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Dernières actualités avec #SiliconValley

Google s'invite dans la guerre des cerveaux de l'IA en chipant les talents de Windsurf... convoités par OpenAI
Google s'invite dans la guerre des cerveaux de l'IA en chipant les talents de Windsurf... convoités par OpenAI

Le Figaro

time5 days ago

  • Le Figaro

Google s'invite dans la guerre des cerveaux de l'IA en chipant les talents de Windsurf... convoités par OpenAI

Réservé aux abonnés Le groupe californien récupère plusieurs chercheurs de cette start-up, contre 2,4 milliards de dollars. Elle devait être rachetée par le père de ChatGPT... La guerre des talents franchit une nouvelle étape dans la Silicon Valley. Après l'offensive de Meta le mois dernier, c'est au tour de Google de débourser 2,4 milliards de dollars pour s'offrir les cerveaux de la start-up Windsurf, qui fournit des outils d'IA d'assistance au codage. Le géant de Mountain View débauche ainsi son PDG, Varun Mohan, et l'un de ses cofondateurs, Douglas Chen, tous deux diplômés du MIT, ainsi que les meilleures membres de l'équipe de recherche et développement. À découvrir PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech Ces nouvelles recrues seront intégrées aux équipes de DeepMind, sa division de recherche, travaillant sur la programmation d'agents IA, la nouvelle frontière de l'intelligence artificielle générative après les assistants IA (ChatGPT, Gemini, CoPilot…). « Nous sommes ravis d'accueillir chez Google DeepMind les meilleurs talents de l'équipe de Windsurf en programmation de l'IA afin de faire progresser nos travaux sur le codage agentique » s'est félicité le porte-parole de Google, Chris Pappas. Et ce, sans…

De Gennevilliers à la Silicon Valley, l'ascension fulgurante de trois prodiges de l'intelligence artificielle
De Gennevilliers à la Silicon Valley, l'ascension fulgurante de trois prodiges de l'intelligence artificielle

Le Parisien

time11-07-2025

  • Le Parisien

De Gennevilliers à la Silicon Valley, l'ascension fulgurante de trois prodiges de l'intelligence artificielle

Le stress est retombé, pas l'exaltation. Presque un mois après leur victoire, les membres du trio Ninj'AI, trois étudiants de Gennevilliers (Hauts-de-Seine), le confessent. Ils sont « encore sur un nuage ». Un nuage qui a des airs d'Olympe pour les vainqueurs du concours Kesk'IA , une compétition portant sur les applications concrètes et utiles de l'intelligence artificielle. Ils l'ont remportée après avoir défendu leur projet, un outil de lutte contre le cyberharcèlement, au salon Viva Tech en juin. Le prix, c'est un séjour dans la Silicon Valley, en Californie (États-Unis), le saint des saints des nouvelles technologies vers lequel ils vont s'envoler à l'automne pour défendre leur invention. Avec ce concours, Sawsen El Fartass, 19 ans, Ilias Petit, 23 ans et Abdelah El Fahim, 33 ans, sont passés en quelques mois d'étudiants à futurs (potentiels) chefs d'entreprise. La victoire va radicalement changer leur vie. « Cela nous ouvre des portes bien sûr. Nous sommes encore plus motivés. On a le sentiment d'être capables de lancer des projets maintenant », estime Abdelah. Sawsen a déjà décroché un stage dans une entreprise du digital à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine).

Linda Yaccarino quitte la direction de X après deux ans de turbulences
Linda Yaccarino quitte la direction de X après deux ans de turbulences

