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Le Figaro
4 days ago
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À Nice, un commissariat bientôt transformé en hôtel de luxe ? La gauche s'insurge contre «l'hypocrisie» d'Estrosi
Alors que le commissariat Foch s'apprête à fermer ses portes, le maire de Nice envisage une reconversion hôtelière du site. Une orientation vivement contestée par la gauche niçoise, qui réclame des logements sociaux face à la crise du foncier. C'est une petite phrase de Christian Estrosi que ses opposants n'ont pas manqué de relever. Le 11 juillet, à l'occasion d'une réunion citoyenne sur fond de campagne municipale, le maire de Nice (Alpes-Maritimes) a évoqué l'avenir du commissariat Foch, situé en centre-ville. Propriété de l'État, ce bâtiment d'une emprise foncière de 1200 mètres carrés sera bientôt vidé de ses occupants, appelés à rejoindre d'ici la fin de l'année l'ultramoderne hôtel des polices qui doit accueillir quelque 2000 policiers nationaux et municipaux dans l'ancien hôpital Saint-Roch, réhabilité à hauteur de 214 millions d'euros. «Sur Foch [...], j'ai dit au ministère de l'Intérieur, puisqu'il va mettre sur le marché son patrimoine et que nous avons un certain nombre de demandes d'investisseurs qualitatifs, que celui qui en ferait l'acquisition puisse être plutôt un établissement hôtelier. Ce qui nous éviterait d'avoir une promotion immobilière, avec les désagréments que cela comporte», a ainsi déclaré l'édile azuréen devant les habitants de plusieurs quartiers de la ville. Des propos qui ont fait bondir l'opposition de gauche. Vendredi matin, écologistes, socialistes, communistes et représentants locaux de Place publique et de L'Après, avaient convié la presse devant le commissariat Foch pour manifester leur refus de la privatisation du site. Publicité Une aubaine «Christian Estrosi lance des perches et tente de voir si ça prend, c'est insupportable. Qu'est-ce que l'on ferait d'un hôtel supplémentaire à Nice ?», s'est agacée Juliette Chesnel-le Roux, chef de file des Verts. Et Patrick Allemand, chef de file du parti à la rose et candidat à trois reprises aux municipales contre l'édile en place de poursuivre : «Le maire a un discours contre la montée du surtourisme, il part à l'abordage d'un paquebot dans la rade de Villefranche, mais ce n'est qu'une posture. Dans les faits, il recommande au préfet de vendre Foch à des fins purement économiques. Quelle hypocrisie.» Face à la crise du logement et alors que le foncier se fait de plus en plus rare à Nice, les forces de gauche voient dans ce bâtiment une véritable aubaine. «Il faut le garder absolument dans le giron du secteur public !», a insisté Patrick Allemand. Selon Juliette Chesnel-le Roux, 4000 chambres d'hôtel auraient été ouvertes dans la capitale azuréenne ces dernières années, quand, dans le même temps, la ville ne dispose que de 14 % de logements sociaux, loin des 25 % qu'exige la loi SRU. «Il est grand temps de casser les poches de pauvreté et de rendre la ville aux Niçois», a poursuivi Julien Picot, porte-voix des communistes à Nice. Il dénonce à son tour la politique «du paraître et de la communication» de Christian Estrosi. Une cinquantaine de logements Du reste, ce n'est pas au maire de la capitale azuréenne de décider de l'avenir du futur ex-commissariat, mais à l'État. C'est en ce sens que les représentants des forces politiques de gauche ont écrit jeudi au préfet des Alpes-Maritimes, Laurent Hottiaux: «Cette décision, si elle devait être confirmée, constituerait un nouvel exemple de la privatisation croissante du patrimoine public au profit du secteur du luxe et du tourisme spéculatif. Alors que Nice a été déclarée en carence par un arrêté préfectoral du 15 décembre 2023, en raison du non-respect de la loi SRU, nous vous sollicitons pour céder cette emprise foncière à un bailleur social ou à notre collectivité». Ces derniers estiment que le bâtiment pourrait accueillir une cinquantaine de logements classiques, étudiants, dédiés aux personnes âgées voire aux fonctionnaires (policiers, enseignants etc.). «Le foncier public est un bien commun rare et précieux. Il ne peut être bradé au profit de logiques spéculatives ou touristiques qui aggravent les fractures sociales et territoriales. Il doit être mobilisé pour construire une ville plus solidaire, plus vivable et plus juste», écrivent-ils encore au représentant de l'État. Lors de la réunion publique, Christian Estrosi a par ailleurs indiqué qu'il souhaitait que la municipalité acquière le jardin de l'actuel commissariat «pour pouvoir aménager comme nous le faisons dans tous les parcs et jardins de la Ville de Nice, un lieu sublime qui profite à tout le quartier et qui puisse être un lieu de repos, de sérénité, et d'apaisement.»


