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Brasier à Saint-Triphon: toutes les vaches sauves après avoir été évacuées dans le calme
Brasier à Saint-Triphon: toutes les vaches sauves après avoir été évacuées dans le calme

24 Heures

timea day ago

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Brasier à Saint-Triphon: toutes les vaches sauves après avoir été évacuées dans le calme

Le sinistre s'est déclenché ce lundi à l'aube dans une ferme du village de la commune d'Ollon. La fumée était visible de loin et le trafic a été perturbé. Publié aujourd'hui à 16h39 Les bêtes sont chargées dans des bétaillères. © Florian Cella / Tamedia En bref: Les articles ABO sont réservés aux abonnés. S'abonner Déjà enregistré.e ou abonné.e? Se connecter

Une ferme en flammes à Saint-Triphon
Une ferme en flammes à Saint-Triphon

24 Heures

time2 days ago

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Une ferme en flammes à Saint-Triphon

Le bâtiment agricole en feu ce lundi matin se trouve à proximité de la jonction autoroutière de Saint-Triphon, non loin de l'usine d'incinération Satom. Publié aujourd'hui à 08h42 Le bâtiment agricole en feu se trouve à proximité de la jonction autoroutière de Saint-Triphon, non loin de l'usine d'incinération Satom. CHANTAL DERVEY En bref: Un incendie s'est déclaré dans une ferme de Saint-Triphon ce lundi matin vers 6 h, rapporte «20 Minutes» . Le sinistre, visible depuis l'autoroute A9, a produit d'importantes flammes et une colonne de fumée noirâtre observable à plusieurs kilomètres à la ronde. Le trafic routier et ferroviaire est perturbé Le bâtiment agricole en feu se trouve à proximité de la jonction autoroutière de Saint-Triphon, non loin de l'usine d'incinération Satom. Cette dernière avait elle-même été touchée par un incendie il y a quelques mois. Les origines de l'incendie ne sont pas connues. On ne sait pas si le sinistre a fait des blessés, ni si des animaux étaient dans l'exploitation agricole au moment du départ de feu. La police cantonale a indiqué qu'elle communiquerait des informations complémentaires dans le courant de la journée. Un incendie dans une autre ferme Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Claude Béda est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 heures. Licencié en sciences sociales et politiques, passionné par les sujets de société et la vie des gens d'ici, il a couvert plusieurs régions du canton, avant de rejoindre la rédaction lausannoise. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Des animaux «pris au piège» dans une ferme en feu dans le Jura
Des animaux «pris au piège» dans une ferme en feu dans le Jura

24 Heures

time11-07-2025

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Des animaux «pris au piège» dans une ferme en feu dans le Jura

Le sinistre s'est déclaré le 10 juillet à Coeuve, près de Porrentruy. Des animaux ont été piégés dans les flammes et blessés. Publié aujourd'hui à 14h08 Un incendie s'est déclaré dans une ferme à Coeuve, proche de Porrentruy, dans la soirée du 10 juillet. KEYSTONE Un incendie s'est déclaré dans une ferme à Coeuve, proche de Porrentruy, dans la soirée du 10 juillet, rapporte la police cantonale jurassienne. Les faits se sont déroulés vers 18 h 30 et ont nécessité l'intervention des sapeurs-pompiers du SIS Vendline et du CRIS Porrentruy. «Plusieurs patrouilles de la gendarmerie, de même que la police judiciaire», ont également été mandatées sur place, «afin de sécuriser les lieux et de mener les investigations d'usage», précisent les forces de l'ordre. Une «care team» était également présente afin «d'apporter un soutien aux personnes présentes lors de l'événement». En parallèle, les autorités ont demandé à la population, par le biais d'Alertswiss, de rester chez elle et de fermer les fenêtres afin d'éviter l'inhalation de fumée. Les personnes incommodées par celle-ci ont été contrôlées par le personnel ambulancier. Bétail «piégé par les flammes» «Du bétail se trouvait piégé par les flammes», ajoute la police cantonale. Le vétérinaire cantonal ainsi qu'un vétérinaire praticien ont été dépêchés sur les lieux afin de prendre en charge les animaux blessés. «Une enquête est actuellement en cours afin de connaître les causes de cet incendie qui restent encore indéterminées», concluent les forces de l'ordre jurassiennes. Dernières actus à Porrentruy Laure Schmidt est journaliste stagiaire au sein de la rubrique Suisse-Monde-Economie de la rédaction Tamedia depuis septembre 2023. Elle a étudié les sciences sociales et la psychologie à l'Université de Lausanne. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Cet éleveur produit du fromage de chameau dans le Nord, une première en France
Cet éleveur produit du fromage de chameau dans le Nord, une première en France

