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Défilé - Imane ayissi - Couture Automne-Hiver 25-26
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Publié il y a 53 min
Défilé - Patou - Prêt à porter Printemps-Eté 2026
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L'Équipe
44 minutes ago
- L'Équipe
Bateau cassé sur le port, lourdes dettes, et bataille judiciaire : le rêve brisé d'un marin qui s'imaginait sur le Vendée Globe
Grand aventurier, 33e de la Route du Rhum en 2022, Nicolas Rouger s'est endetté pour acquérir un monocoque et se lancer dans le célèbre tour du monde à la voile. Mais son bateau s'est cassé sur le port, le laissant aux prises avec ses banquiers... Boum ! Boum ! Boum ! Pour engranger quelques sous, et peut-être aussi pour expurger sa rage, il tape à la masse sur des murs, dans un quartier marseillais en réfection, ce qui ne manque pas. Nicolas Rouger n'est plus qu'un marin à terre. Il fait dans la déconstruction de bâtiment avant d'espérer reconstruire son bateau. « Cent balles par jour ». Ce qui ne suffira jamais à combler les dizaines de milliers d'euros qui lui font défaut. Disons alors qu'il assure sa pitance et celle de sa pré ado de fille. Quand il reprend son souffle et s'éponge, c'est pour parler en s'abstenant de points, phrasé à la Richard Bohringer, révolté qui veut vous emporter dans sa conviction : « Si j'avais coulé en mer, j'aurais pris mes responsabilités, j'aurais assumé, c'est comme si j'avais laissé ma bagnole chez le garagiste, qu'on me dit mets-la là, qu'elle se retrouve cassée, inutilisable et que c'est de ma faute, alors que j'y suis pour rien... » Son bateau ne s'est pas perdu en mer, dans un triangle atlantique ou autre. Il est tombé sur un quai, port des Corbières, port privé en rivage des quartiers nord où s'apponte la plupart de la plaisance marseillaise en bermuda et polos blancs. Un monocoque acheté à crédit 345 000 euros Skipper, plutôt amateur, homme carrément volontariste, Nicolas Rouger se projetait au départ du Vendée Globe 2024. Il avait acheté à crédit pour 345 000 euros un vaillant monocoque, 6 tonnes, 18,28 mètres, ayant déjà beaucoup navigué et l'avait rebaptisé « C'est déjà demain », clin d'oeil à un refrain de ses potes d'IAM. Pour faire beau, il avait invité les petits personnages colorés et tous fous de l'artiste Hervé Di Rosa à décorer les 220 m2 de la grand-voile. Avec l'été 2022, et après une honnête Route du Rhum (33e), était venu le temps de sortir son rêve de l'eau pour quelques heures d'entretien. Nicolas Rouger fait affaire avec Patrice Rossi, patron de Corbières Port Services et de Yachting Levages. On ne signe pas de contrat, on se tape dans la main, on réglera ça après. Une grue sort le bateau de l'eau le 28 juin et le dépose sur un ber posé sur le quai. Un coup de vent, pas si exceptionnel, renverse le tout le 5 août. Boum, badaboum. Si c'était autre chose qu'un bateau on écrirait qu'un rêve est tombé à l'eau. La coque est fendue. Rouger n'a pas un budget à douze ou quinze millions comme les gros teams, c'est plutôt dix fois moins. Il fallait dans les 600 000 euros pour colmater la brèche. « J'étais loin de les avoir... » Le Vendée Globe a tracé ses sillages sans le sien. Le marin réclamait 1,6 million d'euros pour ses préjudices Sur le site internet de Port Corbières Marseille, présenté comme « à l'abri des vents dominants » et donc du fougueux Mistral, il était écrit, « gardiennage », et puis, après la chute, le mot a été remplacé par « stationnement ». La facture, arrivée a posteriori, indiquait évidemment « stationnement. » Qui avait la responsabilité du bateau ? L'assurance du marin s'est dite désolée : elle ne considérait que les dégâts au tiers. L'assurance du port s'est vite