
Katie Holmes et Joshua Jackson de « Dawson » offrent aux fans les retrouvailles que tout le monde attendait
Ce sont nos confrères de Deadline qui ont rapporté cette annonce de nouvelle collaboration. Comme le précise le site spécialisé, il s'agit d'un projet au long cours puisque Happy Hours est conçu comme une trilogie de films. Katie Holmes portera une triple casquette sur ce projet, celle de scénariste, de réalisatrice et d'actrice. Et pour l'accompagner devant la caméra elle a donc choisi son ancien compère de Dawson's Creek, Joshua Jackson.
L'actrice a confirmé elle-même la nouvelle sur les réseaux sociaux le 21 juillet. Ella a posté une photo sur laquelle elle apparaît en compagnie de Joshua Jackson accompagnée d'une courte légende « Je suis si heureuse de pouvoir travailler à nouveau avec des amis merveilleux sur Happy Hours. Et refaire équipe avec Josh après tant d'années est une vraie preuve d'amitié. »
Happy Hours suivra le destin d'un homme et d'une femme qui se rencontrent, se perdent de vue, se retrouvent au fil des années et de leurs évolutions personnelles : de carrière, familiales, amicales. Présentée comme une comédie dramatique, Happy Hours mettra en lumière d'autres comédiens : Mary-Louise Parker (Weeds), Constance Wu (Crazy Rich Asians), Donald Webber Jr.(Severance), Nathan Darrow (House of Cards) ou encore Johnna Dias-Watson (Mercredi). Le tournage du premier film doit débuter durant l'été à New York. Celui des suivants devrait suivre immédiatement après.
Katie Holmes a fait ses débuts dans la réalisation en 2015 et compte dans sa filmographie plusieurs projets sur lesquels elle a joué ce triple rôle. Joshua Jackson lui, a enchaîné les succès à la télévision depuis la fin de Dawon avec des séries comme Fringe, The Affair, Doctor Death ou plus récemment Doctor Odyssey. Katie Holmes et Joshua Jackson ont donné la réplique à James Van der Beek, Michelle Williams et de nombreux autres comédiens comme Chad Michael Murray ou Busy Phillips pendant six saisons dans la série Dawson. On ignore encore si Happy Hours verra apparaître certains d'entre eux.
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Le Figaro
a minute ago
- Le Figaro
«J'ai prévu de débarquer à Miami» : Constance, éliminée de «Secret Story», rejoint sa grande amie Célia
ENTRETIEN - Ce jeudi 24 juillet marquait la fin de l'aventure de la candidate, dans le jeu présenté par Christophe Beaugrand sur TFX, aux portes de la demi-finale. Ils ne sont plus que cinq à pouvoir prétendre au titre de gagnant de «Secret Story», et Constance n'en fait pas partie. La candidate de 22 ans a d'abord été nommée par ses camarades ce mardi 22 juillet, avant d'être éliminée par les téléspectateurs, une semaine avant la demi-finale. La Normande a vu partir du jeu, tour à tour, ses alliés du programme présenté par Christophe Beaugrand sur TFX, notamment Célia - sa «siamoise» de l'émission, Mayer suite à son abandon la semaine passée, et Damien avec lequel elle partageait le secret suivant : «Nous sommes un faux couple». Un secret plutôt difficile à mettre en place compte tenu du fait que le jeune homme est parti après seulement deux semaines de jeu. Publicité La participante a fait partie des candidats pointés du doigt par certains internautes pour des comportements de harcèlement, voire de racisme envers les deux joueuses : Romy et Anita. Marianne, également concernée par les accusations a été victime de cyberharcèlement à sa sortie de l'émission, au point qu'elle a dû être hospitalisée suite à des pensées suicidaires. Mais il en faut plus pour effrayer Constance, qui s'est confiée sur ces six semaines passées dans le jeu, et ses projets à venir. À lire aussi «Mon secret m'a désavantagé» : Mayer se confie sur les raisons de son abandon de «Secret Story» LE FIGARO. - Vous regrettez d'avoir été éliminée aux portes de la demi-finale ? Constance. - Je n'ai pas de regret parce que je pense que j'ai bien joué mon jeu. Je suis allée au bout de mes limites parce que ça commençait à devenir un peu long pour moi. Je suis ravie de laisser ma place à Ethan et Anita (nommés également cette semaine) qui ont