logo
Tour de France : à quelle heure, sur quelle chaîne TV voir la 8e étape de Saint-Méen-le-Grand à Laval ?

Tour de France : à quelle heure, sur quelle chaîne TV voir la 8e étape de Saint-Méen-le-Grand à Laval ?

Le Parisien12-07-2025
Ce samedi, la 8e étape du
Tour de France 2025
s'élancera depuis Saint-Méen-le-Grand et sillonnera l'Ille-et-Vilaine jusqu'à Laval (Mayenne), ville d'arrivée. Un bon souvenir pour le Belge
Mathieu van der Poel
qui y avait remporté les Boucles de la Mayenne et porté le Maillot jaune du Tour lors du chrono de 2021.
Sur les terres mythiques du cyclisme breton, le tracé du parcours de 171 kilomètres sera tout horizontal, au lendemain de la double ascension de Mûr-de-Bretagne (Côtes-d'Armor). De quoi offrir une belle carte à jouer pour les meilleurs sprinteurs. L'arrivée prévisionnelle, au terme d'un faux plat montant sur un kilomètre, est planifiée pour 17h04.
La 8e étape Saint-Méen-le-Grand - Laval Espace Mayenne ce samedi 12 juillet sera à suivre à partir de 13h10 (départ fictif) sur les antennes de France Télévisions (France 2 et France 3) et Eurosport 1 ainsi qu'en direct commenté sur notre site leparisien.fr
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Wellens vainqueur, Alaphilippe du bonheur à la désillusion : une folle 15e étape du Tour de France en trompe-l'oeil
Wellens vainqueur, Alaphilippe du bonheur à la désillusion : une folle 15e étape du Tour de France en trompe-l'oeil

L'Équipe

time18 minutes ago

  • L'Équipe

Wellens vainqueur, Alaphilippe du bonheur à la désillusion : une folle 15e étape du Tour de France en trompe-l'oeil