Le Parisien

time09-07-2025

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Cet éleveur produit du fromage de chameau dans le Nord, une première en France

Au milieu des ânes, des alpagas et des lamas, se dresse un imposant animal à deux bosses. Il tape bruyamment le sol avec son pied. Le choc fait voler la terre rendue aride par la récente canicule. De l'autre côté de la route qui sépare la ferme en deux, des cris gutturaux se font entendre : le blatèrement des autres membres d'un troupeau de chameaux. Une rencontre improbable… À Feignies, dans le Nord ! Sur ses six hectares de terrain, Julien Job, 43 ans, élève 80 camélidés (chameaux, dromadaires et chameaux de Bactriane) . « À la base, je suis juste un amoureux des bêtes », explique l'entrepreneur qui s'était d'abord lancé dans le transport d'animaux à l'issue de ses études de commerce.

D'amour et de cocos de cane
D'amour et de cocos de cane

La Presse

time05-07-2025

  • Entertainment
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D'amour et de cocos de cane

La ferme d'élevage À la canne blanche est vouée à la production d'œufs de cane (Stukely-Sud) Daniel Bonin et Maryse Sauvé se consacrent à la production d'œufs de cane, ce qui leur a valu une sélection au dernier gala des Lauriers de la gastronomie. Leur ferme À la canne blanche – le nom n'est pas anodin, comme ils sont non-voyants – est située à Stukely-Sud, dans les Cantons-de-l'Est. « L'origine de votre rencontre ? », ose-t-on demander au couple, au milieu de notre visite. « À la Fondation Mira. Pour deux aveugles, c'est difficile de se rencontrer. Il faut vraiment se spotter quelque part ! », lance Daniel Bonin avec son rire si chaleureux. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Non-voyants, Daniel Bonin et Maryse Sauvé forment un couple et sont producteurs d'œufs de cane à Stukely-Sud, dans les Cantons-de-l'Est. En 2018, le couple a fondé la ferme d'élevage À la canne blanche, vouée à la production d'œufs de cane. « Il faut mieux faire connaître le produit », répète souvent avec enthousiasme Maryse Sauvé, qui fournit néanmoins déjà des épiceries et des tables de renom dans plusieurs coins de la province, dont le bistro Hortus, Billy j'ai faim ! et Le Hatley du Manoir Hovey. PHOTO FOURNIE PAR LE MANOIR HOVEY Le plat du chef du restaurant Hatley du Manoir Hovey, Alexandre Vachon, avec les œufs de cane de la ferme À la canne blanche Le chef Alexandre Vachon a même créé un plat d'œuf de cane servi avec du caviar du lac Saint-Pierre et un sabayon de mousseux, sur une planche de noyer taillée par un ébéniste avec une mention en braille d'À la canne blanche. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Habituellement, les canes dorment l'après-midi. Un œuf à la fois Maryse Sauvé a élu domicile sur une terre agricole de Stukely-Sud – située entre Waterloo et Eastman –, il y a 17 ans. À l'époque, elle n'avait pas encore rencontré Daniel et elle ne pensait jamais débarquer un jour à l'improviste dans la cuisine de grands chefs avec des cocos pleins les bras. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Daniel Bonin et Maryse Sauvé ne comptent pas leurs heures. Il a fallu que ses enfants quittent le nid, et que sa fille aînée lui offre des oiseaux pour combler le vide, dont deux canes. Maryse leur a trouvé un petit coin dans sa cuisine, puis dans son cabanon, puis Daniel et elle ont été séduits par les œufs de la femelle du canard. Il y a eu un premier « enclos test » de 22 canes. Puis en 2018, le couple a fait une demande à la Financière agricole du Québec pour bâtir une première canardière. En 2023, le couple, frustré d'un refus d'aide financière, a fait une campagne de sociofinancement pour faire construire un deuxième bâtiment et c'est là qu'est venu le soutien d'un entrepreneur et investisseur sherbrookois que Maryse et Daniel appelle « leur dragon », Sébastien Grégoire. Quand ce dernier a entendu le couple en entrevue à la radio, il est tombé sous le charme et il l'a appelé immédiatement pour aller le rencontrer. « Ils m'ont inspiré et ce fut une rencontre incroyable ! », relate celui qui est devenu leur associé. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Le matin de notre visite, Daniel Bonin avait lavé à la main 850 œufs, comme il le fait chaque jour en savourant le moment présent. « Ce n'est pas une job, c'est ma retraite », dit-il. La force de la nature La ferme compte actuellement 1400 canes : des pondeuses et des bébés. Deux autres bâtiments seront érigés pour faire doubler la production annuelle qui est d'environ 300 000 œufs. Le but est d'augmenter l'offre pour répondre à la demande, et de faire en sorte que plus de consommateurs et de restaurants découvrent les œufs de cane. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Daniel Bonin et Maryse Sauvé sont de fiers diligent et diligente, nom donné aux habitants de Stukely-Sud, où se trouvent leur maison et leur ferme. Les canes de Maryse et de Daniel sont nourries de grains naturels, sans antibiotiques et sans hormones. Elles vivent en petits groupes de 35 dans des enclos qui ont des planchers chauffants et qui ont chacun un bassin d'eau. « C'est eux autres, les boss. On les laisse tranquilles pour éviter qu'elles vivent toute anxiété », explique Daniel. Le contact animal, c'est beaucoup d'ouvrage, mais c'est du vrai. Maryse Sauvé, cofondatrice d'À la canne blanche Maryse rit en pensant à quel point leur projet de « première ferme d'élevage consacrée à la production d'œufs de cane au Québec » était intrépide pour deux personnes non voyantes qui n'ont aucune connaissance en agriculture. « Nous, on fonce », dit celle qui vante – avec raison – la qualité et le bon goût des œufs de cane (voir encadré). PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Les jolies boîtes destinées aux marchés et aux épiceries contiennent six œufs. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Des boîtes « eggsagonales », blague Maryse Sauvé. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Les jolies boîtes destinées aux marchés et aux épiceries contiennent six œufs. 1 /2 Vivre sans voir Atteinte d'une maladie génétique rare, Maryse a commencé à perdre la vue à l'âge de 17 ans. Depuis l'an dernier, elle ne voit « que des reflets ». « J'ai une perception lumineuse, mais plus rien de clair et de franc. » Pour sa part, Daniel a subi en bas âge 29 opérations pour un glaucome congénital, ce qui lui a permis de voir jusqu'à sa vingtaine. « Au départ, je ne voulais même pas le dire. Je pensais que ma vie était finie. » Daniel a vécu une période difficile, mais sa bonne humeur contagieuse est revenue avec le sport, le goalball, réservé aux athlètes ayant une déficience visuelle, ce qui l'a mené à Séoul aux Jeux paralympiques d'été de 1988 ! « Je ne peux pas rester assis à ne rien faire », dit l'homme énergique et souriant. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Daniel Bonin et Maryse Sauvé sont mariés depuis 2012. Ils partagent la même date de naissance, le 20 janvier. Daniel Bonin et Maryse Sauvé accueillent tous ceux qui passent par leur ferme à bras ouverts. Lors de notre visite, en mai dernier, le couple était ravi d'être nommé au gala des Lauriers de la gastronomie. « Nous avons reçu un certificat écrit en braille. C'était une belle attention. » « Pour deux aveugles, ce n'est pas facile de faire du PR dans un gala », appréhendait Daniel avec humour. PHOTO FOURNIE PAR LES LAURIERS DE LA GASTRONOMIE Maryse Sauvé et Daniel Bonin, avec leur canne blanche ! Finalement, une autre entreprise l'a remporté dans leur catégorie, mais la nomination a néanmoins permis de mieux faire connaître À la canne blanche, une histoire d'amour avant d'être une histoire d'œufs de cane… Mais c'était peut-être écrit dans le ciel, puisque Maryse appelait Daniel « mon coco » bien avant d'en produire. Consultez le site d'À la canne blanche

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