Le HuffPost France
4 days ago
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Après la mort de Thierry Ardisson, son épouse Audrey Crespo-Mara partage le texte lu lors de ses obsèques
PEOPLE - Ultime adieu à son « homme en noir ». Après la disparition de Thierry Ardisson, décédé le 14 juillet, son épouse a souhaité partager le tout dernier hommage adressé à celui avec qui elle a partagé sa vie pendant plus de 15 ans dans une publication dévoilée sur Instagram ce vendredi 18 juillet. Au lendemain de ses obsèques. C'est d'ailleurs le discours en forme de lettre d'adieu qu' Audrey Crespo-Mara avait écrit pour son mari qu'elle a choisi de partager à ses abonnés. La journaliste avait elle-même lu ce texte jeudi, lors de la cérémonie organisée pour l'homme de télévision dans le Ier arrondissement de la capitale, selon un déroulé millimétré et une bande-son qu'il avait lui-même choisis. Et c'est sans la moindre légende qu'elle a partagé ces quelques paragraphes écrits en guise d'adieu à Thierry Ardisson. « Nous deux, c'était une chance, une évidence, 'une bénédiction' disais-tu », écrit-elle en introduction du texte, où elle se remémore le surnom qu'ils se donnaient l'un l'autre : « Mon Grand Amour ». Soulignant son départ « en homme courageux, digne et libre », Audrey Crespo-Mara livre ensuite certains de ses échanges avec Thierry Ardisson autour de cette fameuse cérémonie funéraire qu'il avait lui-même prévu. « Cette cérémonie à (l'église) Saint-Roch, fais gaffe, ça va être le bal des faux culs ! », lui disait-il. Ou encore : « Pitié à l'église, avec les enfants, avec les curés, faites pas chiant ! ». « Tu as dit fuck le jour de la Révolution » Audrey Crespo-Mara lui assure aussi dans cette lettre d'adieu le respect d'une promesse : celle de réunir les « trois femmes de (s)a vie » : « Christiane, Béatrice et moi. Nos cinq enfants, tes cinq 'ratounets' (...) Toi qui disais détester la famille… C'est réussi, tu pars en patriarche, en Padre », ajoute-t-elle avec humour. Et après avoir rappelé l'âme de « créatif » de Thierry Ardisson, que ce soit « dans la pub, la littérature, la télé », elle finit par le remercier pour « ces 16 années de rêve ». « 16 ans c'est court dans une vie, mais c'est une chance, un miracle, de les avoir passées avec toi », livre-t-elle encore dans ce texte poignant. Compte tenu des sensibilités politiques de son mari, Audrey Crespo-Mara ne peut s'empêcher un autre trait d'humour quand elle évoque son départ « un 14 juillet, toi le monarchiste ». « Tu es né un 6 janvier, jour de la fête des Rois. Et tu as dit 'fuck' le jour de la Révolution. Avec les enfants, ça nous a bien fait marrer », reconnaît-elle, avant une ultime tirade poignante sur ces derniers instants, passés à ses côtés : « Tu as été Ardisson jusqu'à ton dernier souffle. Ce dernier souffle, je l'ai vécu dans tes bras ». gée de 76 ans, la star du PAF Thierry Ardisson est décédée lundi 14 juillet, après un long combat contre un cancer du foie. « Thierry est parti comme il a vécu. En homme courageux et libre. Avec ses enfants et les miens, nous étions unis autour de lui. Jusqu'à son dernier souffle », avait-il été précisé au moment de sa disparition par la journaliste de TF1.