C'est un gregario, Tim Wellens, qui s'est imposé depuis l'échappée, mais la victoire du Belge n'a fait que renforcer l'ultra-domination des UAE de Tadej Pogacar, alors que Julian Alaphilippe (3e) pensait avoir gagné, au terme d'une 15e étape du Tour de France furieuse en faux-semblant. Les étapes de transition sont une espèce en danger d'extinction critique, un concept désuet, jauni, qui sera bientôt rangé au fond de nos mémoires, qu'on aura bien du mal à expliquer aux générations suivantes. Des journées qui collaient au rythme des vacances, des siestes à baver comme des gastéropodes sur le canapé, des ravitaillements métronomiques au frigo, un certain éloge de la lenteur, de la paresse, alors que ce dimanche, on a à peine eu le temps de cligner des yeux, la cornée en surchauffe et la gorge sèche devant les attaques qui tombaient au rythme des scintillements d'un stroboscope, en phase avec l'hyperactivité et la frénésie modernes. Depuis le départ de Lille, il n'y a eu que deux journées « tranquilles », vers Dunkerque (étape 3) et vers Laval (étape 8), car il faut bien souffler de temps en temps, et les étapes les plus folles, mais aussi les plus intéressantes, ont été celles ouvertes aux échappées, sur des parcours ondulés juste ce qu'il faut, vers Vire, au Mont-Dore, autour de Toulouse ou ce dimanche entre Muret et Carcassonne donc. La victoire de Wellens ne va pas apaiser le procès en gloutonnerie contre les UAE Les étapes de haute montagne sont cadenassées par Tadej Pogacar, et si Thymen Arensman a levé les bras à Superbagnères samedi, ce fut avec la bénédiction du Maillot Jaune, quand celles avec des arrivées pour puncheurs le sont par Tadej Pogacar et Mathieu Van der Poel. Des cercles ultra élitistes qui, par effet domino, obligent le « tiers-état » à se ruer sur quelques miettes, ces journées plus « faciles », ou qui du moins n'ont pas l'attention de l'aristocratie et qui ont des allures de fête populaire, un bal musette où tout le monde est invité, pour évoquer un autre concept qui a pris une cartouche avec le temps. Eh bien, des foutoirs comme celui de dimanche, on en redemande, bientôt le premier coup partira dans le défilé du fictif. Lors de la traversée de Villefranche-de-Lauragais, km 41, notre compagnon de virée, taquineur de ballon ovale, s'éveilla : « ça sent la Fédérale 2 ici, ça doit maillocher tous les week-ends ». Il faut croire que la mailloche est contagieuse, que ces terres sont fertiles pour la baston car ce fut une sacrée distribution de caramels dès le départ, dans la traversée des villages, sur les longues lignes droites entourées de champs de tournesols et caressées d'un vent de côté, bien avant les premières difficultés identifiées. Tim Wellens a remporté cet immense combat au bout de 142 km d'échappée. Le champion de Belgique est un gregario, l'histoire aurait pu être belle dans ce Tour cannibalisé, mais il bosse au service de Tadej Pogacar. Les armoiries sur son maillot sont celles d'une grande maison et sa victoire ne va donc pas apaiser le procès en gloutonnerie contre les UAE, ni taire les grincements dans le paddock devant l'ultra-domination de la formation émirienne, le sentiment d'écrasement des manants. Wellens a en tout cas donné une idée du niveau de jeu des équipiers du Maillot Jaune, plus évident quand ils sont libérés de leurs chaînes, car d'ordinaire on les voit forts, mais dans le corset de leurs offices, seulement utilisés à certains moments précis de la course pour leur leader. Les Visma ne sont plus aussi resserrés autour de Vingegaard et dispersent désormais leurs ambitions Là, le Belge a pu se livrer sans calculer, parti dans un bon coup initié par Mathieu Van der Poel, juste après que l'essaim avait été agité par une grosse chute dans Auterive (km 15) dans laquelle furent pris Jonas Vingegaard, Florian Lipowitz, Julian Alaphilippe et Lenny Martinez, notamment. Wellens allait user de son statut pour ne pas donner un coup de pédale, laisser les mouvements se faire et se défaire, mais il était à l'affût comme un setter qui truffe une bécasse. Toujours là au bon moment, avec les costauds (Powless, Storer, Mohoric, Campenaerts, Simmons, Lutsenko) à l'avant dans la côte de Sorèze, en chasse en compagnie de son compatriote et ancien équipier Victor Campenaerts derrière le duo Storer-Simmons dans l'exigeant Pas du Sant et finalement tellement malin quand un quatuor Barguil, Carlos Rodriguez, Vlasov et Lutsenko revint de l'arrière. Wellens jugea qu'il valait mieux flinguer direct, plutôt que de laisser certains récupérer et d'autres se mettre à calculer en vue de l'arrivée. Personne ne fut en mesure de lui résister quand il tourna la poignée à fond, à 44 bornes du but. Une victoire pour un fuyard, pour un nouveau visage, mais c'était un jeu d'ombres, car les deux grosses écuries avaient une nouvelle fois tiré les ficelles en coulisses et cette échappée fut une sorte de nouveau match entre les UAE et les Visma-Lease a Bike, mais à un autre échelon. On ne peut que constater que le résultat fut le même, puisque Campenaerts (2e) et Wout van Aert (4e) sont rentrés bredouille. Pogacar et ses hommes ne donnent pas l'impression de vouloir laisser quoi que ce soit à leurs ennemis, pas même une nouvelle victoire d'étape, alors qu'on sent que cela intéresse désormais les « Frelons » autant que la bataille pour le général. Dimanche, ils ont tout fait pour placer des pions à l'avant, même Matteo Jorgenson, bien loin du niveau qu'on attendait, a tenté de s'y glisser, ce qui a le don d'agacer Tadej Pogacar. Alaphilippe venait de passer d'une joie profonde à une immense désillusion Le champion du monde leur a reproché d'avoir tenté de monter à trois dans le bon wagon, alors qu'il n'était prêt à leur poinçonner qu'un seul ticket de sortie. Surtout, il a souligné qu'ils manoeuvraient à l'avant au moment même où leur leader, Jonas Vingegaard, devait se débrouiller seul plus loin pour tenter de recoller après la chute. On l'a ainsi vu boucher le dernier trou lui-même, avec Ivan Romeo, pour rentrer. La preuve que les Visma ne sont plus aussi resserrés autour du Danois vu l'écart avec Pogacar et qu'ils dispersent désormais leurs ambitions. Van Aert n'a même pas remporté le sprint des poursuivants puisqu'il fut dominé par Julian Alaphilippe, qui courait avec une épaule gauche remise d'une luxation au moment de la chute. Le double champion du monde pensait tenir la victoire, il a exulté, mais ce n'était qu'un trompe-l'oeil et il redescendit rapidement dans l'ascenseur émotionnel de sa folle journée. Privé de radio, il n'avait pas de vision de la course et venait de passer d'une joie profonde à une immense désillusion. Après tout, il fallait bien célébrer le premier podium d'un coureur français dans ce Tour de France. Nos voisins belges, eux, comptent désormais cinq victoires avec quatre coureurs différents. Les Bleus sont toujours fanny. Et la troisième semaine est déjà là. À lire aussi Marinette et le Tour, une histoire d'enfance La folle journée d'Alaphilippe Et si la file indienne était une erreur ? «On se bat avec nos armes» : les équipes françaises impuissantes

