Claire's : les magasins de bijoux à petits prix placés en redressement judiciaire en France

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Le Parisien

24 minutes ago

• Le Parisien

Le prix de la machine à glaces Ninja baisse : tout le monde la veut avant que ses stocks disparaissent

La rédaction du Parisien n'a pas participé à la réalisation de cet article. . Si vous avez envie de glaces originales ou si vous avez tout simplement besoin de faire attention aux ingrédients utilisés pour diverses raisons, Cdiscount répond à vos besoins avec la machine à glaces Ninja Creami NC300EU, avec une promotion affichée sur le prix en ce moment. La machine, simple d'utilisation, est livrée avec 3 pots : ces derniers permettent de confectionner jusqu'à 1,4 litres de crème glacée en une seule tournée, avec jusqu'à 3 parfums différents. Pour faire vos glaces avec Ninja Creami, c'est simple : vous mettez votre préparation dans un ou plusieurs bols, vous les placez au congélateur pendant 24 heures, puis vous les installez dans la machine, cette dernière se chargeant alors de brasser les préparations. Savourez des desserts glacés faits maison avec la machine à glaces Ninja Creami : elle est à 196,30 euros au lieu de 249,99 euros sur Cdiscount. Les meilleures offres sur l'électroménager disponibles chez Cdiscount : La machine à glaces Ninja Creami à moins de 197 euros sur Cdiscount La machine à glaces Ninja Creami en promotion sur Cdiscount permet donc de réaliser des glaces, mais pas que : la machine offre en effet pas moins de 6 programmes pour réaliser le dessert de votre choix. Il y a le programme crème glacée, le programme crème glacée allégée, le programme sorbet, le programme smoothie bowls, le programme milkshakes et le programme glace à l'italienne. En plus de ces programmes, notez que la machine possède également une fonction Extras : cette dernière permet d'ajouter des pépites de chocolats, des fruits secs ou encore des morceaux de biscuits à vos préparations. Notez enfin que la pale, qui râpe et brasse en même temps, permet un mélange plus homogène et plus onctueux. Cliquez ici pour profiter de l'offre Cdiscount sur la machine à glaces Ninja Creami Pour une livraison express et gratuite, testez ici gratuitement Cdiscount à volonté

Le Figaro

an hour ago

• Le Figaro

Le secteur privé accentue sa contraction en juillet

L'activité du secteur privé en France a accentué sa contraction en juillet, pénalisée par les services dans un environnement incertain, selon l'indice PMI publié mardi par l'agence S&P Global et la Hamburg Commercial Bank (HCOB). L'indice PMI composite s'est replié à 48,6 en juillet, contre 49,2 en juin, demeurant sous le seuil de 50 démarquant les zones de contraction et d'expansion de l'activité. L'indice composite est une moyenne pondérée de l'indice du secteur manufacturier et de celui des services. «Le secteur privé français a connu un début de second semestre difficile», a commenté Jonas Feldhusen, économiste à la HCOB, cité dans un communiqué. L'économie française a certes enregistré une croissance de 0,3% au deuxième trimestre, supérieure aux prévisions, mais «ce sont principalement les variations de stocks qui ont contribué positivement à son évolution, ce qui soulève des inquiétudes quant à la pérennité de la croissance», a-t-il ajouté. «En outre, la faiblesse des niveaux d'activité et de la confiance au sein des entreprises privées françaises ne laisse guère présager, à court terme, une relance de l'économie», selon lui. Publicité La situation dans les services s'est détériorée en juillet, l'indice se contractant à 48,5, contre 49,6 en juin, la plus forte contraction depuis avril et la onzième d'affilée, attribuable à une faiblesse persistante de la demande. «Selon les entreprises interrogées, des reports de décisions chez les clients ont entravé les ventes au cours du mois, cet attentisme reflétant très probablement le climat d'incertitude politique régnant en France ainsi que l'impact des tensions géopolitiques sur le commerce mondial», a expliqué Jonas Feldhusen. L'emploi a reculé et les quelque 400 entreprises de services interrogées se sont dites moins optimistes quant à leurs perspectives d'activité à douze mois, 24% d'entre elles anticipant une hausse d'activité alors que 23% s'attendent à une baisse. Concernant les prix, l'inflation a affiché une «relative stabilité», selon le communiqué. Déjà publié vendredi, l'indice PMI du secteur manufacturier a quasi stagné en juillet à 48,2, affecté par le recul des nouvelles commandes.