Le Figaro
4 days ago
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«Il y a longtemps que je serais parti si je ne t'aimais pas» : les derniers mots de Thierry Ardisson à Audrey Crespo-Mara
La veuve de l'animateur a partagé son discours, énoncé lors des obsèques de ce dernier à l'église Saint-Roch à Paris, dans une publication Instagram. «Mon Grand Amour.» Dans un bouleversant message, Audrey Crespo-Mara a rendu un dernier hommage à son époux, Thierry Ardisson, décédé ce lundi 14 juillet. Ses obsèques, qui se sont tenues ce jeudi 17 juillet à l'église Saint-Roch de Paris, ont réuni quelque 500 invités triés sur le volet. Tous, ou presque, ont respecté le «dress code Ardisson» conseillé dans le faire-part de décès, à savoir : le noir. Ces funérailles se sont déroulées loin des caméras, la cérémonie demeurant particulièrement intimiste et n'étant pas retransmise à la télévision. Le contenu de l'hommage a cependant fuité quelques instants après la sortie du cercueil de l'église. Chansons de David Bowie et des Beatles, textes chrétiens mais aussi discours de proches. Parmi ces derniers, une partie de celui d'Audrey Crespo-Mara a été dévoilée par des journalistes présents dans l'église. À lire aussi Coup de foudre à la télé, drague à l'ancienne et amour fou : la divine idylle entre Thierry Ardisson et Audrey Crespo-Mara Publicité La journaliste de la Une a finalement partagé 24 heures après, dans son intégralité et plus largement dans une publication Instagram, le discours en question. «Mon Grand Amour, amorce-t-elle en poursuivant : C'est ce qu'on se disait chaque matin en ouvrant les yeux, chaque soir en les refermant. Nous deux, c'était une chance, une évidence, 'une bénédiction', disais-tu.» La veuve livre ensuite un message à l'attention de Thierry Ardisson. «Mon Amour, tu es parti comme tu as vécu. En homme courageux, digne et libre. Et cela nous oblige, les enfants et moi. Tu nous as tant aidés, ces dernières semaines, ces derniers jours, à accepter ce qui nous semblait inacceptable, à être un peu moins dévastés», déclare-t-elle alors que son époux était atteint d'un cancer du foie depuis 2012. «Courageux, incontestablement, tu l'étais, personne ici n'en doute... C'est une qualité si rare ! Courageux, à chaque instant. Face à la maladie et à chaque jour de ta vie. Tu es droit, franc, sans filtre, sans faux-semblant. Ça ne t'a pas fait que des amis. Et alors ? Tu t'en foutais», rétorque-t-elle. Elle enchaîne avec la mise en garde que son défunt époux lui avait prodigué avant de s'éteindre. «Tu m'as dit : 'Cette cérémonie à Saint-Roch, fais gaffe, ça va être le bal des faux-cul !' Alors oui, il y a sans doute ici des personnes qui ne t'ont pas assez aimé, pas assez aidé quand elles le pouvaient... Désolée pour ça, mon Amour. Mais il y a tous ceux qui t'ont infiniment respecté, admiré, adoré, pendant tant d'années», martèle-t-elle avant d'adresser un mot particulier à ses précédentes compagnes, mais également à leurs enfants. «Il y a aussi les 3 femmes de ta vie, je t'avais promis : Christiane, Béatrice et moi. Nos 5 enfants, tes 5 'ratounets' : Manon - Ninon - Gaston - Lamine & Sékou. Toi qui avais fui ta famille à 16 ans, toi qui disais détester la famille... C'est réussi, tu pars à 76 ans, en patriarche, en Padre ! D'ailleurs ces dernières semaines, avec les enfants, nous étions unis autour de toi» se souvient-elle en confiant : «Tu me disais que ça te rassurait, que ça te rendait heureux. Nous aussi...» Audrey Crespo-Mara fait ensuite l'éloge de son époux. «Mon Amour, tu es si surprenant - hilarant - bluffant - sidérant... Tu es l'homme rêvé ! Attentionné à chaque instant, si