Tour de France : «A la fin, on le sait tous», Quinn Simmons pointe du doigt Tim Wellens qui aurait été aidé par une moto
Tour de France : «A la fin, on le sait tous», Quinn Simmons pointe du doigt Tim Wellens qui aurait été aidé par une moto

Le Figaro

time2 hours ago

  • Le Figaro

Tour de France : «A la fin, on le sait tous», Quinn Simmons pointe du doigt Tim Wellens qui aurait été aidé par une moto

Le coureur de Lidl-Trek a accusé Tim Wellens au micro d'ITV Sport, vainqueur de la 15e étape ce dimanche, d'avoir été aidé par une moto lors de son attaque à 44 kilomètres de l'arrivée. Quinn Simmons ne décolère pas. Au micro d'ITV Sport à l'issue de la 15e étape du Tour de France entre Muret et Carcassonne, le coureur de la formation Lidl-Trek n'a pas mâché ses mots et a pointé du doigt la victoire du Belge d'UAE Tim Wellens. Simmons accuse le coéquipier de Tadej Pogacar d'avoir été aidé par la moto de la télévision à 44 kilomètres de l'arrivée, au moment de son attaque foudroyante. À découvrir Le classement du Tour de France 2024 L'Américain reproche à Wellens d'avoir profité de l'aspiration de la moto. «Vous n'avez pas vu la retransmission?», a-t-il amorcé, un brin agacé. Avant de poursuivre : «C'était le meilleur, au bon moment et avec la moto. Vous n'avez pas vu la retransmission? C'est comme ça. On a vu ça quelques fois sur ce Tour de France». Publicité Le souvenir de la polémique Pogacar Simmons nuance : «Parfois, c'est toi qui prends cet avantage, mais la plupart du temps, c'est quelqu'un d'autre. Mais à la fin, on le sait tous. Si on est le premier à faire l'écart, on ne peut plus être rattrapé. On sait que ça va arriver, il faut juste choisir le bon moment. Il faut toujours être très fort, mais c'est vraiment un facteur qui montre qu'il faut partir tôt dans la course», a poursuivi le coureur de Lidl-Trek. Pour rappel, en avril 2023 lors de l'Amstel Gold Race, le directeur de course avait été accusé d'avoir aidé Tadej Pogacar alors qu'il se trouvait en voiture, juste devant le Slovène à vélo. «Oui, la voiture était vraiment proche. Ce n'est vraiment pas bien comme situation. Ce sont des choses qui arrivent et ne devraient pas arriver. Mais cela n'a pas duré longtemps», s'était défendu le phénomène.

« Les 30 secondes qui ont suivi la chute, je pensais que c'était fini » : la folle journée d'Alaphilippe
« Les 30 secondes qui ont suivi la chute, je pensais que c'était fini » : la folle journée d'Alaphilippe

L'Équipe

time2 hours ago

  • L'Équipe

« Les 30 secondes qui ont suivi la chute, je pensais que c'était fini » : la folle journée d'Alaphilippe

