logo
#

Dernières actualités avec #puissance

Aspirateur Rowenta : en soldes à 74,99 euros, il va aspirer les moindre recoins de votre maison
Aspirateur Rowenta : en soldes à 74,99 euros, il va aspirer les moindre recoins de votre maison

Le Parisien

time3 days ago

  • Business
  • Le Parisien

Aspirateur Rowenta : en soldes à 74,99 euros, il va aspirer les moindre recoins de votre maison

Profitez de la puissance des anciens aspirateurs et de la maniabilité d'un appareil moderne, en vous tournant vers l'aspirateur traîneau Rowenta Swift Power Cyclonic. Doté d'un design vintage, mêlant les coloris Rouge royal et Lave fondue, ce nettoyeur cache un moteur Effitech pouvant générer une grande puissance d'aspiration de 21 kPa. Alimenté par un câble, ce modèle d'aspirateur ne vous causera aucun problème d'autonomie, tout en vous offrant un vaste champ d'action de 7,6 mètres. Compact, l'aspirateur traîneau Rowenta Swift Power Cyclonic n'aura aucun mal à trouver sa place dans vos placards. Son poids léger de 4,9 kg vous permettra même de le stocker sur une étagère. En cours de nettoyage, cet appareil émettra un niveau sonore de 77 dB. Disponible en soldes chez Rakuten, l'aspirateur traîneau Rowenta Swift Power Cyclonic vous est proposé à 74,99 euros au lieu de 109,99 euros. Pourvu d'une puissance de 750W, l'aspirateur traîneau Rowenta Swift Power Cyclonic embarque une technologie cyclonique de séparation de l'air et de la poussière. Économique et écologique grâce à sa conception sans sac, cet aspirateur est équipé d'un collecteur à dispositif Clean Express, facile à vider. Capable de capturer 99,98% des poussières rencontrées, votre nouveau nettoyeur sera accompagné de trois embouts : une brosse pour sols durs et tapis, un suceur plat et une brosse 2-en-1. En cas de problème avec votre nouvel aspirateur, vous pourrez compter sur une réparabilité estimée à 15 ans. Une garantie de 2 ans couvre aussi cet appareil électroménager, commercialisé par son fabricant via le cybermarchand Rakuten. Avant de finaliser votre achat, pensez à rejoindre le Club R pour bénéficier d'une offre de cashback qui vous permettra de récupérer 3,75 euros sur votre compte fidélité. Cliquez ici pour profiter de l'offre Rakuten sur l'aspirateur traîneau Rowenta Swift Power Cyclonic

Tour de France : royal vainqueur de la 12e étape, Tadej Pogacar assomme la concurrence
Tour de France : royal vainqueur de la 12e étape, Tadej Pogacar assomme la concurrence

Le Figaro

time5 days ago

  • Sport
  • Le Figaro

Tour de France : royal vainqueur de la 12e étape, Tadej Pogacar assomme la concurrence

Impressionnant de puissance et d'aisance dans la montée vers Hautacam, le Slovène a repris le maillot jaune, avec une avance plus que confortable sur son dauphin. Un nouveau récital à mettre à l'actif de Tadej Pogacar. Pour la première grande étape de montagnes de ce Tour de France millésime 2025, le Slovène a frappé un grand coup et infligé une véritable claque à ses concurrents. Dont Jonas Vingegaard, le seul qui aura réussi à limiter très (très) légèrement la casse à l'arrivée de la 12e étape à Hautacam. À découvrir Le classement du Tour de France 2024 Victime d'une chute la veille sans conséquence, Tadej Pogacar avait néanmoins frôlé le pire. Mais de toute évidence, ce fait de course n'aura pas eu la moindre incidence sur son état physique tant sa démonstration aura été parfaite ce jeudi avec une accélération dès le début de l'ascension du dernier col de la journée, qui a laissé ses adversaires sans réaction, Vingegaard devant se résoudre à le regarder s'envoler vers un succès d'étape. Et probablement vers un quatrième sacre dans le Tour de France après ceux de 2020, 2021 et 2024.

