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Anton Frondell signe son contrat d'entrée avec les Blackhawks

Anton Frondell signe son contrat d'entrée avec les Blackhawks

La Presse5 days ago
(Chicago) Les Blackhawks de Chicago ont octroyé un contrat d'entrée de trois ans à Anton Frondell, sélectionné au troisième rang du dernier repêchage de la Ligue nationale de hockey (LNH), mardi.
Associated Press
Le Suédois de 18 ans touchera 975 000 $ US en moyenne par saison.
Frondell a marqué 11 buts et a totalisé 25 points en 29 matchs de saison avec Djurgarden, en deuxième division suédoise. Sa production a été l'une des raisons qui ont permis à l'équipe de grimper en première division cette année.
Frondell a également aidé la Suède à gagner la médaille d'argent au Championnat du monde des moins de 18 ans. Il a inscrit un but et a ajouté deux aides en trois parties.
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(Joliette) Crémeuse ou traditionnelle ? Rentrer tôt ou fermer le bar ? S'humilier en courant après le bus ou renoncer dignement ? Tant de dilemmes cornéliens bouleversent nos vies. Celle de Joël Bouchard est secouée par une autre interrogation récurrente : à l'avenir, se voit-il surtout en entraîneur-chef ou en DG ? « Il me semble que ça fait 15 ans qu'on me pose cette question-là ! », a-t-il réagi en riant, lorsque nous l'avons rencontré à la Classique de golf de son grand ami Dominique Ducharme, jeudi. À court terme, Bouchard n'aura pas à choisir. Cet été, il a obtenu une promotion : les tâches de directeur général du Crunch de Syracuse s'ajoutent à son mandat d'entraîneur-chef de l'équipe. Je ne vois pas ça comme un grand changement. On va continuer de travailler ensemble, de faire ce qui est le mieux pour le développement des jeunes. Joël Bouchard Ce ne sera pas la première fois que Bouchard portera ces deux chapeaux. Il l'a fait précédemment, au sein de l'Armada de Blainville-Boisbriand, en plus d'être copropriétaire de l'équipe. On devine qu'à l'époque, il devait s'occuper de presque tout au sein de l'équipe, au point de s'assurer de la qualité des hot-dogs servis dans les cantines de l'aréna, ou encore de veiller à ce que les sièges soient à niveau. La dynamique sera différente dans le cadre de ses nouvelles fonctions avec le Crunch. « On est entourés d'une équipe remplie de personnes de qualité. Quand il y aura des situations de gestion, je serai sur place. Julien BriseBois a une manière tellement claire et ordonnée de travailler, ça va nous aider », a-t-il estimé. Dans l'organisation, Bouchard accueillera un ami. Son ex-coéquipier chez les Islanders de New York en 2005-2006, Jeff Tambellini, a été embauché à titre d'adjoint au directeur général du Lightning de Tampa Bay. Les revers de la victoire Il retrouvera un autre visage connu, celui-ci aux traits plus jeunes, de l'espoir Ethan Gauthier, qui fera le saut chez les professionnels. Ethan est le fils de Denis Gauthier, que Joël Bouchard a côtoyé dans le vestiaire des Flames de Calgary, dans les années 1990. PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE Ethan Gauthier « Ethan, je le connais depuis 16 ans. C'est un jeune extrêmement dévoué. Il a une bonne base, il vient d'une bonne famille. Il a eu toute une carrière junior », a observé l'ancien pédagogue ultime de l'Académie McDonald's. Ethan Gauthier a été sélectionné au 37e rang, en 2023. Le Lightning a rarement repêché aussi tôt dans les dernières années. C'est un beau problème : l'équipe utilise ses actifs à l'encan pour améliorer sa formation et demeurer au sommet de la LNH. « Le Lightning a quand même trouvé une façon de maximiser ses choix de repêchage et trouver des agents libres intéressants. Ça fait qu'on a plusieurs joueurs intéressants avec qui travailler, qui n'ont pas été repêchés, ou repêchés très tard », s'est satisfait Bouchard. C'est le fun de voir une organisation qui n'abandonne pas. Julien, ce n'est vraiment pas un gars qui abandonne : il