détachée : elle ne couvrait que les bateaux de course. Fâcheux alinéas. Rouger et Rossi étaient donc face à face et la sauce rouille est montée si vite qu'on s'est retrouvé au tribunal de commerce de Marseille. Rossi est un homme puissant qui oeuvre dans les ports et les carrières et qui raccroche abruptement quand un journaliste essaye poliment de converser avec lui. « C'est comme quand ton restaurant brûle, tu perds ton outil de travail » Nicolas Rouger Le marin réclamait environ 1,6 million d'euros aux sociétés de Rossi, Yachting Levage et Corbières Port Services, pour préjudices matériels, financier, professionnel et moral. « C'est comme quand ton restaurant brûle, tu perds ton outil de travail », résume le skipper. Il toucherait de l'argent, il serait au départ du Vendée 2028, il pensait juste perdre du temps. C'est arrivé à d'autres, par exemple par grand vent d'Ouest, à Marc Lepesqueux, un Cherbourgeois qui a vu trois bateaux tomber comme des quilles par 80 noeuds. L'événement, la tempête Gérard 2023, a tellement mis de bateaux à terre en Normandie et Bretagne que les assurances ont joué : « Ça prend juste beaucoup de temps et faut faire beaucoup de papiers » se fatigue Lepesqueux. « Absence de tout lien contractuel et de toute obligation spécifique de garde » Les magistrats du tribunal des affaires économiques de Marseille, dans un jugement déboutant le navigateur de toutes ses demandes. Derrière la barre, celle de la justice qu'il ne maîtrise guère, où il n'est pas seul maître à bord, Rouger a essayé de ne pas s'empourprer. On a débattu : du ber, fourni par Rouger, qui n'était pas certifié ni ancré au sol ; du bateau orienté perpendiculairement au vent, ce qui n'est sûrement pas la bonne position ; des voiles, affalées mais restées sur le pont, qui auraient contribué à la prise au vent. De la notion de gardiennage et de stationnement. De qui était censé faire quoi. Les juges du tribunal des activités économiques de Marseille ont tranché, concluant à « l'absence de tout lien contractuel et de toute obligation spécifique de garde. » Me Mathieu est, un peu, plus bavard que celui qu'il défend, Patrice Rossi : « Mon client est blanchi de tous griefs, la décision est bien motivée. Étant moi-même ''voileux'', je ne souhaite pas faire de commentaires particuliers par respect pour Monsieur Rouger. » Dans ses écrits l'avocat a évoqué « un défaut de suivi », ce qui énerve prodigieusement Nicolas Rouger. Me Gomme, l'avocate du marin marri, « surprise et frustrée » par la décision, estime que « le tribunal n'a pas été au bout du raisonnement, qu'il n'a pas qualifié la relation juridique existant postérieurement au calage du bateau. Il est resté sur la concession, qui est un espace privé, sans que mon client puisse décider quoi que ce soit. » « Je hais l'injustice. C'est révoltant et dégueulasse » Elle a donc fait appel, espère accélérer le cours habituel de la justice, qui a plutôt le débit d'un ruisselet presque à sec. Voilà comment le grand Nicolas se retrouve le cul posé sur un quai, les jambes se balançant dans le vide, à se demander comment il va se remettre à flot. Sa vie a été une mer agitée. C'est terrible, cruel et captivant. On l'a vu vers Djibouti hélitreuillé d'un yacht visé par des pirates. On l'a vu sur Marseille bien sûr, vendeur de rafiots. On l'a vu patron de bar. « Mais la vie c'est pas boire des coups. » On l'a vu à la masse dans des chantiers donc. On l'a vu sur des grandes montagnes, le Kilimandjaro, l'Elbrouz et l'Aconcagua, puisqu'il veut collectionner les sept sommets des sept continents. « Y en a qui lisent des livres, moi je suis dedans. » On le voit peu à Saint-Laurent du Rhône, où son bateau cassé s'ennuie sur un ber posé face aux vents dominants. « Ça