« Ça permet d'évaluer ce qui était subjectif à l'époque » : la révolution des watts, cette donnée qui a envahi le peloton du Tour de France
« Ça permet d'évaluer ce qui était subjectif à l'époque » : la révolution des watts, cette donnée qui a envahi le peloton du Tour de France

L'Équipe

time5 days ago

  • Sport
  • L'Équipe

« Ça permet d'évaluer ce qui était subjectif à l'époque » : la révolution des watts, cette donnée qui a envahi le peloton du Tour de France

En course, en conférence de presse, sur les réseaux, les watts tiennent une place centrale dans la vie du Tour. Éclairage sur cette donnée de puissance qui fait la loi dans le peloton. C'est Kévin Vauquelin, après le chrono de Caen, le 9 juillet, qui raconte : « Dès qu'il y avait du public, je voyais mes watts qui montaient. » C'est Warren Barguil qui, pour témoigner de la vitesse dans la côte de la Rançonnière, sur la route de Vire (jeudi dernier), disait avoir réalisé « pas loin d'un record de watts ». C'est Matteo Jorgenson qui, le matin de l'étape du Puy de Sancy (lundi), prédit « un festival de watts ». C'est, enfin, Jonathan Vaughters, manager d'EF Education-EasyPost, qui raconte avoir réalisé une analyse comparative entre Ben Healy et Quinn Simmons lors de leur échappée sur les routes d'Auvergne : « Ben a produit 75 watts de moins sur la durée de l'étape, c'est remarquable, ça montre à quel point il est aérodynamique. » Ce n'est pas la première fois que le milieu du vélo s'empare d'un terme scientifique, mais la place prise par les watts dans le quotidien et dans les discours du peloton est sans équivalent. Ils sont partout. Dans chaque calcul de position, de matériel, de textile. Sur les comptes Strava ou Instagram des coureurs, à l'image de Wout Van Aert, qui avait posté une capture de son record sur dix minutes lors du Tour d'Italie (518 W). Et aussi sur les réseaux sociaux de certains observateurs du cyclisme qui, ce jeudi, à l'issue de la montée vers Hautacam et comme pour chaque étape de montagne depuis plusieurs années, vont tenter d'estimer la puissance développée par les favoris du classement général, et en tirer des conclusions sur la « normalité » de leurs performances. « Ca permet d'évaluer ce qui était subjectif à l'époque, quand les coureurs écoutaient leurs sensations » Maxime Robin, directeur de la performance chez TotalEnergies Les watts ont bouleversé la manière d'analyser les performances. Les km/h ne comptent plus, et les minutes ne sont qu'un indicateur d'écart. « Les watts, c'est l'expression la plus factuelle de la dépense énergétique et de la performance athlétique d'un coureur, car elle n'est pas impactée par l'environnement, la météo, la vitesse du vent, comme peuvent l'être les km/h », décrit Jean-Baptiste Quiclet, directeur de la performance de Decathlon-AG2R La Mondiale. « Ça permet d'évaluer ce qui était subjectif à l'époque, quand les coureurs écoutaient leurs sensations, disaient juste d'une course qu'elle était facile ou difficile, explique Maxime Robin, son homologue chez TotalEnergies. Maintenant, avec les capteurs, on peut mesurer les efforts faits. » Apparus dans les années 1990, les watts ont gagné toutes les strates du peloton entre 2010 et 2012, quand les premiers capteurs fiables sont arrivés sur le marché. Placés sur le pédalier, ils en mesurent la déformation à chaque coup de pédale, et peuvent ainsi déterminer la force exprimée par le coureur. Multipliée par la cadence (le nombre de coups de pédale), cela donne une valeur de puissance, qui s'exprime donc en watts et s'affiche en temps réel sur les compteurs des coureurs. En course, l'usage varie selon les individus. Si Barguil avait regardé combien il avait poussé à la Rançonnière, d'autres y prêtent moins d'attention. « Je préfère courir avec mes sensations », témoigne Matteo Vercher (TotalEnergies). « Quand il faut vraiment gérer un effort, j'essaie de regarder, dit Alex Baudin (EF Education-EasyPost). Mais on n'a pas toujours le temps quand on est à fond. En revanche, j'aime bien analyser après, avec les segments Strava, en comparant avec les autres. Et on s'en sert beaucoup à l'entraînement. » C'est même là, aux yeux des coureurs et de leur encadrement, que les watts comptent le plus. « Avec cette donnée, éclaire Maxime Robin, on évalue le profil des coureurs ainsi que les courses selon leurs exigences en termes de puissance, et ensuite on planifie les séances. » Si le peloton des années 2010 a pu tiquer à l'apparition des watts, désormais, même les moins scientifiques des coureurs ont totalement adopté les données de puissance. Tous connaissent sur le bout des doigts leurs records de watts sur des durées variées, et savent aussi les besoins des différents niveaux de compétitions. « Le niveau World Tour, c'est 1500-1700 watts sur une à cinq secondes pour un sprinteur, indique Jean-Baptiste Quiclet. Un puncheur, ça va être à peu près 1 000 watts sur trente secondes. Un puncheur-grimpeur, ça peut être plus de 500 watts sur trois minutes... » « On se connaît tous très bien, mais on sait aussi que les données varient avec la fatigue, précise Baudin, excellent dans l'échappée qui a permis à son leader, Healy, de s'emparer du maillot jaune, lundi. On ne peut pas produire les mêmes puissances après le dixième jour de course, et je l'ai senti dans l'échappée, il y avait de la fatigue dans les jambes. » « C'est parce que chaque coureur connaît ses seuils qu'on a souvent des scénarios de course où le peloton avance à allure régulière, sans qu'il ne se passe grand-chose jusqu'à la dernière heure » Jean-Baptiste Quiclet, directeur de la performance de Decathlon-AG2R La Mondiale Raison pour laquelle « le concept en vogue », selon Quiclet, est de déterminer les records de puissance en prenant en compte différents niveaux de fatigue. « On a été obligés de définir ça parce qu'on s'est rendu compte que beaucoup de coureurs étaient d'un niveau proche quand ils sont frais, alors qu'il n'y en a qu'un seul qui gagne. Ça signifie qu'il y a une interaction avec l'énergie dépensée en amont. En fait, chaque coureur n'a pas un seul profil de puissance, mais des profils de puissance selon l'énergie dépensée au long de la course. Donc un record sur cinq minutes après 2000 kilojoules dépensés, après 3 000 kilojoules, etc. » Tant de données, ça fera frissonner de dégoût les plus anciens, comme Bernard Hinault, qui déteste l'idée que les capteurs puissent remplacer le sens tactique et le panache. Il est indéniable que les watts influent sur les comportements en course. « C'est parce que chaque coureur connaît ses seuils qu'on a souvent des scénarios de course où le peloton avance à allure régulière, sans qu'il ne se passe grand-chose jusqu'à la dernière heure, note Quiclet. Puis soudain, quand beaucoup ont brûlé l'énergie disponible, les meilleurs accélèrent et ça explose de partout. » Mais ce début de Tour animé montre aussi que le cyclisme moderne n'est pas corseté. Comme si leur fine connaissance de leur potentiel en watts montrait aux coureurs, en miroir de leurs limites, ce dont ils sont capables. À lire aussi Bourlart : «La bagarre des coqs ne m'intéresse pas» Pogacar, la frayeur avant les hauteurs Le Ventoux ouvert à tous et à toutes Le bal des punks

