Ozzy Osbourne : les causes de sa mort précisées
Le légendaire chanteur de Black Sabbath souffrait de la maladie de Parkinson et d'une maladie coronarienne. Il s'est éteint le 22 juillet à l'âge de 76 ans. Le certificat officiel, déposé par sa fille Aimée Osbourne auprès d'un registre à Londres, précise que l'artiste souffrait d'un infarctus aigu du myocarde et d'un dysfonctionnement autonome lié à la maladie de Parkinson.
« Cloué au lit pendant six ans »
Le chanteur britannique, icône du heavy metal et star de la téléréalité, s'est éteint le 22 juillet à son domicile près de Chalfont St. Giles, dans le Buckinghamshire (Angleterre). Ce jour-là, la famille d'Osbourne avait annoncé sa mort sans en préciser la cause.
Le 5 juillet, Ozzy Osbourne avait donné un dernier concert à Birmingham, sa ville natale. Sur scène, il avait évoqué sa longue convalescence : « J'ai été cloué au lit pendant six ans », avait-il lancé à la foule, avant d'ajouter : « Merci du fond du cœur. »
À lire aussi Ozzy Osbourne : les 5 albums qu'il faut écouter
À voir aussi
Hashtags
Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes
Le Figaro
5 hours ago
- Le Figaro
«C'est une histoire de famille» : un festival traditionnel équestre inédit organisé près de Bordeaux
Un grand-père, sa fille et sa petite-fille ont décidé de créer un festival inspiré d'une célèbre fête équestre portugaise. La première édition des Cavalcades de Saint-Macaire se tiendra au pied des remparts de la cité médiévale, du vendredi 22 et dimanche 24 août. L'événement se tiendra au pied des murailles de la cité médiévale de Saint-Macaire, dont l'esplanade se jette dans la Garonne. Trois Girondins, passionnés d'équitation, ont décidé d'organiser un festival équestre du vendredi 22 août au dimanche 24 août. Inspirée de la Feira de Golegã, une foire équestre mondialement connue qui se déroule dans la ville éponyme au Portugal, ce nouveau festival, très français, a été baptisé les Cavalcades de Saint-Macaire. «C'est une histoire de famille», explique d'emblée Maud Le Grix de la Salle, qui coorganise l'événement avec sa mère, Catherine Maud Le Grix de la Salle, et son grand-père, Alain de Chefdebien. «Nous avons découvert la tradition autour du cheval à la Feira de Golegã où mon grand-père nous a emmenées très jeune. Cela nous a donné envie de créer une fête qui célèbre la tradition française équestre», complète-t-elle. Venir à cheval Durant Les Cavalcades de Saint-Macaire, qui doivent se dérouler sur trois jours, des démonstrations de dressage, d'équitation en amazone ou encore de sauts d'obstacles seront proposés au public. Ce festival a aussi une particularité : les cavaliers sont invités à se rendre et à participer à l'événement à cheval. Les inscriptions, ouvertes jusqu'au 10 août, leur permettront de participer à plusieurs jeux équestres tandis que les piétons se verront proposer des balades en calèches, des promenades à poneys, un concours de jeté de fers à chevaux ou encore un puzzle géant. Publicité Créées et pensées pour offrir de joyeux moments en famille, Les Cavalcades de Saint-Macaire organisent également deux spectacles nocturnes que les amateurs pourront regarder en tribune ou version cabaret - accompagné d'un dîner VIP cuisiné sous la direction de Laurent Lapierre. En parallèle, artistes et artisans du monde équestre présenteront sur leurs étals tableaux, objets et équipements à vendre. Le tarif d'entrée de la foire est fixé à 15 euros pour les adultes et 10 euros pour les enfants à partir de 5 ans. Il faudra débourser 20 euros pour assister au spectacle équestre en tribune. Des tarifs destinés à couvrir les faits logistiques de l'association. «Le but n'est pas de gagner de l'argent. Nous souhaitons que les familles passent un beau moment et partager notre passion du cheval», insiste Maud Le Grix de la Salle.
Le Figaro
7 hours ago
- Le Figaro
Salades colorées et citrons givrés : les vacances de Jazmin Grimaldi, la fille d'Albert de Monaco, sur la Côte d'Azur
Sous le soleil du sud de la France, Jazmin Grimaldi profite de ses vacances d'été. La fille du prince Albert II de Monaco a partagé plusieurs photos de son séjour. Mer et soleil, que demander de plus ? Pour Jazmin Grimaldi, rien. La fille du prince Albert II de Monaco et de Tamara Jean Rotolo, née hors mariage, a partagé sur Instagram plusieurs photos de ses vacances dans le sud de la France. En effet, alors qu'elle passe presque tout son temps à Monaco ces derniers mois, la jeune femme de 33 ans a décidé de délaisser le Rocher, pendant un temps, pour explorer la Côte d'Azur. C'est donc sous la chaleur d'Antibes qu'elle a d'abord posé ses valises, rapport l'édition belge de Paris Match. Sur les clichés qu'elle a publiés, Jazmin Grimaldi profite du restaurant d'une plage privée pour déguster un bon repas fait de salades fraîches et colorées, et de citrons givrés. En maillot de bain, la fille du prince Albert II a aussi profité d'un instant baignade dans la mer Méditerranée. En légende de sa publication, elle a ajouté des émojis citron et vague, un résumé parfait de ce séjour azuréen. À lire aussi Jazmin Grimaldi, la fille d'Albert de Monaco, se produit dans un club de jazz new-yorkais Publicité Un été surprenant Alors qu'elle a le sourire aux lèvres sur les photos de vacances qu'elle a partagées, ce n'était pas forcément le cas au début de l'été. En juillet dernier, elle avait publié plusieurs clichés de ses premières semaines de pause estivale sur Instagram. Alors que le carrousel débute avec des clichés d'elle en train de rire au mariage de deux de ses amis, elle ajoute aussi quelques images de l'enterrement d'Eddie Jordan, son ami et homme d'affaires irlandais, décédé le 20 mars 2025 à l'âge de 76 ans. Sur plusieurs vidéos, Jazmin Grimaldi se trouve sur scène en train de chanter lors des obsèques du défunt. «Un début difficile pour célébrer la vie... Deux mariages et un enterrement cet été. Je suis venue ici par amour et je ne m'arrêterai pas», a écrit la fille d'Albert II de Monaco en légende de sa publication. Entre rire et larmes, l'été de Jazmin Grimaldi aura été mouvementé.
Le Parisien
9 hours ago
- Le Parisien
« On n'entend quasiment pas d'oiseaux chanter » : le cri d'alarme d'un étudiant en biologie de la Somme
Enfant, il les répertoriait sur des calepins. Désormais, il les fige en photo. Il a pris des milliers de clichés dans le nord de la France. Il se souvient de tous. Celui d'une bergeronnette printanière aux couleurs grise et jaune, espèce en voie de disparition, posée sur une tige de colza dans un champ a reçu le prix du public lors du dernier Festival de l'oiseau et de la nature, qui s'est déroulé en avril à Abbeville et en baie de Somme.