Le Figaro

an hour ago

• Le Figaro

Ni vraiment rosé, ni vraiment rouge : pourquoi ce vin léger emblématique du sud de la France a tout pour séduire

Longtemps boudé par les palais français au profit de rosés plus pâles, le tavel, célèbre vin gardois, opère un retour en grâce. «Can't I order a light red, please ?» (Puis-je avoir un verre de vin rouge léger, s'il vous plaît ?). Cette requête, formulée par une cliente américaine attablée en terrasse du Clown Bar, restaurant assez porté sur la cause bachique du 11e arrondissement parisien, ne surprend plus le sommelier officiant sur les lieux. Il s'exécute sans broncher, versant délicatement un vin que les connaisseurs identifient aussitôt grâce à la salamandre sur son logo : L'Anglore. Incarnation de l'excellence de l'appellation Tavel depuis plus de vingt ans, le domaine de la famille Pfifferling est une locomotive. Il entraîne dans son sillage une nouvelle génération de vignerons, désireuse de redonner ses lettres de noblesse à ce cru méconnu en France. À découvrir Découvrez toutes les dates des foires aux vins d'automne 2025 Des vignes complantées, une couleur soutenue, des tanins digestes et une bouche fraîche : nul doute, vous dégustez un tavel. Ce cru inclassable de la vallée du Rhône méridionale possède un atout majeur pour répondre aux attentes des consommateurs en quête d'authenticité. Alors que le secteur de la restauration, confronté à une baisse du pouvoir d'achat et aux difficultés de réservation, mise sur le tourisme, la clientèle américaine représente une manne inépuisable. Selon le Comité régional du tourisme, pas moins de 2,5 millions d'Américains ont arpenté les rues de la capitale en 2022, générant plus de 533 millions d'euros de recettes pour la même année. Curieux et ouverts d'esprit, ces visiteurs n'hésitent pas un instant à suivre les conseils éclairés d'un sommelier. Publicité Rosé foncé ou rouge léger ? Le dilemme de Tavel Le slogan «1er rosé de France», fièrement affiché sur le toit de la cave coopérative à l'entrée du village de Tavel, est aujourd'hui au cœur d'un débat houleux. Le tavel est-il vraiment un rosé ? Tandis que les Côtes de Provence s'appuient sur des ambassadeurs de choix comme Brad Pitt et Angelina Jolie, Tavel ne peut jouer dans la même catégorie médiatique. Pour Florian André du château de Manissy et Thibault Pfifferling de L'Anglore, la réponse est claire : «Le tavel est un clairet, comme on en produit à Bordeaux . Un vin rouge de macération tendre et fruité.» Cette distinction est cruciale pour repositionner ce vin unique. Fraîchement élu en avril, Julien Courdesse, le nouveau président de l'appellation, est conscient de la tâche colossale qui l'attend. Il lui faut réconcilier les «gros faiseurs» qui vendent en grande distribution et les vignerons soucieux de la qualité. L'inquiétude est palpable. Jean-Baptiste Lafond a même entendu, lors d'une récente réunion syndicale, certains vignerons envisager de «réduire la couleur du tavel avec du charbon actif…» Une démarche qui en dit long sur les tensions existantes au sein de l'appellation. Gaël Petit, qui produit aujourd'hui l'un des vins les plus fins de Tavel, abonde dans ce sens : «Au cours de la décennie 90, Tavel a oublié comment faire du vin, l'œnologie a pris le pas sur la viticulture», déplore-t-il. «Ne plus être vus comme des ovnis» Florian André, vigneron, se veut cependant plus rassurant. «Grâce à nos échanges avec Éric, Thibault, Alexandre (domaine Alexandre Hote) et le travail accompli dans nos vignes, nous souhaitons inverser la tendance et ne plus être vus comme des ovnis. La balle est dans le camp des vignerons tavelois.» Le tavel est avant tout un vin de gastronomie, capable de s'accorder avec un repas entier, soit un argument de poids pour les puristes. Pour reconquérir le palais des Français, souvent habitués aux rosés translucides, il faut se plonger dans l'histoire. Au début du siècle dernier, Paul Ramain, docteur et scientifique plus connu pour ses travaux dans le cinéma, nourrissait une passion dévorante pour le vin et la gastronomie. Dans son livre Les Grands vins de France publié en 1931, il décrit avec précision les caractéristiques des vins de Tavel. Extraits choisis : «Les vins de Tavel sont des vins lumineux distingués, ce sont d'excellents vins de rôtis, délicats à l'estomac.» Il poursuit : «Vins nerveux d'une belle couleur hématurique, le tavel est un rosé foncé généreux et limpide.» À lire aussi «La chance de Tavel aujourd'hui, c'est peut-être d'être au plus bas» : le vigneron Gaël Petit appelle à un renouveau de l'appellation «N'est-ce pas formidable ?», interroge Éric Pfifferling, le sourire en coin. L'homme qui a fait le choix audacieux de quitter la cave coopérative au début des années 2000 pour créer son propre domaine s'inscrit dans une démarche d'artisan consciencieux. Avec le temps, il est parvenu à fédérer autour de cette vision des vignerons tels que Gaël Petit, Florian André, les frères Lafond et Ambre Delorme. Ensemble, ils œuvrent à redonner au cru toute sa noblesse et sa place parmi les grands vins de France, espérant que les palais français suivront bientôt l'exemple américain. Et qu'eux aussi, en terrasse, commanderont bientôt un «light red» du nom de Tavel.