été des joueurs incroyables depuis le début. Je n'étais plus forcément bien alors je préfère leur laisser à eux. Comment avez-vous vécu la perte de vos alliés de l'aventure ? Je n'ai pas très bien vécu quand Damien est parti et encore moins bien quand c'était Célia. Après leur départ, je n'arrivais plus à trouver des personnes à qui parler, sans qu'ils ne veuillent découvrir mon secret. Je n'avais plus d'épaule sur laquelle me reposer. J'étais dégoûtée quand Damien a été éliminé, j'ai ressenti de l'injustice. Je m'en suis voulu d'avoir accusé Romy et Anita à tort. J'ai fait des erreurs qui ont été remarquées. Maintenant je fais mon mea culpa, comme je l'ai fait dans la maison des secrets. J'ai parlé avec elle et tout est pardonné. Je me suis excusée de comportements que j'avais pu avoir. J'ai vu ce qui s'était passé sur les réseaux sociaux. J'essaie de me focaliser sur le positif et j'espère que tout va bien pour Marianne. Publicité Vous allez vous revoir avec Célia ? Forcément ! J'ai prévu de débarquer à Miami pour faire la fête et du contenu avec elle. On a été ensemble dans «Secret Story», on sera pareil dehors, et même dix fois plus ! J'ai gagné une amitié pour la vie, c'est ma meilleure amie de l'aventure et je remercie la production de l'avoir mise sur mon chemin. Je sais qu'on ira loin toutes les deux. Des projets pour la suite ? J'ai eu Célia hier au téléphone, on a parlé de création de contenu. On est pareilles dans la vie, on fait un peu les mêmes choses, on aime les mêmes choses. Travailler toutes les deux, ça ne peut être qu'une force et rendre fier le public qui nous a soutenues, nous siamoises de l'aventure. On va tellement aimer et rigoler qu'on ne va même pas se dire que c'est du travail. Avant de faire l'émission, je comptais déjà aller à Miami en septembre. Quand j'en ai parlé avec Célia, elle était choquée (elle y vit également). Mon emménagement à Miami n'est pas impensable ! Pourriez-vous refaire de la télé-réalité ? Publicité Tout dépend du programme. Tout ce qui est amour ne m'intéresse pas. Si j'avais voulu trouver l'amour, je serais allée à la plage. Je pourrais refaire une télé-réalité si c'est un jeu. C'est ce qui m'intéresse énormément. Peut-être que vous me reverrez sur vos écrans, pour le plus grand bonheur des personnes qui me suivent, et pour le plus grand malheur de ceux qui ne m'aiment pas forcément.


Le HuffPost France
a minute ago
- Le HuffPost France
Moins de sexe, plus de harcèlement ? La téléréalité change, les mots qu'on met dessus aussi
TÉLÉVISION - Opération Séduction, L'île de la tentation, Secret Story Nice People et bien avant cela Loft Story … Pour toute une génération de téléspectateurs français, l'été a longtemps rimé avec téléréalité, important dans les foyers ce qu'il faut d'embrouilles et de stratégies, mais aussi de frivolités et d'amusement, entre amis ou… amants. Loana et Jean-Édouard, mais aussi Cyril et Alexandra, ou encore les infidélités de Brandon : qu'il s'agisse d'une émission de dating ou d'enfermement, les ébats sexuels des candidats ont fait les choux gras des programmes, avec tout ce que cela suppose de sexiste ou controversé. Quid de la téléréalité d'aujourd'hui ? La « Love Room » a été rasée de la Maison des secrets sur TF1. Et l'amour (tout court) de la Star Academy, dont les candidats (souvent très jeunes) sont bien plus intéressés - sans doute à juste titre - par leurs progrès en chant qu'à roucouler ensemble. Assistons-nous à un changement de paradigme ? Pour y répondre, nous avons posé la question à la sociologue des médias Nathalie Nadaud-Albertini, spécialiste de la téléréalité. Nathalie Nadaud-Albertini : Ça dépend. Si vous prenez la Star Academy aujourd'hui, il n'y a pas de sexe. C'est axé sur la formation, le chant et les performances. Alors que dans les premières moutures, les relations amoureuses entre les candidats étaient plus montrées. Ça faisait partie de l'identité de l'émission. Dans La villa des cœurs brisés, on continue de parler des relations affectives. On peut voir, par exemple, des candidats dire qu'ils ne sont pas monogames, et observer la relation se déployer (ou