Des données « pas loin de la réalité, mais souvent un peu surestimées » : peut-on vraiment calculer les watts par kilo des coureurs sur le Tour de France ?
Des données « pas loin de la réalité, mais souvent un peu surestimées » : peut-on vraiment calculer les watts par kilo des coureurs sur le Tour de France ?

L'Équipe

time5 days ago

  • Sport
  • L'Équipe

Des données « pas loin de la réalité, mais souvent un peu surestimées » : peut-on vraiment calculer les watts par kilo des coureurs sur le Tour de France ?

Les meilleurs coureurs du monde ne rendant pas publiques leurs données de puissance, des observateurs se sont mis à les estimer. Et leurs chiffres créent le débat. Pour certains, comme Kévin Vauquelin, pas besoin d'équations savantes, tout est sur Strava. « Mon opinion personnelle est que ce serait bien que beaucoup de coureurs fassent pareil, ça éviterait les discussions de comptoir », affirme son entraîneur Kevin Rinaldi. Mais Tadej Pogacar et les cadors du peloton ne rendent pas leurs données de watts publiques. D'autres se chargent donc d'essayer de les calculer. Sur les réseaux sociaux, plusieurs comptes publient des estimations des performances réalisées en prenant comme unité les watts étalons (calcul pour un coureur de 70 kg) ou les watts par kilos (puissance en rapport avec le poids estimé du coureur). Selon le résultat, ils en concluent à la « normalité » d'une perf, ou à son « anormalité ». Peut-on vraiment calculer la puissance d'un coureur sans les données de son capteur ? La question agite le milieu, d'autant plus que les chiffres avancés pour certains coureurs sont énormes, parfois sans précédent hors époque EPO, ou indiquent des progressions fulgurantes. Depuis le peloton, Alex Baudin, qui publie ses watts, a noté que les données pour des coureurs qu'il connaît « étaient pas loin de la réalité, mais souvent un peu surestimées ». Jean-Baptiste Quiclet, directeur de la performance chez Decathlon-AG2R La Mondiale, trouve l'entreprise trop délicate, « parce qu'il faut prendre en compte le rendement extrinsèque (l'équipement, l'environnement, les conditions météo...) et intrinsèque du coureur », c'est-à-dire l'efficience réelle de son coup de pédale. « Il est très confusant de comparer les générations au vu de l'évolution du matériel », ajoute-t-il. « Quand on a comparé nos calculs avec les chiffres d'un capteur, la marge d'erreur n'était que de 2 % max » Alban Lorenzini, titulaire d'un compte qui estime les watts développés par des coureurs Alban Lorenzini, ancien ingénieur, lui-même entraîneur et titulaire d'un compte qui se penche sur ces questions de watts, juge que « les estimations sont fiables. Il peut y avoir des petites dispersions, liées au poids du coureur. Mais quand on a comparé nos calculs avec les chiffres d'un capteur, la marge d'erreur n'était que de 2 % max. On utilise des cartes IGN pour les pentes, Infoclimat pour les stations météo, on prend en compte le poids du coureur, du vélo, son aérodynamisme, le rendement de la route, on a modélisé l'aspiration... Et quand les conditions ne sont pas réunies, on ne calcule pas ». L'an dernier, après la montée du Plateau de Beille, Jonas Vingegaard a donné du crédit au travail des « chasseurs de watts » en qualifiant de « très précis » le chiffre extraordinaire de 6,85 W/kg calculé par le site Lanterne Rouge. Pendant la traversée des Pyrénées, les calculettes seront de nouveau de sortie. Et tant que les données officielles ne seront pas publiées, le débat se poursuivra.