24 Heures

time09-07-2025

  • 24 Heures

Linda Yaccarino quitte la direction de X après deux ans de turbulences

Accueil | Savoirs | Technologie | La dirigeante nommée par Elon Musk annonce son départ sans en préciser les raisons. Sous sa gouvernance, X a tenté de redresser la barre après une chute de valeur vertigineuse. Publié aujourd'hui à 21h50 Mis à jour il y a 1 minute Linda Yaccarino quitte la direction du réseau social X, deux ans après avoir pris les rênes de l'entreprise. AFP La directrice générale du réseau social X, Linda Yaccarino, a annoncé mercredi qu'elle allait quitter ses fonctions, tout juste deux ans après avoir pris la tête de l'entreprise, propriété du milliardaire Elon Musk, sans préciser les raisons de son départ. Dans un message posté sur X, la dirigeante s'est dite «immensément reconnaissante» envers M. Musk «pour sa confiance», ajoutant être «incroyablement fière» du travail réalisé, notamment, selon elle, dans la «protection de la liberté d'expression». À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Le patron de Tesla et SpaceX avait embauché cette figure américaine des médias six mois après avoir racheté Twitter pour 44 milliards de dollars. La valeur de la plateforme avait chuté à 20 milliards sur la même période, sous l'effet des mesures du nouveau propriétaire – licenciement de deux tiers des employés, retour de personnalités controversées, bouleversement du système d'authentification des comptes, etc. – qui avaient fait plonger la confiance des utilisateurs et des annonceurs. «Application universelle» «Je lui suis profondément reconnaissante de m'avoir confié la responsabilité de défendre la liberté d'expression, de redresser l'entreprise et de transformer X en une application universelle», a déclaré Linda Yaccarino. Elon Musk n'a cependant jamais vraiment cédé le contrôle du réseau social, dont il s'est largement servi pour faire campagne pour Donald Trump l'année dernière, puis pour dénigrer le président des États-Unis et des élus républicains, jusqu'à annoncer le lancement de son propre parti ce week-end, le «parti de l'Amérique». Il a surtout ajouté Grok, rival de ChatGPT et produit de sa start-up d'intelligence artificielle (IA) xAI, au service. L'assistant IA suscite régulièrement de nouvelles polémiques avec des propos controversés, notamment racistes, car ses paramètres sont plus souples que ceux des autres principaux modèles d'IA générative. xAI a fusionné avec X en mars lors d'une opération valorisant xAI à 80 milliards de dollars et le réseau social à 33 milliards de dollars. Plusieurs nouvelles fonctionnalités sous Yaccarino Avant X, Linda Yaccarino a passé douze ans chez NBCUniversal, filiale du câblo-opérateur Comcast, où elle a contribué à unifier l'ensemble des médias du groupe au sein d'une même plateforme publicitaire, pour simplifier l'offre aux annonceurs. Pendant son mandat, X a lancé plusieurs nouvelles fonctionnalités, notamment Community Notes, un système de vérification des faits participatif, et a annoncé le développement de X Money, un service financier s'inscrivant dans la vision d'Elon Musk de transformer la plateforme en une «application universelle». «Je suis extrêmement fière de l'équipe de X – le redressement historique que nous avons accompli ensemble est tout simplement remarquable», a-t-elle affirmé mercredi. Elle a promis de continuer à soutenir ses anciens collègues «dans la suite de cette aventure pour continuer à changer le monde». Sur X Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Nvidia franchit le seuil symbolique des 4000 milliards de dollars de capitalisation
Nvidia franchit le seuil symbolique des 4000 milliards de dollars de capitalisation

Le Figaro

time09-07-2025

  • Le Figaro

Nvidia franchit le seuil symbolique des 4000 milliards de dollars de capitalisation

Le leader mondial des puces est plus valorisé que d'autres géants américains comme Amazon, Google, Apple, Meta ou encore Microsoft. Nouveau cap pour Nvidia. Ce mercredi 9 juillet, le leader mondial des puces a vu sa capitalisation boursière passer un seuil symbolique, en franchissant la barre des 4000 milliards de dollars. Un niveau stratosphérique, qui fait de l'entreprise américaine bien connue la société avec la plus importante valorisation au monde. Dans le détail, peu après 14h GMT, l'action s'échangeait autour de 163,9 dollars, en hausse de 2,4%, a constaté Le Figaro. À découvrir PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech L'entreprise, qui a pris une importance toute particulière grâce à l'explosion de l'intelligence artificielle, est ainsi plus valorisée que d'autres géants américains comme Amazon, Google, Apple, Meta ou encore Microsoft. La flambée de sa valeur est particulièrement marquée : le 25 juin, par exemple, sa valorisation atteignait 3760 milliards de dollars, à 154,3 dollars l'action. Et, deux ans plus tôt, sa capitalisation ne s'élevait «qu'à» un peu plus de 1000 milliards de dollars. Publicité Plus d'informations à venir.

