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Programme TV du dimanche 6 juillet : « Trois fois rien », « Bonne conduite »… Notre sélection
Programme TV du dimanche 6 juillet : « Trois fois rien », « Bonne conduite »… Notre sélection

Le Parisien

time06-07-2025

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  • Le Parisien

Programme TV du dimanche 6 juillet : « Trois fois rien », « Bonne conduite »… Notre sélection

« Jurassic World le monde d'après » à 21h10, sur TF 1. À la fin du précédent « Jurassic World », « Fallen Kingdom », sorti en 2018, l'un des personnages ouvrait la cage de dinosaures captifs, libres désormais d'aller envahir le monde. Dans le sixième opus de la saga - le 7e vient de sortir en salles - ces créatures lâchées dans la nature se sont reproduites sur tous les continents, les terres, les airs et les mers. Ce qui n'est pas sans poser quelques problèmes de cohabitation, comme le montre habilement la scène maritime d'introduction. Mais les dinosaures ne sont pas les seuls coupables. Dans l'ombre, une multinationale ne serait-elle pas aussi à l'œuvre, jouant avec les gènes pour s'assurer de plus gros profits ? Une perspective qui inquiète notamment le Dr Ellie Sattler (Laura Dern), de retour dans l'aventure jurassique après une absence de deux décennies, tout comme son compère, le Pr Alan Grant (Sam Neill). Ils viennent apporter une touche écologique plus prégnante que jamais au sein d'une franchise toujours au top qui nous alerte depuis trente ans sur les dangers de la manipulation du vivant.

Comme dans « Jurassic World Rebirth », le T.rex pouvait-il vraiment nager ? Un paléontologue nous répond
Comme dans « Jurassic World Rebirth », le T.rex pouvait-il vraiment nager ? Un paléontologue nous répond

Le HuffPost France

time04-07-2025

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Comme dans « Jurassic World Rebirth », le T.rex pouvait-il vraiment nager ? Un paléontologue nous répond

