Dernières de Almountakhab


L'Équipe
8 minutes ago
- Sport
- L'Équipe
Un tirage relevé pour les Bleus au Grand Smash des États-Unis
Le tirage au sort du Grand Smash des États-Unis (3-13 juillet), dont les tableaux principaux débutent dimanche, a été effectué ce vendredi à Las Vegas et n'a pas été tendre avec les Français. Un Grand Smash, plus haut niveau de tournoi sur le circuit international du tennis de table, n'offre jamais un parcours facile. Mais le tirage au sort de la première édition disputée aux États-Unis, effectué ce vendredi à Las Vegas par les Chinois Lin Shidong et Sun Yingsha, n°1 mondiaux et les Américains Kanak Jha et Lily Zhang, aurait pu être plus clément pour les représentants tricolores. Le plus gros défi sera pour Thibault Poret, 34e mondial, qui devra faire face à Lin Shidong au premier tour. Dans ce premier quart de tableau, Alexis Lebrun, 11e mondial, a hérité du Polonais Milosz Redzimski (43e) au premier tour, et pourrait trouver sur sa route le Suédois Truls Moregard, 6e mondial. Félix Lebrun, tête de série n°6 après le forfait du Brésilien Hugo Calderano, privé d'entrée aux États-Unis, a hérité du Japonais Shunsuke Togami (25e), champion du monde en double, mais qu'il n'a encore jamais rencontré en simple. Gauzy et Duda en ligne de mire pour Félix Lebrun La tête de série la plus proche du n°1 français est Benedikt Duda (12e), l'Allemand qui s'est déjà imposé trois fois face au cadet des Lebrun, en cinq rencontres. Au deuxième tour, il pourrait en outre affronter Simon Gauzy, d'abord opposé à l'Australien Aditya Sareen (45e mondial), dans cette partie de tableau où se trouve le Chinois Liang Jingkun. Dans le tableau féminin, Jia Nan Yuan (25e) sera opposée à la Roumaine Bernadette Szocs, 13e mondiale et n°1 européenne, et Prithika Pavade, 31e mondiale, à l'Égyptienne Mariam Al-Hodaby, 58e. Les tableaux de double ne sont pas encore connus. Audrey Zarif a en revanche été éliminée dès le premier tour des qualifications, contrairement à Charlotte Lutz, qualifiée pour le 2e tour (sur 3). Camille Lutz, Lilian Bardet et Florian Bourrassaud entrent en lice ce vendredi. Flavien Coton avait dû déclarer forfait, touché par un virus.


L'Équipe
8 minutes ago
- Sport
- L'Équipe
Le car des Bleues victime d'un « gros accroc »
Les Bleues n'ont pas pu utiliser leur car ce vendredi pour partir à Zurich où elles affronteront l'Angleterre samedi soir (21 heures) : il a été accidenté dans la matinée à l'issue de l'entraînement. Alors qu'elles avaient enfin récupéré leur car siglé « France » jeudi matin, les Bleues ont dû se rendre à Zurich avec un véhicule qui n'était pas le leur, vendredi après-midi. En marge de la séance dont seulement le premier quart d'heure était ouvert aux médias, le véhicule a subi un « gros accroc » alors que le chauffeur effectuait une manoeuvre pour faire demi-tour. Le car était vide, ni les joueuses, ni le staff ne s'y trouvant à ce moment-là et le conducteur n'a pas été blessé. Le véhicule a pu déposer les joueuses à leur hôtel avant de passer la soirée au dépôt pour y être réparé et les Françaises devraient le récupérer samedi matin. Elles pourront logiquement se rendre au Letzigrund pour affronter l'Angleterre dans leur car officiel. Lors des premiers jours en Suisse, elles voyageaient d'ailleurs dans celui, orange, des Bears de Saint-Gall, l'équipe de football américain locale.


