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Haut-Rhin : un sexagénaire mis en examen pour le meurtre d'un homme retrouvé dans une cave
Haut-Rhin : un sexagénaire mis en examen pour le meurtre d'un homme retrouvé dans une cave

Le Parisien

time7 days ago

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Haut-Rhin : un sexagénaire mis en examen pour le meurtre d'un homme retrouvé dans une cave

Le corps avait été retrouvé dans une cave , à Soultz (Haut-Rhin), il y a environ trois mois. Un homme suspecté d'avoir commis le crime a été mis en examen pour homicide, a indiqué ce mardi Jean Richert, le procureur de Colmar. « Interpellé et mis en examen le 8 juillet pour homicide volontaire, un homme a été écroué conformément aux réquisitions », fait savoir l'intéressé, précisant que l'homme de 66 ans « conteste les faits ». Le mis en examen, un retraité, habite dans la même commune que la victime, un père de famille âgé de 42 ans. Ce dernier avait été découvert le 23 mars dans un box de cave situé dans son immeuble. Il était parti quelques heures plus tôt faire des courses et ses proches, inquiets de ne pas le voir rentrer, avaient alerté les gendarmes. Il présentait « plusieurs plaies au niveau du thorax, du bras et du cou », avait indiqué en mars le procureur de Colmar.

Un sexagénaire mis en examen dans le Haut-Rhin pour le meurtre d'un homme retrouvé dans une cave
Un sexagénaire mis en examen dans le Haut-Rhin pour le meurtre d'un homme retrouvé dans une cave

Le Figaro

time15-07-2025

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Un sexagénaire mis en examen dans le Haut-Rhin pour le meurtre d'un homme retrouvé dans une cave

Un homme a été mis en examen pour homicide, plus de trois mois après la découverte du corps sans vie d'un habitant de Soultz (Haut-Rhin) dans une cave, a indiqué mardi le procureur de Colmar. «Interpellé et mis en examen le 8 juillet pour homicide volontaire, un homme a été écroué conformément aux réquisitions», a indiqué le procureur de Colmar Jean Richert, précisant que le sexagénaire «conteste les faits». Publicité Découvert mort Le mis en examen, un retraité âgé de 66 ans, habite dans la même commune que la victime, un père de famille âgé de 42 ans. Ce dernier avait été découvert le 23 mars, mort, dans un box de cave situé dans son immeuble. Il était parti quelques heures plus tôt faire des courses et ses proches, inquiets de ne pas le voir rentrer, avaient alerté les gendarmes. Il présentait «plusieurs plaies au niveau du thorax, du bras et du cou», avait indiqué en mars le procureur de Colmar.

Nordahl Lelandais poursuivi pour violences conjugales devant son fils lors d'un parloir
Nordahl Lelandais poursuivi pour violences conjugales devant son fils lors d'un parloir

Le HuffPost France

time11-07-2025

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Nordahl Lelandais poursuivi pour violences conjugales devant son fils lors d'un parloir

JUSTICE - De nouvelles poursuites s'ajoutent à la liste. Nordahl Lelandais, détenu à perpétuité depuis 2022 pour les meurtres du caporal Noyer et de la petite Maëlys, aura de nouveau rendez-vous avec la justice le 28 août, où il sera jugé pour des violences conjugales lors d'un parloir, devant son jeune fils de 19 mois. L'ancien militaire de 42 ans, qui a entretemps adopté le nom de jeune fille de sa mère, Périnet, a comparu ce vendredi 11 juillet devant le tribunal correctionnel de Colmar, poursuivi pour « violence n'ayant pas entraîné d'incapacité totale de travail en présence d'un mineur, par une personne étant conjoint ou concubin », en récidive, le 9 juin à la maison centrale d'Ensisheim (Haut-Rhin). À la suite de sa demande de renvoi pour préparer sa défense, l'affaire sera examinée le 28 août. Selon les Dernières nouvelles d'Alsace, les faits se sont déroulés lors d'un parloir, avec à ses côtés son fils de 19 mois, conçu en détention. L'ancien maître-chien aurait saisi fermement le cou de la mère de l'enfant, puis lui aurait tiré les cheveux, en entraînant sa tête et son tronc sur le côté. La scène s'est déroulée devant des surveillants et des caméras. À l'audience de comparution immédiate vendredi, le fond de l'affaire n'a pas été évoqué. Sa compagne, absente à l'audience, ne s'est pas constituée partie civile. « Figure parentale épouvantable » « J'ai l'impression d'avoir été jugé aujourd'hui. Ma compagne, et mon fils qui demande tous les jours à m'avoir au téléphone, ont besoin de moi. Les parloirs sont suspendus pour le moment, je trouve qu'interdire tout moyen de communication serait une très grosse bêtise pour eux », a plaidé Nordahl Lelandais, qui conteste les faits. Malgré ses demandes, il a interdiction jusqu'au procès le 28 août d'entrer en contact avec sa compagne et son fils, y compris au parloir ou par téléphone. Nordhal Lelandais, « comme (sa compagne) conteste les faits, moins sur l'élément matériel que sur l'élément moral », a indiqué le président de l'audience vendredi. « Ces faits de violence, commis devant un tout petit garçon, apparaissent particulièrement graves », a souligné le procureur de Colmar Jean Richert. « La dangerosité de cette personne est paroxystique : malgré ses lourdes condamnations, le caractère cadrant de la maison centrale et la surveillance des agents pénitentiaires, il parvient à exercer de tels faits. » Le magistrat a aussi évoqué « une femme victime de son emprise, et un enfant victime de devoir grandir avec une figure parentale épouvantable ». « Inquiet pour l'enfant » L'enfant du couple est représenté par l'association Themis, mandatée en tant qu'administrateur ad hoc. « Je suis particulièrement inquiet pour l'enfant », a déclaré son avocat, Julien Demarche. « L'enjeu consiste à faire la part des choses, envers et contre tout, entre le passé de cet homme et les faits qui seront soumis au tribunal », a plaidé de son côté Pascale Muckensturm-Fleith pour la défense. « Pour ce qui concerne le petit garçon, un juge pour enfants a été saisi, il interviendra a priori dans les jours qui viennent pour le protéger au mieux. » Nordahl Lelandais est incarcéré à Ensisheim depuis septembre 2022, où il purge une peine de réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une mesure de sûreté de 22 ans, pour l'enlèvement et le meurtre de Maëlys, huit ans, lors d'une soirée de mariage en Isère en août 2017. Il avait été également jugé pour des agressions sexuelles sur deux petites-cousines de quatre et six ans au cours du même été. En 2021, il a aussi été condamné à 20 ans de réclusion pour le meurtre du jeune caporal Arthur Noyer, qu'il avait pris en stop en avril 2017. Également condamné à un an de prison ferme le 26 mars dernier par la cour d'appel de Reims pour agression sexuelle et menaces envers une de ses petites-cousines, alors âgée de 14 ans en 2017, il a formé un pourvoi en cassation.

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