non). La relation sexuelle n'est, elle, pas vraiment mentionnée, ou seulement dans un cadre très respectueux, comme lorsqu'on entend dire les candidats qu'ils vont faire « dodo » ensemble. Ça sonne presque enfantin, contrairement à ce qu'on peut voir dans Frenchie Shore, dont les images sont à peine floutées ? Dans le concept même, il y a l'idée d'expérimenter différentes sexualités avec le buzz qui s'ensuit. Et de le faire de façon décomplexée. L'émission est diffusée en streaming sur Paramount +. Cela a-t-il une influence sur ce qu'on peut y voir ? Absolument. Parce que c'est un endroit qui n'a pas d'accès public, cela permet de proposer un autre genre de programme. Il faut payer, après quoi les gens sont libres de regarder s'ils le veulent. Le point d'achoppement, ici, est que certaines images du Frenchie Shore ont circulé sur les réseaux sociaux. Ce qui a ainsi posé la question de leur accès, notamment lors de débats à l'Assemblée nationale. Quelle place la sexualité des candidats occupait-elle auparavant dans ces émissions ? La sexualité s'intégrait comme une étape dans la relation amoureuse ou affective entre deux candidats, dont on suivait comment elle se déployait : la séduction, le moment des rapports sexuels, comment ça se passait après, les disputes, etc. Rappelons-le, ces émissions fonctionnaient sur les relations d'amitié, d'amour et d'inimitié. Aussi, tout dépendait des émissions. Prenons Le Bachelor. Il n'y avait aucune relation sexuelle, car on était simplement sur le sujet de la séduction, avec toute la question sexiste qu'elle pouvait induire. Dans L'île de la tentation, la sexualité était beaucoup plus mise en avant, mais elle racontait quelque chose d'autre. La question était de savoir à partir de quel moment on franchissait la limite, à partir de quand on devenait infidèle. Était-ce un baiser, le fait d'en avoir envie ou la relation en tant que telle ? Secret Story, qui bat son plein actuellement, s'est pour sa part débarrassé d'une pièce mythique de sa maison : la « Love Room » … La maison de Secret Story est comme une grande boîte à secrets. On découvre tout au long de la saison un tas de pièces. La « Love Room », c'était le cocon d'amour pour les candidats en couple. C'était un gros enjeu pour eux, une façon d'avoir de l'intimité. C'était une récompense, un événement. Pour les autres, il leur restait les dortoirs, dont les téléspectateurs ne loupaient rien de jour comme de nuit, grâce (ou à cause) des caméras infrarouges. Elles ont elles aussi disparu, non ? Je n'ai pas d'images qui m'en viennent aujourd'hui, contrairement à avant. Dans Secret Story, ces séquences (sous la couette) étaient diffusées dans « Mister Secret » (un magnéto phare des moments absurdes ou coquins de la semaine, ndlr). Ça montrait un tas de choses. Les défauts étaient amplifiés, un peu ridiculisés. Maintenant, il y a plus de respect. Toutes proportions gardées, il y a une tendance générale à davantage de bienveillance, qui exclut ce genre de moqueries. On ne pourrait plus aujourd'hui montrer les « Inoubliables » de la Nouvelle star (séquence anciennement dédiée aux casseroles du programme, ndlr). Aujourd'hui, c'est très gentil, comme on peut le voir avec le « Star Ac Mix ». C'est une moquerie gentille. On rit avec eux, et pas d'eux. Fini le voyeurisme, donc ? Le voyeurisme faisait partie des promesses du genre au lancement de Loft Story, qui grâce à ses 26 caméras allumées jour et nuit promettait de « ne rien perdre des nuits tranquilles des habitants ». La relation sexuelle entre Loana et Jean Édouard, avec l'ambiguïté d'où elle s'est déroulée, a rapidement ancré le programme dans le succès et donné son identité au genre : montrer la sexualité sans trop se cacher. L'idée était de filmer des gens tels qu'ils étaient dans cette volonté de forte proximité avec la vie réelle. John de Mol, qu'on considère comme l'inventeur de la téléréalité moderne, a raconté s'être notamment inspiré de ce qu'on peut voir dans le quartier rouge d'Amsterdam. C'est ce que le sociologue François Jost a appelé le genre authentifiant. Vous parlez au passé. Les choses ont changé ? Les