CULTURE - Trois ans seulement après la fin de la première trilogie Jurassic World, les dinosaures de Jurassic Park retrouvent les salles obscures ce vendredi 4 juillet. Avec un nouveau réalisateur talentueux en charge de la franchise, le Britannique Gareth Edwards, connu pour son Godzilla en 2014, Monsters, le spin-off de Star Wars Rogue One ou The Creator. Et il n'y a pas que les petites lunettes de Jonathan Bailey, star du film aux côtés de Scarlett Johansson, qui ont fait réagir les spectateurs dès la première bande-annonce de ce nouveau film intitulé Jurassic World Rebirt h (ou Renaissance en français). Quelques secondes montrant un en train de nager ont suscité de nombreuses interrogations de la part des fans de la saga. Dans ce contexte et compte tenu de l'agenda très chargé d'Alan Grant, Le HuffPost a donné la parole à Julien Benoît, paléontologue français travaillant à l'Université du Witwatersrand à Johannesburg, pour analyser la manière dont le cinéaste s'est approprié les dinosaures à l'écran. Car depuis le chef-d'œuvre de Steven Spielberg en 1993, chaque long-métrage de la saga s'adapte (plus ou moins) aux dernières découvertes scientifiques pour renouveler la représentation des dinosaures au cinéma. Ce nouvel opus n'y échappe pas. Le un animal semi-aquatique ? Dans la séquence, clin d'œil à un chapitre du livre Jurassic Park de Michael Crichton, le Tyrannosaurus rex pourchasse une famille réfugiée sur un canot de sauvetage. Laissant penser que le plus célèbre des dinosaures savait nager. Mais qu'en est-il vraiment ? Le chercheur nous explique que cette idée n'est pas nouvelle et invoque pour cela une étude de 2007 montrant des « traces de nage de théropode » identifiées dans des milieux « géologique d'eau peu profonde…C'est donc assez clair que certaines espèces de théropodes pouvaient nager », affirme-t-il. « Il y a évidemment le Spinosaure, qui est le représentant par excellence des théropodes nageurs… Et même si celui-ci reste assez éloigné de Tyrannosaurus, physiquement on peut dire qu'ils avaient à peu près la même silhouette. » Le paléontologue fait ensuite référence à une étude de 2023, qui avançait l'hypothèse que le « et les gros tyrannosauridés devaient affectionner les milieux aquatiques du simple fait de leur gigantisme, ce qui leur offrait un avantage certain sur des espèces qui avaient les pattes plus courtes ». Et même s'« il n'y a pas de registre fossile », c'est-à-dire des traces de nage fossilisées du Julien Benoit estime qu'« en partant du principe que des traces de nage de théropodes d'à peu près toutes les périodes où il y avait des théropodes ont été trouvées, on ne voit pas pourquoi serait exclu ». « aurait battu des pattes comme un canard » En revanche, certains détails de la scène, visible à partir de 0:40 dans la bande-annonce ci-dessous, interpellent le chercheur. Comme la « nage sous l'eau ». Proche des oiseaux, le tyrannosaure possédait « plein de sacs aériens » et donc une « densité supérieure à celle de l'eau », ce qui laisse dire à Julien Benoit qu'« il aurait probablement très bien flotté mais qu'il aurait très difficilement coulé ». Ce qui permet d'avancer, avec prudence, que le chassait uniquement en surface, ce que l'on voit (un peu) dans le film. Avant qu'il ne plonge complètement la tête sous l'eau à plusieurs reprises… Là, pour la véracité scientifique, on repassera. Qu'en est-il de la nage dans cette scène ? En se basant cette fois sur une étude de 2020 portant sur la queue du Spinosaure, où une comparaison est faite avec la queue d'un Allosaure (espèce suffisamment proche du pour que la comparaison tienne), on peut voir que la queue de ce dernier est « significativement moins efficace que celle de n'importe quel animal nageur pour produire une propulsion » précise Julien Benoît. « Donc quand on montre le en train d'onduler latéralement, ce n'est pas tellement comme ça qu'il aurait dû nager. Il aurait plutôt nagé en battant des pattes », explique le spécialiste. Dans le film, « ce mouvement d'ondulation le fait ressembler un peu à un serpent. Ce qui évoque un monstre marin. Mais si se déplaçait dans l'eau, il aurait battu des pattes comme un canard, pas ondulé comme un serpent » avance Julien Benoît. La précision du film de Gareth Edwards Pour le paléontologue, le film de Gareth Edwards offre cependant d'autres détails notables et scientifiquement vrais. Comme les « petits poils sensoriels, qui sont en fait des plumes, des proto-plumes » sur les pattes de certains sauropodes. Ou « les mouettes ou les goélands qui se perchent sur le dos » des Titanosaurus « comme le font nos oiseaux aujourd'hui sur le dos des gros herbivores ». Ces différences avec les précédents films ont leur importance pour le chercheur. Même si tout n'est pas parfait, comme la « catastrophique » proposition de crâne du Spinosaure. On peut y voir la volonté du réalisateur de rappeler la silhouette des dinosaures tels qu'ils étaient représentés dans l'inconscient collectif (et par la science) à l'aube du XXe siècle. Et de rendre hommage aux films d'aventures des années 1950-1960. Une époque où les dinos en stop motion et à l'allure de reptiles géants faisaient encore trembler les spectateurs. Si cet hommage semble appuyé et renforcé par les mutations génétiques de certains dinos, il est très difficile de sursauter ou d'être surpris par ce nouvel opus, qui malgré certaines qualités évidentes, se noie dans un océan de facilités scénaristiques. D'ailleurs, son scénario, prévisible, manque cruellement de mordant. Et si la promesse de ce septième volet censé retourner aux racines de la saga est malgré tout tenue grâce à la réalisation de Gareth Edwards, il passe malheureusement à côté du souffle épique et grandiose qu'aurait mérité un film d'aventures « à l'ancienne » comme celui-ci.

Avec Scarlett Johansson, la saga « Jurassic World » vit bien une « Renaissance » !
Avec Scarlett Johansson, la saga « Jurassic World » vit bien une « Renaissance » !

Le Parisien

time04-07-2025

  • Entertainment
  • Le Parisien

Avec Scarlett Johansson, la saga « Jurassic World » vit bien une « Renaissance » !

On commençait à désespérer, et il est arrivé tel un sauveur. Brillamment lancée par Steven Spielberg en 1993, la saga fantastico-préhistorique « Jurassic Park », devenue « Jurassic World » en 2015, devenait, au fil des films, de plus en plus molle du genou ou donnait dans la surenchère infantile bêta. Mais voici, avec « Jurassic World : Renaissance », très attendu grand blockbuster de l'été en salles ce vendredi, le temps du renouveau, qu'il faut attribuer à un homme brillant dans tout ce qu'il touche : Gareth Edwards, le très doué réalisateur de « Godzilla », « Rogue One » et « The Creator ». Aux manettes de ce « Renaissance », il nous en met plein les yeux et signe l'un des meilleurs volets de la saga. Le récit suit de près une équipe de scientifiques et de mercenaires tentant de récupérer l'ADN de dinosaures mutants sur une île laboratoire, tandis qu'une famille de touristes s'égare dans ses dangereux parages. Les deux groupes finiront par se rejoindre pour lutter ensemble contre les monstres démesurés qui les pourchassent…

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