Discours aux armées : Macron veut 6,5 milliards d'euros en plus au budget de la Défense d'ici 2027
Discours aux armées : Macron veut 6,5 milliards d'euros en plus au budget de la Défense d'ici 2027

Le HuffPost France

time13-07-2025

  • Politics
  • Le HuffPost France

Discours aux armées : Macron veut 6,5 milliards d'euros en plus au budget de la Défense d'ici 2027

POLITIQUE - « Pour être libre dans ce monde, il faut être craint et pour être craint, il faut être puissant ». C'est pour cela que la France va doubler son budget non plus pour 2030, mais pour 2027, soit 6,5 milliards d'euros d'ici deux ans. C'est ce qu'a annoncé Emmanuel Macron ce dimanche 13 juillet lorsqu'il s'est exprimé « pour la neuvième fois » face aux Français, lors de sa traditionnelle allocution aux armées à la veille de la fête nationale dans les jardins du ministère des armées, à l'Hôtel de Brienne. « Alors que nous avions prévu de doubler le budget [de la Défense] d'ici 2030, nous allons le doubler d'ici 2027 », a annoncé le président de la République, évoquant un « effort nouveau historique et proportionné ». Pour renforcer l'effort budgétaire pour la défense, il faudra ajouter des dépenses de 3,5 milliards d'euros en 2026 puis à nouveau 3 milliards de plus en 2027, de sorte que le budget de la défense aura doublé en dix ans sous ses deux mandats. « Une actualisation de la loi de programmation militaire » pour 2024-2030 « sera présentée à l'automne, a dit le chef de l'État. Il a affirmé refuser que cet effort « soit financé par l'endettement », à l'heure où le gouvernement doit donner un net tour de vis pour tenter de redresser les comptes publics. « Jamais notre liberté n'avait été si menacée » « Nous vivons un moment de bascule. Jamais, depuis 1945, la liberté n'avait été menacée à ce point », avait commencé le président, annonçant la couleur. Il était entouré sur scène par François Bayrou, le Premier ministre, Sébatien Lecornu, le ministre de la Défense et Patricia Mirallès, ministre chargée de la Mémoire et des Anciens combattants. « Jamais notre liberté n'avait été si menacée, a-t-il poursuivi, ajoutant que quand il n'y a plus de règles, c'est la loi du plus fort qui s'impose. » « Soyons clairs : nous, Européens, devons désormais assurer notre sécurité nous-même », a-t-il déclaré après avoir égrené les différents conflits dans le monde, dont notamment la menace russe à la course technologique, l'arrivée de l'intelligence artificielle. « Ces dernières années ont été marquées par le retour de l'impensable, et regardez encore ces derniers mois l'accélération des évènements, les combats entre Israël et l'Iran, les combats aériens entre l'Inde et le Pakistan, les à-coups de l'aide américaine en Ukraine », a déclaré le président évoquant une « accélération de l'histoire ». « Il n'y a plus d'arrière, il n'y a plus de front. » « Pour être libre dans ce monde, il faut être craint et pour être craint, il faut être puissant », a poursuivi Emmanuel Macron, assurant que

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store