me déchire trop le coeur. » Il évite d'ouvrir le courrier. Car les banques, qui attendaient l'issue du procès, se remettent à être impatientes. Il a déjà vendu deux appartements, qui constituaient son capital retraite, quarantenaire qui a cotisé en pointillé. Il reste à solder 260 000 euros sur le bateau, et 180 000 euros pour là où il habite avec sa fille, simplement pour ne pas avoir le pif sous l'eau. Le bateau est figé mais la dette progresse. « Est-ce que je vais devoir passer ma vie à toucher 2500 balles par mois, à être saisi de partout, à subsister avec 500 par mois ? C'est injuste. Personne n'a le droit de briser tout ce que j'ai construit (...) Je hais l'injustice. C'est révoltant et dégueulasse. » Au plus fort de sa révolte, Nicolas Rouger s'emporte, balance des mots de trop, des accusations pas forcément prouvables. Et puis, invariablement, il sort de ses crises verbales, regarde à nouveau le ciel sans nuages de la Méditerranée, reprend son débit saccadé. « Il faut que je transforme cette colère en détermination, en force, en positif, des moins forts que moi se seraient tiré une balle dans la tête, j'ai jamais été malhonnête, j'étais sûr de gagner le procès, des fois je doute de la justice et puis j'y crois à nouveau, le négatif faut qu'il sorte du cerveau, quand on tombe de cheval faut remonter dessus tout de suite... » À lire aussi Picon : «Dix heures dans le radeau de survie» Pour le PSG, dernier étage avant les nuages Qui est le meilleur poisson-pilote ? Sinner-Alcaraz, la voie royale


Le Parisien
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- Le Parisien
Feu d'artifice du 14 juillet 2025 à Paris : les infos pratiques et conseils pour profiter du spectacle
Paris s'apprête à célébrer la Fête Nationale avec son traditionnel feu d'artifice, tiré depuis la tour Eiffel et les jardins du Trocadéro ce lundi 14 juillet 2025, ce spectacle est un événement à voir au moins une fois dans sa vie, un spectacle pyrotechnique grandiose qui illuminera le ciel de la capitale. Pour que cette soirée soit inoubliable, voici quelques conseils et informations pratiques. 4 grandes séquences et 11 tableaux, un spectacle visuel et sonore : les drones voleront pour la première fois côté Champs de Mars et Trocadéro et envelopperont la tour Eiffel. Cette année, le thème du feu d'artifice du 14 juillet à Paris promet un voyage à travers les couleurs et les émotions. Après les JO en 2024, le feu d'artifice, enrichi par 1 000 drones, mettra en lumière ce lundi deux thèmes importants : l'environnement, pour fêter les 10 ans de l'accord de Paris - COP21, et la culture brésilienne : Paris célébrant pendant six mois en 2025 la Saison Brésil France avec de multiples événements culturels. Le feu d'artifice sera tiré depuis la tour Eiffel et les jardins du Trocadéro le lundi 14 juillet 2025 à partir de 23 heures. Le spectacle durera environ 35 minutes. À quelle heure venir assister au feu d'artifice ? Beaucoup de personnes viennent assister au feu d'artifice mais aussi au concert de musique classique au Champ de mars juste avant, il faut donc venir au moins à partir de 18 heures au Champs de Mars ou au jardin du Trocadéro si vous souhaitez voir dans de bonnes conditions le feu d'artifice du 14 juillet. Plus vous arriverez tard, plus vous serez loin et moins vous verrez mais aussi entendrez moins bien les musiques. Prévoyez un bon pique-nique des jeux, et votre après-midi : l'attente sera récompensée. Plusieurs options s'offrent à vous pour profiter pleinement du feu d'artifice : Le feu d'artifice du 14 juillet à Paris ainsi que le concert seront retransmis en direct sur France 2 dès 21 heures Le concert et la musique du feu d'artifice seront également diffusés en direct sur France Inter.