Julian Alaphilippe a terminé troisième d'une étape qu'il pensait avoir gagnée, après s'être remis lui-même l'épaule gauche touchée après une chute. C'est un véhicule tout en longueur, une inscription comme une ordonnance dessus et trois mots pour définir un diagnostic. Centre médical mobile. Puis sur la droite, à côté d'une petite porte : radiologie, scanner, échographie. Julian Alaphilippe a visité ce camion ce dimanche soir, juste devant la salle de presse qui accueillait des centaines de journalistes cherchant dans le même temps à prendre de ses nouvelles. Le Français de la formation Tudor a chuté en début d'étape, s'est remis tout seul l'épaule gauche avant de remonter sur son vélo, prendre l'échappée, revenir dans le final comme un forcené et remporter le sprint pour la troisième place. Lui pensait sprinter pour la victoire tout court. Une erreur d'appréciation, comme en 2020, lorsqu'il avait levé les bras à Liège-Bastogne-Liège sans sentir Primoz Roglic en train de le sauter sur la ligne. « Lever les mains un peu trop tôt, c'est la première fois que ça m'arrive, je pense que ce sera la dernière », avait alors lâché Alaphilippe à L'Équipe même s'il avait finalement été rétrogradé à la 5e place. « Comme un con j'ai levé les mains mais il y avait des mecs devant. Ca aurait pu mieux se terminer mais j'aurais aussi pu rentrer à la maison » Julian Alaphilippe, 3e de la 15e étape ce dimanche L'histoire est malgré tout différente cette fois car sa radio s'est cassée au moment de sa chute et il a passé toute l'étape sans consignes ni nouvelles de son équipe. Mais avec une épaule gauche sur un fil pendant 155 kilomètres. En rejoignant sa voiture après son passage au camion médical, il avouait : « Je me suis souvenu comment ils avaient fait à l'hôpital et j'ai réussi à la remettre puis je me suis battu parce que j'avais de bonnes jambes. Malheureusement, la radio ne marchait plus donc comme un con j'ai fait le sprint pour essayer de gagner. Le moral ça va. L'épaule, il n'y a pas d'arrachement, ce n'est pas plus grave que prévu. » La joie et la rage exprimées en passant la ligne devant Wout Van Aert, cet immense bonheur finalement vain, contrastaient avec son visage une demi-heure plus tard avant d'aller sur le plateau de Vélo Club. Un ascenseur émotionnel de plein fouet. Le double champion du monde avait « les boules » et s'est « trouvé très con » selon ceux qui ont pu le voir après coup. Fatigué aussi, le visage marqué. « Il a fait une performance incroyable malgré sa chute. On n'a jamais pu changer sa radio. Il ne savait pas qu'il y avait deux mecs devant... Mais c'est ça qui fait la beauté du cyclisme », tentait de sourire Raphael Meyer, manager de Tudor, devant le car de son équipe. « C'est vraiment des radios de merde... Je m'en bats les couilles. C'est tous les jours comme ça. Ah j'ai l'air con là ! », a même lâché Alaphilippe en retournant à son bus, encore sous le coup de l'énervement. « C'était une journée un peu folle. Je me suis déboîté l'épaule, j'ai tout de suite senti que ça allait être compliqué. J'ai fait les deux épaules donc je connais la douleur. Ça a fait un gros clac et que c'est revenu dans l'ordre, développait Alaphilippe sur France 2. Après, c'était un contre-la-montre pour revenir. J'ai senti que je ne pouvais pas mettre la main à la poche, ça va être un peu compliqué les prochains jours. Comme un con j'ai levé les mains mais il y avait des mecs devant. Ça aurait pu mieux se terminer mais j'aurais aussi pu rentrer à la maison... » Déjà touché aux deux épaules dans sa carrière Par deux fois dans sa carrière, Alaphilippe avait déjà connu des malheurs avec son épaule puis des passages par l'hôpital pour la remettre en place. La gauche aux Mondiaux l'an dernier, à Zurich, lorsqu'il était tombé très loin de l'arrivée. La droite en 2022, sur la 11e étape de la Vuelta entre El Pozo Alimentación et Cabo de Gata, où il avait dû abandonner après une chute. Ce dimanche, c'était à nouveau la gauche. « Pour être super honnête, les 30 secondes qui ont suivi la chute, je pensais que c'était fini pour moi, je connais la douleur, ça m'a mis un coup au moral », soupirait encore Alaphilippe, qui avait pris le temps de s'asseoir sur la chaussée, de commencer la manipulation avant d'être épaulé par le médecin du Tour, Gilbert Versier, qui lui a dit qu'il n'y avait pas de risques s'il tenait son bras bien en avant. Au pied du camion médical après le départ de celui qui compte six victoires d'étapes sur le Tour et dix-huit jours passés en jaune, Versier confiait : « Il avait déjà eu des soucis à l'épaule dans sa carrière. C'était une luxation incomplète et elle s'est remise toute seule. Ça va pour lui. Franchement, chapeau d'avoir fini l'étape comme ça... » Les différentes manipulations effectuées dans la soirée ont montré que tout allait bien, la radio certifiant qu'il n'y avait pas d'arrachement ni de fracture. Dimanche, Alaphilippe a décroché son meilleur résultat sur le Tour de France depuis sa victoire à Landerneau en 2021. C'est aussi le premier podium d'un coureur français sur cette édition. De quoi lever les bras sans crainte cette fois. À lire aussi Les puncheurs français ont joué les premiers rôles Et si la file indienne était une erreur ? «On se bat avec nos armes» : les équipes françaises impuissantes Lipowitz, la révélation

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store