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Ninja SLUSHi : incroyable mais vrai, elle est en promo grâce à cette astuce

Ninja SLUSHi : incroyable mais vrai, elle est en promo grâce à cette astuce

Le Parisien08-07-2025
Envisageant aujourd'hui de métamorphoser votre cuisine ou votre kitchenette en repaire gourmand estival et désirant profiter en solo ou avec vos amis de délicieuses glaces, boissons glacées et autres préparations glacées, vous envisagez aujourd'hui de vous offrir une machine à glace et une fabrique à granités et boissons glacées ? Ultrapopulaire sur TikTok et Instagram et appréciés des gourmands en quête de rafraîchissements savoureux, la machine à glaces Ninja CREAMi et la machine à boissons glacées Ninja SLUSHi vous permettront de confectionner quasi-instantanément crèmes glacées, sorbets, yaourts glacés, milkshake, frappés, granités, cocktail givrés et autres desserts et boissons glacés. Et, comme toujours avec les produits Ninja, si vous résidez en Corse ou en France métropolitaine, vous profiterez de la livraison gratuite de votre commande en 24 h. Vous pourrez même payer votre appareil en 3 fois sans frais si vous le souhaitez. Profitez vite de cette remise pour acquérir
ce pack incluant la machine à glaces Ninja CREAMi et la fabrique à boissons glacées Ninja SLUSHi au prix de 529,99 euros contre 569,99 euros d'ordinaire.
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vous permettra de bénéficier de :
Pratique et intuitive,
votre machine à boissons glacées Ninja SLUSHi
vous permettra de transformer vos breuvages favoris en rafraîchissements glacés, sans mixage ni ajout de glaçons, et, de fait, sans dilution. Ainsi, vous pourrez être certain de vous délecter de boissons glacées savoureuses, bien différentes de celles que vous réalisiez jusqu'à lors au blender. Équipée de la technologie Rapid Chill et d'un compresseur WhisperChill, votre machine à boissons glacées Ninja vous permettra de créer silencieusement en moins de 30 minutes de délicieux granités, puis de profiter de jusqu'à 12 h de dégustation. Quant aux amateurs de crèmes glacées, sorbets et autres délices rafraîchissants, ils trouveront également leur compte avec la machine à glaces CREAMi, leur permettant de créer facilement dans leur cuisine jusqu'à 1,4 l de glace en simultané. Grâce à sa conception intuitive, préparer les desserts et breuvages givrés de votre choix sera d'une simplicité enfantine, une fois votre base congelée. Il vous suffira de sélectionner le type de préparation désiré à l'aide du bouton molette unique et d'appuyer sur celui-ci pour lancer la confection.
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«Le techno-optimisme est devenu une religion, avec ses grands-messes, ses gourous et ses oracles»
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Réservé aux abonnés ENTRETIEN - L'ingénieur Philippe Bihouix publie, chez Gallimard, un tract dans lequel il critique vivement les «prophètes du progrès» qui présentent les innovations technologiques comme l'unique solution à la crise climatique. Selon lui, ce narratif répond surtout à une crise de sens dans les sociétés occidentales. *Ingénieur et essayiste, Philippe Bihouix vient de publier L'insoutenable abondance: faut-il croire les prophètes du progrès ? (Gallimard, 2025, 61 p., 3,90€). À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié LE FIGARO. - Vous critiquez les «techno-illusionnistes», ceux qui pensent que le progrès technologique nous sortira des impasses climatique et économique. Pourquoi ? Philippe BIHOUIX. - Cette croyance repose sur une vision partiellement sincère, mais souvent intéressée. D'un côté, certains sont convaincus que la science trouvera des solutions miracles pour «sauver la planète». De l'autre, il y a une logique économique : les promesses technologiques attirent des capitaux, notamment dans l'écosystème des start-ups. On nous vend une «croissance verte», une industrie circulaire, moins polluante, avec moins d'extractions de ressources et d'externalités négatives. Plus récemment, s'est même ajoutée une logique de «rédemption» : non seulement limiter les émissions, mais aussi réparer les dégâts. Des dizaines de start-ups…

Bac : Nina, lycéenne accusée de triche à l'IA et victime d'une erreur de convocation, a obtenu son diplôme
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Bac : Nina, lycéenne accusée de triche à l'IA et victime d'une erreur de convocation, a obtenu son diplôme