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Tout le monde ne savait pas parler « le Audiard » : hommage au légendaire dialogiste du cinéma français
Répliques inoubliables, reparties légendaires, expressions mémorables : tout l'été, nous rendons hommage aux dialoguistes qui ont marqué l'histoire du cinéma français. « Attention ! J'ai le glaive vengeur et le bras séculier ! L'aigle va fondre sur la vieille buse !... – Un peu chouette comme métaphore, non ? À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour – C'est pas une métaphore, c'est une périphrase. Publicité – Fais pas chier !... – Ça, c'est une métaphore. » Ainsi était Michel Audiard. Il avait le verbe affûté, un vocabulaire riche. Un classiciste mélangeant la tradition avec une pointe d'argot. Nous parlons d'un lettré : il vénérait Arthur Rimbaud, Antoine Blondin, dont il fut l'ami. Il était fier que l'écrivain ait très apprécié ses dialogues pour Un singe en hiver. Sinon, il aimait Marcel Aymé, Georges Simenon, Jacques Perret, les moralistes, ses amis Alphonse Boudard et René Fallet, et mettait au-dessus de tout Louis-Ferdinand Céline, dont il voulait adapter, d'abord Voyage au bout de la nuit, puis Mort à crédit. Les projets sont tombés à l'eau, heureusement, car les livres de l'écrivain sont inadaptables. Audiard a été réalisateur, scénariste et dialoguiste. Plusieurs générations connaissent par cœur les répliques des Tontons flingueurs, des Barbouzes ou de Ne nous fâchons pas. Ce génie des mots ne saurait être réduit à ces comédies devenues « cultes ». À lire aussi D'Alexandre Dumas à Sergio Leone en passant par Marcel Pagnol, cette vogue de la trilogie qui perdure au cinéma Un talent méconnu Audiard écrivait avant tout pour les acteurs. Il avait ses premiers violons : Gabin (« une machine à dialogues »), Ventura, Blier, Serrault. Pour eux, il a trouvé des répliques grandioses dans des comédies ou des films noirs – Le cave se rebiffe, le film dont il était le plus fier –, avant de passer à la réalisation avec ses films mal fichus aux titres interminables mais toujours tordants : Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques, Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais… elle cause !, avec Sim déguisé en libellule qui chante dans un cabaret pour travestis (mais c'était pour la bonne cause). Publicité C'est pour tout cela qu'Audiard est connu. C'est dommage. Car l'auteur a su par la suite écrire des dialogues radicalement différents. Une preuve évidente de son intelligence et de son talent. En bon lecteur, il avait acheté les droits de Mortelle randonnée (Serrault et Adjani), avant de proposer le projet à Claude Miller et d'en écrire les dialogues. Il y eut également l'une de ses plus grandes réussites : le huis clos de Garde à vue, avec deux de ses interprètes favoris, Serrault et Ventura. Une pièce de théâtre filmée. Nous sommes loin de la gaudriole des Tontons flingueurs. Audiard, une fois de plus, avait sa propre vision : « Les dialoguistes qui n'écrivent pas pour les acteurs sont des imbéciles, un point c'est tout. Un dialoguiste qui n'exige pas de connaître les interprètes des cinq principaux rôles du film est un monsieur qui ne connaît pas son métier. » Mais tout le monde ne savait pas parler « le Audiard ». Ainsi a-t-il regretté d'avoir écrit pour sa grande amie Jeanne Moreau. Selon lui, il ne lui a pas rendu service : elle était incapable de s'exprimer dans cette langue hybride. Audiard écrivait avant tout pour les acteurs. Il avait ses premiers violons : Gabin, Ventura, Blier, Serrault. Pour eux, il a trouvé des répliques grandioses dans des comédies ou des films noirs. Service de presse Le talent d'Audiard n'a pas été reconnu par ses contemporains, surtout les plus jeunes. François Truffaut, dans la revue Arts, a écrit à son sujet un article au vitriol : « Les dialogues de Michel Audiard dépassent en vulgarité ce qu'on peut écrire de plus bas dans le genre. Ce n'est pas un dialogue naïf ou faussement littéraire, mais cynique et roublard. Il prouve (…) un triple mépris, du cinéma, des personnages du film et du public en général. » Ah bon ? Qui se souvient d'une seule réplique de Truffaut, en dehors de la fameuse « C'est une joie et une souffrance », dont il était tellement fier qu'il l'a recyclée dans deux films ?