L'Équipe
8 minutes ago
- Sport
- L'Équipe
L'Asvel « sauvée » pour 2025-2026 mais avec un budget en baisse et sa masse salariale encore encadrée
Comme indiqué par son propriétaire Tony Parker fin juin dans L'Équipe, l'Asvel a passé l'étape de la DNCCG, le gendarme financier du basket français, pour être au départ de la saison 2025-2026. Mais dans une interview au Progrès, le président de l'instance Patrick Hianasy rappelle que le club rhodanien verra sa masse salariale encadrée. Demi-finaliste malheureux contre Monaco en Championnat, l'Asvel a passé avec succès le dernier obstacle de sa saison : la DNCCG, le gendarme financier de la Ligue nationale de basket. Comme indiqué par Tony Parker dans L'Équipe, le 24 juin, les actionnaires du club rhodanien ont compensé un déficit de 12 millions d'euros pour mettre leur équipe sur la ligne de départ de la saison 2025-2026. « À court terme, c'est-à-dire pour la saison prochaine, l'Asvel est sauvée. Les actionnaires qui ont mis la main à la poche pour boucler 2024-2025 ont pris un autre engagement pour 2025-2026 », explique Patrick Hianasy, le président de la DNCCG dans un entretien au Progrès. Pour voir plus loin, le club aux 21 titres de champion de France attend la fin de la partie d'échecs autour de l'arrivée de la NBA en Europe. « On investit tous avec ça en tête », reconnaissait Parker. « Au-delà de 2025-2026, l'Asvel mise sur la NBA Europe pour prendre de la valeur. Sportive et financière. C'est un pari. Et Tony Parker est un entrepreneur qui fait des paris. Mais si la NBA fonctionne très bien aux États-Unis, je demande à voir sur un continent qui est une mosaïque de pays avec des réglementations bien différentes », prévient Hianasy. En attendant, la DNCCG annonce un budget prévisionnel encore en baisse, à 18 millions d'euros (contre 20 en 2024-2025), et une masse salariale elle aussi plus petite (5,1 millions d'euros bruts contre 5,6). « L'Asvel est engagée avec un encadrement de sa masse salariale. Comme la saison dernière. Si elle désire l'augmenter, elle est obligée de demander l'avis de la DNCCG. C'est une liberté surveillée », poursuit Hianasy. S'il reconnaît la responsabilité de Skweek (signataire à l'origine d'un contrat de sponsoring pour trois ans et 21 millions d'euros) dans les difficultés de Villeurbanne, le patron de la DNCCG n'exonère pas le club : « Tony Parker est responsable d'avoir signé un contrat avec Skweek, mais il n'est pas coupable du fait que Skweek ne respecte pas son engagement. »


