
Fini insectes et rongeurs : après un grand ménage, la manufacture Poilâne autorisée à redémarrer
À l'arrêt depuis le 30 mai, la manufacture Poilâne
de Bièvres
(Essonne)
a été autorisée à reprendre son activité. Une petite partie des fours a été rallumée selon nos informations, et de premières miches y auraient été cuites cette semaine, après plus d'un mois d'interruption.
L'établissement, qui emploie environ 70 personnes, est le principal site de production de
la célèbre boulangerie familiale,
dont le pain, façonné à la main et cuit au feu de bois, s'est exporté dans le monde entier.
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Le HuffPost France
32 minutes ago
- Le HuffPost France
Sur la suppression de deux jours fériés, le gouvernement fait miroiter une concession
POLITIQUE - Après les annonces, le plus dur commence pour le gouvernement: convaincre. Comme l'a dit François Bayrou en marge du Tour de France samedi, la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin confirme ce dimanche 20 juillet vouloir aboutir à un projet de texte « d'ici à septembre » qui « rassemble le socle commun ». Face à la situation budgétaire, elle exhorte à trouver « un compromis dans un moment historique ». « Avec [le ministre de l'Économie] Éric Lombard, d'ici à septembre, nous souhaitons aboutir à un projet de budget fort qui rassemble le socle commun. Ensuite, nous nous ouvrirons aux autres forces politiques », déclare-t-elle dans un entretien à La Tribune Dimanche. « Nous voulons aboutir à un compromis clair dans les trois mois » et « notre objectif est de trouver un accord sur l'essentiel », ajoute la ministre des Comptes publics. « L'attente coûte cher : en crédibilité, en épargne, en capacité à investir. Tous ceux qui brigueront la présidence en 2027 mais qui auront contribué au blocage ne seront pas crédibles », selon elle. Sur la suppression de deux jours fériés (le lundi de Pâques et la victoire du 8 mai), l'une des propositions qui a le plus marqué les esprits, Amélie de Montchalin semble en tout cas déjà évoquer l'idée d'une première concession par rapport à la proposition du Premier ministre, François Bayrou. « Je suis favorable à ce que les Français soient mieux rémunérés pour ces deux jours travaillés », propose la ministre, qui justifie : « L'objectif est de répartir au mieux ce qui sera produit par ces deux jours de travail supplémentaire : les salariés doivent y trouver leur compte. » « L'attente coûte cher » Interrogée sur les réactions au projet de budget présenté par François Bayrou mardi – dont beaucoup de négatives –, Amélie de Montchalin répond qu'il est « normal que cela fasse l'objet de réactions ». Mais « celles d'octobre ne seront peut-être pas celles de juillet ». « Nous sommes dans un moment particulier où il nous faut trouver des gens qui ont le courage d'assumer avec nous », dit-elle. « Trouver un compromis dans un moment historique pour notre pays sans se renier, c'est possible », assure-t-elle. La ministre « pense qu'il y a sur tous les bancs des hommes et des femmes qui voient que leur responsabilité est de redonner confiance aux Français et une sérénité au pays d'ici à 2027 ». Semblant ainsi tendre la main aux oppositions, elle ajoute qu' « en février, nous avons adopté un meilleur budget grâce aux apports des oppositions, notamment du Parti socialiste », comme par exemple les « crédits pour l'outre-mer ou du fonds Barnier ». Et à propos des LR, membres du gouvernement mais critiques de coupes budgétaires jugées insuffisantes, la ministre affirme attendre « sans provocation, qu'on nous propose des économies supplémentaires, des réformes de structure supplémentaires », assurant que le gouvernement est « prêt à aller plus loin ». François Bayrou, en déplacement à Pau, a déclaré samedi se donner « deux mois » pour que le plan budgétaire présenté cette semaine « trouve son achèvement ».


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Boulanger : une pluie de bons plans sur les articles tech et électroménagers pendant la braderie
C'est le retour de la braderie chez Boulanger . À quelques jours de la fin des soldes, le commerçant multiplie les offres pour que les retardataires puissent aussi s'équiper à prix réduit. Devenue le rendez-vous incontournable des chasseurs de bonnes affaires, l'opération promotionnelle vous permet de dénicher des centaines d'articles remisés jusqu'à 35 %. L'enseigne d'électroménager et d'appareils high-tech brade l'ensemble de ses rayons qu'il s'agisse d'aspirateur, de téléviseur ou de smartphone. Des remises supplémentaires et des bonus de reprise sont aussi accordés si vous ramenez vos anciens appareils. D'autres bons plans sont à saisir du côté des services avec le Club Infinity qui vous fait profiter de la livraison express et des réparations offertes. Et c'est sans parler des 2 % cagnottés à chaque commande. Alors, rendez-vous jusqu'au 11 août pour profiter d'offres inédites pendant la braderie de Boulanger . Profitez des meilleures offres chez Boulanger Machine à café De'Longhi, PC Samsung ou encore téléviseur LG, il y a de quoi faire pendant la braderie de Boulanger. Pour vous aider à trouver votre bonheur, le commerçant présente ses meilleures offres dans un live diffusé jeudi 17 juillet à 18h30. En attendant, vous pouvez d'ores et déjà jeter un œil au petit et gros électroménager remisé jusqu'à 35 %. Les étudiants vont pouvoir aménager leur studio sans se ruiner avec la sélection « QG des bons plans ». Le micro-ondes EssentielB, la batterie de cuisine Tefal Ingenio Emotion et le grille-pain Riviera et Bar sont tous à moins de 100 euros. Le rayon image & son propose aussi son lot de bons plans avec -46 % sur la barre de son Samsung HW-S67D. Vous pouvez aussi économiser sur les TV OLED de Sony et LG. La braderie est aussi l'occasion d'économiser jusqu'à 25 % sur les tablettes Apple. Cliquez ici pour profiter de la braderie chez Boulanger Les meilleures offres Boulanger :