formats revendiquent aujourd'hui davantage une part de fiction, comme en témoignent les intitulés de certains programmes de série-réalité ou de docufiction. Certains candidats ne s'en cachent pas d'ailleurs, et ont déjà dit par le passé avoir joué ou rejoué plusieurs fois des scènes. Quant aux caméras, parce qu'elles moins besoin de représenter le réel, elles sont aussi moins nombreuses. Faire de la fiction permet-il de mettre à l'abris des critiques ? Certaines critiques d'antan contre ce genre de programmes, oui. À savoir le voyeurisme ou le sadisme, notamment dans le fait de mettre en place des espaces complètement régressifs et dangereux pour les candidats aux yeux de leurs proches. À l'époque, la téléréalité marquait une rupture avec l'espace public tel qu'il était défini par l'universalisme (courant philosophique républicain visant à attribuer à tous les citoyens d'une même nation des règles et valeurs communes malgré leurs différences culturelles, ndlr). Tout ce qui relevait de l'intimité et du féminin, ça ne se montrait pas (dans l'opinion publique). Ce qui en a insurgé plus d'un au début. Aujourd'hui, on s'insurge d'un autre aspect : le harcèlement des candidats, qu'il se déroule à l'intérieur entre les participants ou à l'extérieur par le public (comme dans le cas d'Ebony de la Star Ac, ou Marianne de Secret Story). Est-ce bien nouveau ? Ça existait déjà, mais on ne le reconnaissait pas comme tel. Comme dans le cadre des violences sexuelles, on nous disait que ce n'était pas ça le vrai problème. Ça existait, mais on n'en parlait pas. Le harcèlement, on l'évoquait quand certains candidats se suicidaient. Mais on considérait surtout que ce genre de drames rentrait dans ce qu'on appelait le « trash » de la téléréalité, sans mettre les vrais mots sur le phénomène. C'était très difficile de les poser. Désormais, on dénonce le harcèlement comme étant inadmissible. On le considère. C'est un changement fondamental. On en parle de la bonne façon, c'est relayé dans la presse. Les téléspectateurs se mobilisent pour dire « non », même si au niveau des productions, c'est plus variable. Parfois elles réagissent, comme l'illustre l'exclusion d'un candidat de la saison 8 de La Villa pour des propos sexistes. Avant, on cachait la poussière sous le tapis.


Le Parisien
31 minutes ago
- Le Parisien
« Elle veut son doublé, je vais la Désiré Doué » : Booba dévoile un morceau en hommage au joueur du PSG
Peut-être encore inconnu auprès d'un public peu sensible au football, Désiré Doué a connu une saison faste qui l'a mené à l'équipe de France et il a même atteint des records de popularité auprès des sportifs en remportant la Ligue des champions avec le PSG, le 31 mai dernier. Une victoire espérée depuis longtemps par les supporters de l'équipe de football parisienne, dont fait partie le rappeur Booba, qui vient de dédier un titre au jeune joueur. Ce jeudi, l'artiste a tenu à rendre hommage à sa manière à Désiré Doué, en dévoilant le morceau « DD » en featuring avec Benash. Au-delà des initiales de l'attaquant, Booba mentionne son prénom et son nom à plusieurs reprises tout au long de son titre, qui dure 2 minutes 50. « Je ne vais pas la quitter, je vais la tromper, elle veut son doublé, je vais la Désiré Doué. Je ne vais pas la quitter, je vais la tromper, elle veut son doublé, je vais la Désiré Doué », répète ainsi le rappeur originaire de banlieue parisienne. Il mentionne également dans « DD » un autre joueur du PSG, le Portugais Vitinha, en utilisant son surnom pour énoncer cette comparaison : « Je te laisse à terre comme Vitinha ». L'admiration de Booba pour Désiré Doué semble réciproque, puisque le sportif de 20 ans avait choisi « Dolce Camara », un titre du duc de Boulogne, pour entrer sur la pelouse du Parc des Princes au moment de célébrer le sacre du PSG en Ligue des champions. Booba n'est pas le seul à avoir célébré les architectes de la victoire du PSG. Seulement quelques heures après la fin de la finale qui opposait le club parisien au club italien de l'Inter Milan (5-0), DJ Snake et Niska avaient mis en ligne un morceau intitulé « PSG Boyz Freestyle » .