délicat, si sensible... Pour moi, l'armure de l'Homme en Noir était rangée au placard, souligne-t-elle avant de témoigner de moments intimes : À chaque fois que nous étions allongés dans un lit, la tête posée sur ma poitrine, tu laissais échapper de longs soupirs, et tu disais 'Voilà, c'est là que je suis bien'. Je t'apaisais, me disais-tu. Et toi, au fil du temps, tu m'as donné confiance en moi... Avec toi, j'ai grandi, j'ai tant appris.» Les deux amoureux, qui se sont rencontrés par le biais de la télévision, ont partagé près de deux décennies d'amour. «Merci infiniment pour ces 16 années de rêve ! 16 ans, c'est court dans une vie, mais c'est une chance, un miracle, de les avoir passées avec toi. Nous nous sommes tant aimés. Et nous nous le sommes tant dit...», se remémore-t-elle. Audrey Crespo-Mara partage également les derniers mots de son époux : «Le dernier soir où tu pouvais encore me parler à l'hôpital, tu m'as dit: 'Y a longtemps que je serais parti si je ne t'aimais pas.' Alors, merci de m'avoir donné un peu plus de temps.» Publicité Elle est revenue sur le jour de sa mort : «Quant au choix, mon Amour, de partir un 14 juillet, toi le monarchiste... chapeau bas ! Tu es né un 6 janvier, jour de la fête des Rois. Et tu as dit 'fuck', le jour de la Révolution. Avec les enfants, ça nous a bien fait marrer. Tu as été Ardisson jusqu'à ton dernier souffle. Ce dernier souffle, je l'ai vécu dans tes bras.» Puis de conclure : «À la fin de ton ultime livre L'Homme en Noir où tu imagines ta mort... d'ailleurs cette prémonition, on s'en serait bien passé, mon Ange... À la fin donc, tu écris : 'Je suis en apesanteur dans un nuage de lumière blanche. Je suis terrifié, je perds le contrôle, je hurle. Mais aucun son ne sort de ma bouche.' Et tu ajoutes : Voix d'Audrey : - Ça va, mon Amour ? Toi : - Tu es là ? On peut vraiment se parler ? Moi : - Pour toujours, mon amour... Ce sont les derniers mots de ton dernier livre. Alors oui, évidemment... Pour toujours, mon amour...»


Le Parisien
4 days ago
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« Tu es parti en homme courageux, digne et libre » : la poignante lettre d'adieu d'Audrey Crespo-Mara à Thierry Ardisson
Un discours d'adieu à celui qu'elle aura accompagné jusque dans ses derniers instants. Au lendemain des funérailles de l'animateur Thierry Ardisson, mort d'un cancer à 76 ans lundi dernier , son épouse, la journaliste Audrey Crespo-Mara, a diffusé, ce vendredi sur Instagram, le texte poignant qu'elle a lu jeudi lors des obsèques de son défunt mari, organisées à l'église Saint-Roch (Ier arrondissement). « Mon Amour, tu es parti comme tu as vécu. En homme courageux, digne et libre. Et cela nous oblige, les enfants et moi. Tu nous as tant aidés, ces dernières semaines, ces derniers jours, à accepter ce qui nous semblait inacceptable, à être un peu moins dévastés », confie la présentatrice, s'adressant directement à Thierry Ardisson. Audrey Crespo-Mara salue la mémoire d'un homme « courageux, à chaque instant », que ce soit « face à la maladie », et « à chaque jour » de sa vie. « Tu es droit, franc, sans filtre, sans faux-semblant. Ça ne t'a pas fait que des amis. Et alors ? Tu t'en foutais », poursuit-elle. En faisant le récit du parcours de Thierry Ardisson, passé par le monde de la publicité, avant de s'illustrer à la télévision, Audrey Crespo-Mara vante une personnalité qui n'a jamais été « chiante ». « Quelle vie romanesque ! Créatif, tu l'étais en fait à chaque instant de notre vie. Fuyant la norme, l'ordre établi… », écrit-elle. L'épouse de Thierry Ardisson dresse le portrait d'un mari « attentionné à chaque instant », « délicat » et « sensible », loin, dans la vie intime, de « l'Homme en Noir » provocateur du petit écran . La présentatrice fait aussi allusion aux funérailles de l'animateur , qui s'attendait à ce que la cérémonie soit « le bal des faux culs ». « Alors oui, il y a sans doute ici des personnes qui ne t'ont pas assez aimé, pas assez aidé quand elles le pouvaient… Désolée pour ça, mon Amour. Mais il y a tous ceux qui t'ont infiniment respecté, admiré, adoré, pendant tant d'années », écrit Audrey Crespo-Mara. « Quant au choix, mon Amour, de partir un 14 juillet, toi le monarchiste… Chapeau bas ! Tu es né un 6 janvier, jour de la fête des Rois. Et tu as dit fuck , le jour de la Révolution. Avec les enfants, ça nous a bien fait marrer », raconte-t-elle à la fin de sa lettre. « Tu as été Ardisson jusqu'à ton dernier souffle. Ce dernier souffle, je l'ai vécu dans tes bras. »


Le Figaro
4 days ago
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«Je n'en menais pas large» : Jean-Luc Reichmann se souvient de ses face-à-face avec Thierry Ardisson
Ce jeudi 17 juillet, alors qu'avaient lieu les obsèques de «l'homme en noir», le présentateur des «Douze coups de midi» a rendu hommage à l'animateur décédé le 14 juillet. «Je me rappelle encore de tes interviews Thierry», a déclaré Jean-Luc Reichmann sur son compte Instagram ce jeudi 17 juillet. Une volonté de rendre hommage à celui dont les obsèques se déroulaient place Saint-Roch le même jour. «J'en menais pas large, mais tu m'as toujours soutenu Entre toi et moi, jamais de 'Double Jeu' . Tu nous manques déjà Thierry», a ajouté l'animateur dans son message, faisant référence à l'émission présentée par le présentateur de «Salut les Terriens !». À lire aussi Coup de foudre à la télé, drague à l'ancienne et amour fou : la divine idylle entre Thierry Ardisson et Audrey Crespo-Mara Thierry Ardisson, inventeur des interviews conceptuelles a marqué l'époque de la télévision française avec, notamment, des questions particulières. La plus célèbre étant le fameux «Sucer c'est tromper ?», à l'ancien premier ministre Michel Rocard dans «Tout le monde en parle» en 2001. Publicité Le présentateur des «Douze coups de midi» a lui aussi fait les frais des interrogations de «l'homme en noir». Comme en 2004, «85% des hommes pensent que leur sexe est à la bonne taille, et vous ?», avait alors demandé le publicitaire au présentateur de l'émission quotidienne «Attention à la marche». Sans se démonter, ce dernier avait répondu : «Ah oui, très bien !» Mais l'interviewé n'était pas encore au bout de ses peines puisque, quelques minutes plus tard, le mari d'Audrey Crespo-Mara l'avait à nouveau questionné : «Jean-Luc Reichmann, vous avez déclaré : 'Je voulais être Coluche mais ça a déjà été pris comme boulot', donc maintenant, vous essayez de prendre le boulot de Guy Lux ?». Le principal concerné avait alors eu un rire gêné avant de répondre par la négative. En 2015, dans «Salut les Terriens !», le présentateur avait, cette fois-ci, interrogé le mentor d'Émilien sur un sujet plus personnel. «Au début de votre vie, il y a cette tache sur votre visage qui vous pourrit la vie. Et aujourd'hui, cette tache, c'est votre identité, votre force». L'occasion pour Jean-Luc Reichmann de se confier sur cet angiome à la télévision. Thierry Ardisson a tiré sa révérence ce jeudi 17 juillet à l'église Saint-Roch, dans son cercueil noir. L'animateur emblématique était entouré de son épouse, ses trois enfants, ses amis, notamment Laurent Baffie et Philippe Corti, mais également pléthore de personnalités publiques politiques et de la télévision. Les hommages sur les réseaux sociaux ont également été nombreux.