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
Micro-voyages : ces Français qui partent plus souvent, mais moins longtemps
PHÉNOMÈNE - Partir trois jours pour décrocher du quotidien, multiplier les séjours en France ou ailleurs le temps de quelques certains, c'est ainsi que s'illustrent leurs vacances de rêve. S'envoler trois semaines en Corse pour explorer l'Île de Beauté sans limite ? Si certains vacanciers préfèrent profiter de leurs congés au même endroit durant plusieurs jours, d'autres ont un autre programme pour les mois de juillet et août. Visiter une ville ou une région le temps d'un week-end prolongé. Le concept n'est pas nouveau, mais s'annonce comme une tendance pour cette saison estivale 2025. D'après un communiqué du tour-opérateur Sunweb présent sur sept marchés européens, comparé à la même période l'année dernière, les voyageurs privilégient des vacances de plus courte durée. La raison ? Les vols à prix raisonnables vers l'Italie ou l'Espagne permettent aux passionnés de voyage de programmer plusieurs excursions. Publicité «J'ai l'impression d'y avoir passé une semaine» Aline, 27 ans, revient d'un week-end prolongé entre copines à Valence, en Espagne. Plage, soleil, sangria et soirée festive... Elle est encore sous le charme. «J'ai eu l'impression que cela avait duré une semaine, je ne savais même plus quel jour nous étions en rentrant», raconte cette assistante sociale francilienne. Elle enchaînera à la fin du mois avec une escapade française de 72 heures à La Baule, puis en Sicile, en août. Pour Véronique, il n'est pas non plus question de s'éterniser dans la même ville. «Je prévois de partir une semaine au bord de la mer en Aquitaine et j'utilise le reste de mes congés pour explorer les différentes destinations», partage la directrice commerciale de 53 ans. Depuis le début de l'été, la Parisienne a déjà sillonné les plages de Marseille... ou de Miami, pour quatre jours seulement. «Il y avait des promotions sur les vols, je me suis dit pourquoi pas ?» justifie-t-elle. En hausse par rapport à l'été dernier Ce mode de vacances séduit de plus en plus. Le moteur de recherche Kayak note une hausse de 15 % par rapport à l'été dernier sur les voyages de courte durée. «Malgré une augmentation de 13 % des tarifs aériens (+13 % par rapport à 2024), avec un panier moyen de 181 €, on constate un vrai engouement. Les recherches pour des voyages de 2 à 3 jours en juillet et août ont bondi de 15 %», confirme Clément Bourguignon, responsable chez Kayak. Cela concerne aussi bien les villes françaises que les capitales européennes facilement accessibles. Barcelone arrive en tête des destinations les plus recherchées pour trois nuits, avec un billet aller-retour à 154€, suivie de Londres et Nice. Barcelone, en Catalogne, est la ville la plus recherchées sur Kayak pour s'évader le temps d'un week-end. Figurniy Sergey / Sergii Figurnyi - La plateforme de réservation en ligne Hellotickets note aussi un engouement pour les villes proches et abordables. Porto, Naples, Édimbourg ou Berlin figurent parmi les plus prisées des Français. «La hausse générale des prix pousse à écourter les vacances, sans y renoncer. Deux semaines à l'étranger laissent place à plusieurs petites pauses dans l'année et nous voyons que les compagnies low-cost multiplient les liaisons directes vers des destinations à moyenne distance», étaye au Figaro Jorge Díaz Largo, directeur général d'Hellotickets. Combiner courts et longs voyages Ces escapades express suffisent-elles vraiment à déconnecter ? Pour la psychologue Fanélie Raban, l'idéal serait de concilier les deux formats : partir le week-end pour souffler, et plus longtemps pour ressentir un plus large dépaysement. «Supprimer complètement de plus longues vacances serait contre-productif. Deux semaines de repos environ sont nécessaires chaque année, pour la charge mentale et la fatigue, car il faut souvent trois jours pour réellement déconnecter», souligne-t-elle. Publicité Elle est formelle : ces séjours brefs ne procurent pas le même type de récupération, notamment sur le plan physique et cognitif. Reste que la psychologue y voit un bénéfice réel : «Ces micro-voyages permettent de récupérer régulièrement et de souffler. Ils sont utiles pour la régulation émotionnelle et la gestion du stress», conclut-elle. Mieux vaut toutefois y mettre quelques limites. Car si ces échappées régulières permettent de souffler, elles ne sont pas sans conséquence. Enchaîner les allers-retours en train ou en avion, multiplier les déplacements pour une poignée d'heures d'évasion, finit par alourdir sérieusement le bilan carbone. Un week-end au soleil peut vite devenir un non-sens écologique. À vouloir trop s'évader, on finit parfois par rater l'essentiel : ralentir, vraiment. À lire aussi Vers un tourisme plus responsable : les Européens prêts à modifier leurs habitudes en 2025 En vidéo - 30 idées de destinations pour s'évader le week-end