est toutes un peu sonnées» Bonadei, la révolution inachevée Pour Ekitike, une histoire à écrire Pourquoi Lens n'a pas pu retenir El-Aynaoui