ÉDUCATION NATIONALE - Le 4 juillet, Nina Viriot aurait dû, comme tout autre élève de terminale, consulter les résultats du baccalauréat. Ce ne fut pas le cas en raison d'une suspicion de triche visant cette étudiante de 18 ans. Elle lançait alors malgré elle un feuilleton qui s'est finalement terminé lundi 21 juillet après plus de deux semaines d'angoisse et de combat. Comme le rapporte Le Parisien ce mardi 22 juillet, l'adolescente a finalement obtenu son bac avec la mention « assez bien ». Mais elle a surtout été lavée de tout soupçon dans cette affaire déclenchée par un correcteur, qui accusait Nina d'avoir eu recours à l'intelligence artificielle pour rédiger sa copie de philosophie. Celle-ci a finalement hérité d'une note de 18/20. Lire aussi Bac 2024 : l'IA utilisée par un candidat au bac philo ? Il est convoqué devant une commission de discipline Pour l'élève, tout a commencé le 3 juillet lorsqu'un « procès-verbal de suspicion de fraude » a été établi contre elle, après son passage de l'épreuve de philo le 16 juin. Après cette accusation initiale, Nina et sa mère Emmanuelle Viriot ont ensuite reçu le 21 juillet une convocation indiquant l'ouverture d'une procédure de poursuite devant la commission académique de discipline avec une date d'audience, fixée au 22 août. Avec surtout un risque d'interdiction de passage de tout examen pendant cinq ans, y compris le permis de conduire. « Je m'attendais à cette convocation, donc je n'étais pas vraiment surprise. Mais ce qui s'est passé ensuite est assez dingue », glisse la mère de Nina au Parisien. Car après la réception de cette convocation lundi vers 17h30, Nina a obtenu - une heure plus tard - une rectification, expliquant que cette convocation avait été envoyée par erreur : « la rectrice de Paris avait décidé de ne pas poursuivre votre fille pour fraude. Une erreur de saisie a entraîné l'émission d'une convocation », est-il notamment précisé dans le nouveau courriel. « La convocation que vous avez reçue n'aurait pas dû vous être adressée », est-il encore écrit. Fin du calvaire Soulagée, la maman de Nina évoque des « montagnes russes émotionnelles », mais nuance quand même ce revirement de situation. « Je ne suis pas bête, et je suis convaincue que la pression médiatique et le fait d'avoir témoigné à visage découvert ont fait bouger le dossier de Nina », affirme la mère de famille, qui a médiatisé l'affaire en défendant l'honneur de sa fille dans les colonnes du Parisien. Mais comment la jeune fille a-t-elle pu se retrouver dans une telle situation, au point d'être accusée de triche à l' IA? Comme l'explique le journal, Nina souffre d'un trouble de l'attention, ce qui entraîne chez elle un temps de rédaction plus lent. Par conséquent, elle disposait pour le bac d'un Plan d'accompagnement personnalisé et d'un tiers-temps. Ces aménagements ont donc conduit la jeune fille à écrire à l'aide d'un ordinateur, qui était privé de toute connexion internet et dépourvu d'accès à des fichiers personnels. « Lundi en fin de journée, après s'être penchée sur son profil d'élève, et avoir étudié son livret scolaire et ses notes du bac », la rectrice de Paris a donc révisé la décision initiale prise contre Nina, comme le rapporte le rectorat au Parisien. Mais sans éclaircir pour autant l'imbroglio autour du mail l'informant de sa convocation, suivi d'un deuxième mail évoquant une « erreur ». Pour Nina et sa maman, c'est donc la fin de plusieurs semaines d'angoisses à propos de l'avenir de la future étudiante, privée par cette procédure et par l'absence de ses résultats de validation de ses choix sur Parcoursup. Désormais innocentée et titulaire du baccalauréat, il ne lui reste plus qu'à se projeter sur la suite. Peut-être des études dans une école d'ingénieurs du son, comme le confie Emmanuelle Viriot, qui a toujours cru en l'honnête de sa fille. En même temps, il y avait de quoi avec 16 de moyenne en philo au deuxième trimestre.

Une lycéenne soupçonnée de triche à l'IA obtient finalement son bac
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Une lycéenne soupçonnée de triche à l'IA obtient finalement son bac

Une «erreur de saisie», affirme l'administration. C'est ce qui a conduit Nina Viriot à être accusée à tort de triche avec l'intelligence artificielle, lors de l'épreuve de philosophie du bac le 16 juin dernier. La lycéenne de 18 ans a finalement obtenu son bac avec mention assez bien, après plusieurs semaines d'incertitude avant le verdict final. Le cauchemar avait commencé le 3 juillet dernier, veille de publication des résultats de l'examen. Nina reçoit alors un message sur sa boîte mail qui l'informe qu'un «procès-verbal de suspicion de fraude» a été établi à son encontre. En attendant, elle n'a pas accès à son relevé de notes, ni au rattrapage. Et celle qui souhaite intégrer une école pour devenir ingénieure du son ne peut pas non plus valider sur Parcoursup son inscription dans l'établissement. En cause, une suspicion sur sa copie, alors qu'elle raconte avoir pourtant obtenu la note de 18 sur 20 dans cette matière. De plus, son livret scolaire ainsi que son comportement ne laissaient présager aucun signe de tricherie. Une «erreur» selon le rectorat Ce mardi, c'est pourtant un renversement total de la situation qui s'est produit. Selon les informations du Parisien, la convocation disciplinaire a en réalité été envoyée par erreur. C'est ce qu'affirme le Service des examens dans un courrier officiel envoyé à la mère de la candidate, où l'on peut lire : «Après vérification dans notre système d'information, la convocation que vous avez reçue n'aurait pas dû vous être adressée. En effet, la rectrice de Paris avait décidé de ne pas poursuivre votre fille pour fraude. Une erreur de saisie a entraîné l'émission d'une convocation». Un immense soulagement pour la famille de Nina, en particulier sa mère, qui affirme que «c'était les montagnes russes émotionnelles». La jeune fille souffre d'un trouble de l'attention et bénéficie donc d'un PAP (Plan d'Accompagnement Personnalisé). Il lui permet non seulement d'avoir un tiers-temps supplémentaire lors des épreuves, mais aussi de rédiger ses copies sur un ordinateur non connecté à Internet et vide de tout fichier personnel. Quant au rectorat de Paris, il a par ailleurs confirmé avoir pris la décision de ne pas poursuivre la jeune fille «lundi en fin de journée, après s'être penché sur son profil d'élève, et avoir étudié son livret scolaire et ses notes du bac». Pour ce qui est du double envoi de mail, le rectorat pointe une «erreur» émanant de la Maison des examens.

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