États-Unis : des robots désherbants pour limiter l'utilisation des pesticides
États-Unis : des robots désherbants pour limiter l'utilisation des pesticides

Le Figaro

time06-07-2025

  • Le Figaro

États-Unis : des robots désherbants pour limiter l'utilisation des pesticides

Tracteurs, camions de chantier, voitures, rames de métro ou drones, l'IA a déjà fait naître une génération d'engins autonomes. Les chercheurs travaillent désormais au développement de l'IA dite «physique». À un peu plus d'une heure de la Silicon Valley, un robot à roulettes équipé d'un panneau solaire fait la chasse aux mauvaises herbes dans un champ de coton californien. Guidé par des caméras et de l'analyse en temps réel grâce à l'intelligence artificielle (IA), Element, son nom, repère les végétaux indésirables. Il les extrait ensuite avec l'un de ses deux bras mécaniques, sorte de houe ou bêche miniature. «Il imite la façon dont travaillent les humains», explique Kenny Lee, le patron d'Aigen, concepteur de ces robots tout-terrain, sous un soleil de plomb et par plus de 30°C. «Quand le soleil se couche, il s'éteint», dit-il, «et le lendemain matin, il repart». À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International Avec Element, les fondateurs d'Aigen ont voulu faire d'une pierre deux coups: répondre à la pénurie de main-d'œuvre agricole et réduire l'utilisation des pesticides, sans émissions de carbone. La parcelle sur laquelle s'affaire Element est labellisée bio, mais Bowles Farming, l'exploitant, y utilise des pesticides naturels, auxquels des variétés de mauvaises herbes sont résistantes. Publicité L'IA physique Element offre aussi la possibilité, selon lui, de «faire monter en compétences» les ouvriers agricoles, formés pour contrôler les robots et répondre à un problème technique. «Si vous pensez (qu'arracher les mauvaises herbes) est un boulot qui devrait être fait par des humains», lance Kenny Lee, «essayez de passer deux heures dans ce champ». À la différence des tracteurs ou des motoculteurs, Element est alimenté par son panneau solaire et ne dégage pas de CO2. Tracteurs, camions de chantier, voitures, rames de métro ou drones, l'IA a déjà fait naître une génération d'engins autonomes. Les chercheurs travaillent désormais au développement de l'IA dite «physique», qui permet à l'interface d'interagir directement avec son environnement dans des situations complexes, voire non prévues. Le patron du géant des semi-conducteurs Nvidia, Jensen Huang, décrit l'IA physique comme la prochaine grande étape du développement de cette technologie. En janvier, Nvidia a présenté Cosmos, une plateforme dédiée à la mise au point de l'IA physique. «Il ne s'agit plus d'apprendre à l'IA comment générer du contenu, mais à comprendre le monde physique», a-t-il expliqué lors d'une présentation à Las Vegas. Outre le coton, des robotos Aigen sont déjà à l'œuvre dans des champs de tomates et de betteraves. «Nous voulons avoir un impact» Kenny Lee estime qu'un robot Element, vendu 50.000 dollars, peut désherber environ 13 hectares. Ces robots pourraient être utilisés pour semer et repérer les nuisibles, mais Aigen, dont le siège se situe à Redmond, dans le nord-ouest des États-Unis, préfère se concentrer sur le désherbage pour se faire sa place. «Aigen va devenir un des géants de l'industrie», anticipe Lisbeth Kaufman, responsable des start-up à sensibilité climatique chez AWS, filiale d'Amazon et numéro un mondial de l'informatique à distance (cloud). Amazon Web Services a sélectionné la jeune pousse dans l'un de ses programmes de soutien à des initiatives qui allient technologie et lutte contre le réchauffement, fournissant des capacités informatiques et de l'aide technique. «Nous voulons avoir un impact», affirme Richard Wurden, co-fondateur et responsable technologique, pour qui travailler dans ce domaine «a du sens».

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