L'Équipe
8 minutes ago
- Sport
- L'Équipe
Arthur Rinderknech après son élimination au troisième tour de Wimbledon : « J'ai tout donné, je n'ai pas beaucoup de regrets »
Sans se chercher d'excuse malgré son cinquième jour consécutif sur le court, Arthur Rinderknech assure être tombé sur plus fort que lui ce vendredi au troisième tour de Wimbledon face à Kamil Majchrzak (6-3, 7-6 [4], 7-6 [6]). Il retient sa victoire au premier tour face à Alexander Zverev et espère poursuivre sa collaboration avec Lucas Pouille. « C'était votre cinquième jour de suite sur le court, est-ce que vous l'avez payé physiquement sur ce troisième tour, perdu face à Kamil Majchrzak (6-3, 7-6 [4], 7-6 [6]) ?Oui, sûrement, on peut le voir comme ça, on peut aussi le voir d'une manière où l'adversaire a aussi très bien joué. Je ne pensais pas qu'il était aussi difficile à jouer, il n'a vraiment pas raté grand-chose. Certes, on n'était pas sur les mêmes jauges physiques, mais il y a des matches gagnés par celui qui est peut-être un peu plus fatigué ou qui a passé un peu plus de temps sur le cours, donc non, ce n'est pas une excuse du tout. Voilà, j'ai perdu, mais j'ai tout donné, je n'ai pas beaucoup de regrets, il m'a posé pas mal de problèmes donc chapeau à lui. Il y avait une vraie opportunité pour vous de rallier les huitièmes de finale en Grand Chelem pour la première fois. Est-ce que ça a joué mentalement avant le match ?Non, ce n'était pas vraiment le cas. À partir du moment où je joue un premier tour comme celui que j'ai joué face à Alexander Zverev, la victoire que j'ai eue, c'est extrêmement compliqué de tout de suite rebasculer, rester dans le tournoi émotionnellement, mentalement. J'ai réussi à le faire au deuxième tour, non sans mal, parce qu'évidemment c'était très compliqué physiquement et mentalement, mais j'ai bien tenu. Aujourd'hui, physiquement, j'étais présent, pas à 100 % de mes capacités, mais j'avais ce qu'il fallait pour être capable de gagner le match. Mentalement, contrairement aux deux premiers tours, j'ai eu un ou deux petits passages où je me suis agacé et ça m'a coûté quelques points par-ci par-là. C'était la bagarre. Je suis fier de m'être battu pendant trois heures et d'avoir eu balle de set au deuxième, balle de set au troisième. Les opportunités étaient là. Il a très bien joué sur ces points-là aussi. Encore une fois, chapeau. Ce ne sera que partie remise. « On va discuter tranquillement autour d'un bon petit dîner ou d'un petit verre de vin avec Lucas, comme on aime faire, tranquillement. Evidemment, mon souhait serait de prolonger l'aventure tant qu'il peut. » La question est posée à chaud, mais avec le recul, vous trouverez malgré tout du positif dans ce tournoi ?Oui, évidemment. Il y a plein de choses extrêmement positives, ça c'est sûr. Je vais continuer à construire et définitivement lancer ma saison à partir de là. Contre Zverev, c'était ma première victoire sur un top 5, qui plus est en Grand Chelem, sur le Centre Court de Wimbledon. Je ne peux évidemment pas la jeter à la poubelle parce que j'ai perdu au troisième tour contre quelqu'un qui était à ma portée. Je ne peux pas me plaindre, c'était un superbe tournoi. J'ai eu la plus belle victoire et les plus belles émotions de ma carrière. Quelle va être la suite pour vous ? En termes de programme mais aussi de coaching, allez-vous poursuivre avec Lucas Pouille ?On va discuter tranquillement autour d'un bon petit dîner ou d'un petit verre de vin avec Lucas, comme on aime faire, tranquillement. Évidemment, mon souhait serait de prolonger l'aventure tant qu'il peut. Et en termes de programmation, je rejoue deux semaines sur terre battue, faire deux tournois que j'apprécie beaucoup, à Gstaad et à Kitzbühel. En tout cas, c'est le plan. À voir comment mon corps est. On va voir après les analyses que je vais faire. J'espère qu'il n'y a rien de trop sérieux. Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais ça tire un peu. Je vais quand même voir à froid dans un ou deux jours comment ça va. Avec l'adrénaline, ça passe. Mais quand on est à froid et sans plus aucune aide, ça peut tirer un peu plus. On verra. »


L'Équipe
8 minutes ago
- Sport
- L'Équipe
Quand le match d'Amanda Anisimova à Wimbledon se déroule en plein concert de bouchons de champagne
Victorieuse de son troisième tour ce vendredi à Wimbledon, Amanda Anisimova (12e mondiale) a résisté aux coups de son adversaire, la Hongroise Dalma Galfi (6-3, 5-7, 6-3), mais aussi au bruit... des bouchons de champagne, qui ont rythmé la partie. Wimbledon, son gazon verdoyant, ses tenues blanches, ses fraises à la crème et... ses bouteilles de champagne. Amanda Anisimova, 12e mondiale, en a fait l'expérience ce vendredi lors de son troisième tour. L'Américaine de 23 ans, ancienne jeune prodige qui a trouvé refuge dans la peinture avant de revenir au tennis, a résisté à tout : le déluge de coups de son adversaire, la Hongroise Dalma Galfi, mais aussi le bruit des bouchons de champagne, pour se qualifier pour les huitièmes de finale (6-3, 5-7, 6-3). « Ça n'arrêtait pas, a-t-elle déclaré en souriant à l'issue du match, commencé vers midi, au sujet du bruit incessant venu des loges. À un moment donné, je me suis dit "est-ce que tout le monde peut le faire au changement de côté ?" ». Ces distractions n'ont pas entamé le rythme de la tête de série n°13, qui réalise doucement mais sûrement une campagne sur gazon très convaincante, après avoir atteint la finale du Queen's puis les quarts de finale à Berlin.