trouve toujours des solutions. On réussit à rester compétitifs dans la LNH en amenant beaucoup de jeunes. Joël Bouchard Entouré des meilleurs Dans la hiérarchie du Lightning, Joël Bouchard est devancé par deux des têtes de hockey les plus estimées de la planète : Julien BriseBois comme DG, et Jon Cooper comme entraîneur-chef. Par conséquent, monter dans la hiérarchie du Lightning s'avère une tâche colossale. Benoit Groulx, par exemple, l'a appris à ses dépens. Entraîneur-chef du Crunch de 2016 à 2023, il n'a jamais eu l'occasion de devenir entraîneur-chef du Lightning, derrière un Cooper indélogeable. PHOTO CHRIS O'MEARA, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS L'entraîneur-chef du Lightning de Tampa Bay, Jon Cooper De la même manière, Joël Bouchard pourrait aussi se trouver coincé dans la Ligue américaine. Cette perspective l'embête-t-il ? « Zéro. Je ne suis pas comme ça. Mon plan, c'est de faire le mieux que je peux tous les matins. Puis là, avec le nouveau défi d'être directeur général, ça me pousse encore, ça me sort encore de ma zone de confort », a-t-il partagé. Au contraire, Bouchard s'abreuve du savoir de son entourage. « Jon Cooper, il est extraordinaire », a-t-il déclaré. « C'est bien d'avoir la chance de travailler avec des gens qui ont beaucoup de talent comme ça, qui sont compétents et humbles. » Je peux vous dire que je suis sorti grandi des discussions que j'ai eues avec « Coop » depuis deux ans, ne serait-ce qu'au camp d'entraînement. De toute façon, les choses changent tellement vite dans le hockey. Joël Bouchard Parlez-en à Mathieu Darche. Adjoint de Julien BriseBois en 2019, il a été nommé directeur général des Islanders de New York durant la saison morte. Il a depuis échangé son meilleur défenseur et repêché au premier rang du dernier encan. Comme quoi le hockey est un feu roulant. Effet domino Joël Bouchard profite de son ascension. Son obtention du titre de DG du Crunch de Syracuse est en quelque sorte un effet domino du départ de Darche. Bouchard s'en réjouit évidemment sur le plan personnel, mais aussi pour son ami des 25 dernières années. « Je respecte beaucoup Mathieu. C'est un gars qui a fait tout un travail en affaires à Montréal avant de rejoindre Julien. Il était dans une zone de confort, travaillait pour une grosse compagnie avec quelque 40 employés. Il allait bien. Il a tout lâché pour embarquer dans ce projet », a-t-il rappelé. « Aujourd'hui, il récolte les fruits de son audace », a-t-il souligné. Sa consécration est une autre preuve de la « qualité de Julien BriseBois comme mentor ». 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Les joueurs du Fire. de Chicago célèbrent après le deuxième but C'est dans une ambiance de bord de mer que le Fire de Chicago l'a emporté 2-0, samedi au Stade Saputo. Ballons de plage, colliers de fleurs, banderole « C'est déjà les vacances ». Le groupe de supporters du Collectif 132, silencieux pour la majorité de la rencontre, a offert une ambiance fidèle à celle d'un club dernier au classement, dont le rêve des séries semble déjà bien loin. « J'espère que le message passe : on essaie encore de tout donner, même si la fin approche et que le classement est difficile », a dit l'entraîneur-chef Marco Donadel au sujet de l'attitude affichée par les partisans. Et pourtant, le CF Montréal a montré un effort assez loin des plages de Cancún. Du rythme, quelques belles percées, et un Hennadii Synchuk inspiré. Le jeune de 19 ans a fait preuve de magie avec sa patte gauche avec plusieurs belles percées sur le couloir droit jusqu'à sa sortie à la 64e minute. Ce moment coïncide avec un net ralentissement offensif. Le souffle offensif a disparu avec lui. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Hennadiy Synchuk (18) « On est souvent une demi-seconde trop tôt ou trop tard, explique le milieu de terrain Caden Clark. Une passe mal dosée, une touche mal contrôlée… Et on se demande si ça va enfin tourner en notre faveur. » Encore la même histoire Chicago n'a pas eu besoin de dominer. Montréal, lui, a eu de belles occasions sans être capable de faire la différence. Encore. Le même scénario qu'on a vu trop souvent cette saison. « Au final, on n'a presque rien concédé. Et ils ont marqué. C'est ça, la différence », a résumé Marco Donadel. L'entraîneur-chef n'a pas caché sa frustration, lui qui semblait visiblement à bout de souffle lors de son point de presse après le match. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE L'entraîneur-chef du CF Montréal, Marco Donadel On a livré une performance très proche de notre 100 %. J'espère que tout le monde a compris qu'on a tout donné. Je ne sais pas si on peut faire plus que ça. Marco Donadel, entraîneur-chef Donadel a évoqué le manque de chance de son équipe. Selon lui, le match aurait pu avoir une allure différente si ce n'était d'un rebond parfait sur le poteau, qui a permis à Hugo Cuypers d'inscrire le premier but du match à la 13e minute. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Hugo Cuypers (9) En deuxième mi-temps, c'est le défenseur Jack Elliott qui a redirigé de la tête un coup de pied de coin dans le fond du filet pour porter la marque à 2-0 avec moins de quarante minutes à faire. « C'est un peu l'histoire de notre saison, a expliqué Caden Clark. On joue bien, on presse haut, on se crée des occasions, mais on perd quand même 2-0. » PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Jonathan Sirois (40) L'entraîneur a également souligné la maigre profondeur que son équipe possède. Déjà aux prises avec deux blessures après la première mi-temps, le défenseur Joel Waterman a été forcé de terminer la rencontre au milieu de terrain. Le capitaine Samuel Piette a forcé Marco Donadel à procéder à un changement rapide, dès la 15e minute. Sa blessure au tympan subie plus tôt ce mois-ci n'est pas en cause, rassure l'entraîneur. « Sam avait une très mauvaise sensation après un contact à Philadelphie, a précisé l'entraîneur-chef. Il voulait essayer [de jouer], mais c'était difficile pour lui de bouger correctement. » Pour sa part, Fabian Herbers avait probablement ce match encerclé dans son calendrier, lui qui affronte pour la première fois l'équipe avec laquelle il a disputé les six saisons précédentes. Il n'a toutefois pas terminé la première mi-temps, remplacé par Dawid Bugaj à la pause. Donadel a évoqué une douleur musculaire dans son cas. Synchuk, seul rayon de soleil Hennadii Synchuk a été le maillon fort de l'attaque montréalaise. Il a multiplié les percées, forçant la défensive adverse à reculer. S'il y a bien du positif à ressortir dans ce match, c'est l'éclat du jeune homme. Cette philosophie de développement est ce qui permet à des jeunes de 21 ans comme le défenseur Brandan Craig de « progresser dans une ligue d'hommes, même si c'est difficile ». PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Tom Pearce (3) et Brandan Craig (5) « Montréal est l'endroit parfait pour développer de jeunes joueurs, a déclaré le défenseur au sujet de Synchuk. Ils m'ont donné une chance que je n'ai pas eue ailleurs. » Malgré les prouesses de Synchuk qui ont mené à la majorité des 17 tentatives de tirs dans le match pour le onze montréalais, le gardien du Fire Chris Brady a arrêté les quatre tirs qui ont atteint sa cage. Il a d'ailleurs frustré Craig lorsque celui-ci avait très bien placé un coup franc lors de la première mi-temps. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Le gardien du Fire Chris Brady (1) « Sur mon coup franc, peut-être que 29 gardiens de la ligue l'auraient laissé entrer. Mais Brady me connaît bien, on a joué ensemble en sélection. Il savait que j'allais frapper au-dessus du mur. Il m'a dit après le match qu'il avait anticipé. » Le CF Montréal disputera son prochain match vendredi, au Gillette Stadium, alors qu'il rendra visite au Revolution de la Nouvelle-Angleterre.

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