
AirPods 4 : les écouteurs Apple ont rarement été vu à un prix aussi bas (mais ça ne va pas durer)
Les AirPods 4 d'Apple s'affichent au prix adouci de 149 euros sur Cdiscount.
Permettant une écoute allant jusqu'à 30 heures avec le boîtier de charge,
les AirPods 4 d'Apple
sont capables d'atteindre 5 heures d'autonomie avec une seule charge. Autant dire que ça laisse de quoi faire pendant une journée, sur le trajet pour aller au travail ou à la salle de sport. Le dispositif de la marque à la pomme a un autre atout et non des moindres. Son audio spatial personnalisé, qui confère une immersion géniale, possède un suivi dynamique des mouvements de la tête. Cela signifie que les basses et les aigües gardent leur profondeur et leur précision dans vos déplacements, que ce soit en marchant ou en courant. Le son est restitué de manière parfaite dans l'effort comme dans la détente. Muni d'un capteur de pression pour couper l'audio à tout moment, les AirPods 4 d'Apple sont également compatibles avec l'assistant vocal Siri.
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7 hours ago
- Le Parisien
IA : Meta va investir des centaines de milliards de dollars supplémentaires pour construire une « superintelligence »
Face à la concurrence, Meta entend rattraper son retard. Son patron Mark Zuckerberg veut investir des « centaines de milliards de dollars » dans des infrastructures d' intelligence artificielle (IA), dernière annonce d'investissement majeure en vue de parvenir à son objectif affiché, construire une « superintelligence ». « Nous sommes en train de construire des réseaux informatiques de plusieurs gigawatts de puissance », s'est-il réjoui lundi dans un message publié sur ses réseaux sociaux Facebook et Threads . Ces centres de données d'une toute autre dimension que ceux existant déjà pour abriter les serveurs du cloud ( informatique à distance ) sont conçus spécifiquement pour entraîner et héberger les modèles d'IA générative. Ces derniers nécessitent une énorme puissance de calcul, et donc des puces informatiques de pointe et beaucoup d'énergie. Meta a pris du retard dans l'IA générative, dominée par OpenAI, depuis le lancement de ChatGPT , et Google. Tous les leaders du secteur ont en ligne de mire une IA dite « générale », ou « superintelligence », aux capacités cognitives supérieures à celles des humains, capable de faire des découvertes scientifiques et d'inventer elle-même des technologies. « Le premier ( réseau informatique ), que nous appelons Prometheus, sera mis en service en 2026. Nous construisons aussi Hyperion, qui pourra atteindre une capacité de 5 gigawatts au fil des années », a indiqué Mark Zuckerberg. Une puissance de 5 gigawatts représente l'équivalent de la consommation annuelle en électricité de 1 à 4 millions de foyers américains. Mi-juin, le géant des réseaux sociaux a déboursé plus de 14 milliards de dollars pour acquérir 49 % du capital de Scale AI, spécialisé dans la mise en état de données utilisées pour développer les modèles d'IA. Selon le patron d'Open AI, Sam Altman , Meta a par ailleurs offert une prime individuelle à la signature de plus de 100 millions de dollars à « beaucoup » d'employés d'OpenAI et environ le même montant annuel en salaire. Mark Zuckerberg a ensuite confirmé dans un memo interne que pas moins de sept d'entre eux avaient changé d'écurie, tout comme le directeur général de Scale AI, Alexandr Wang, et plusieurs éléments des rivaux Anthropic et Google. Le milliardaire a répété lundi qu'il comptait constituer « l'équipe la plus élitiste et la plus dense en talents de toute l'industrie », et qu'elle disposerait « d'un niveau de puissance de calcul sans équivalent dans le secteur ». « Nous disposons du capital issu de nos activités pour le faire », a-t-il assuré. Le dernier grand modèle d'IA de Meta, Llama 4, lancé début avril , a déçu. Il arrive derrière tous les poids lourds, américains, chinois et français, dans le classement établi par la plate-forme d'évaluation indépendante LMArena sur l'écriture de code, et même derrière son prédécesseur Llama 3 pour l'interface texte.


Le Figaro
9 hours ago
- Le Figaro
Meta va investir des centaines de milliards de dollars supplémentaires dans des infrastructures IA
Le patron de Meta Mark Zuckerberg veut investir des «centaines de milliards de dollars» dans des infrastructures d'intelligence artificielle (IA), dernière annonce d'investissement majeure en vue de parvenir à son objectif affiché, construire la «superintelligence». «Nous sommes en train de construire des réseaux informatiques de plusieurs gigawatts de puissance», s'est-il réjoui lundi dans un message publié sur ses réseaux sociaux Facebook et Threads. Ces centres de données d'une toute autre dimension que ceux existant déjà pour abriter les serveurs du cloud (informatique à distance) sont conçus spécifiquement pour entraîner et héberger les modèles d'IA générative. Ces derniers nécessitent une énorme puissance de calcul, et donc des puces informatiques de pointe et beaucoup d'énergie. Meta a pris du retard dans l'IA générative, dominée par OpenAI, depuis le lancement de ChatGPT, et Google. Publicité Tous les leaders du secteur ont en ligne de mire une IA dite «générale», ou «superintelligence», aux capacités cognitives supérieures à celles des humains, capable de faire des découvertes scientifiques et d'inventer elle-même des technologies. «Le premier (réseau informatique), que nous appelons Prometheus, sera mis en service en 2026. Nous construisons aussi Hyperion, qui pourra atteindre une capacité de 5 gigawatts au fil des années», a indiqué Mark Zuckerberg. Une puissance de 5 gigawatts représente l'équivalent de la consommation annuelle en électricité de 1 à 4 millions de foyers américains. Mi-juin, le géant des réseaux sociaux a déboursé plus de 14 milliards de dollars pour acquérir 49% du capital de Scale AI, spécialisé dans la mise en état de données utilisées pour développer les modèles d'IA. Selon le patron d'Open AI, Sam Altman, Meta a par ailleurs offert une prime individuelle à la signature de plus de 100 millions de dollars à «beaucoup» d'employés d'OpenAI et environ le même montant annuel en salaire. Mark Zuckerberg a ensuite confirmé dans un memo interne que pas moins de sept d'entre eux avaient changé d'écurie, tout comme le directeur général de Scale AI, Alexandr Wang, et plusieurs éléments des rivaux Anthropic et Google. Le milliardaire a répété lundi qu'il comptait constituer «l'équipe la plus élitiste et la plus dense en talents de toute l'industrie», et qu'elle disposerait «d'un niveau de puissance de calcul sans équivalent dans le secteur». «Nous disposons du capital issu de nos activités pour le faire», a-t-il assuré. Le dernier grand modèle d'IA de Meta, Llama 4, lancé début avril, a déçu. Il arrive derrière tous les poids lourds, américains, chinois et français, dans le classement établi par la plateforme d'évaluation indépendante LMArena sur l'écriture de code, et même derrière son prédécesseur Llama 3 pour l'interface texte.


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INTERNET - Cinq pays européens, dont la France, vont tester une application permettant de vérifier l'âge des utilisateurs en ligne et d'empêcher les enfants d'accéder à des contenus dangereux, a annoncé ce lundi 14 juillet la Commission européenne. « Ce dispositif permettra aux utilisateurs de prouver facilement qu'ils ont plus de 18 ans, ce qui protégera les enfants des contenus inappropriés », a expliqué Henna Virkkunen, commissaire européenne responsable des questions technologiques. Très concrètement, il s'agit d'un prototype européen que chaque État membre pourra ajuster en fonction de ses propres règles : par exemple selon qu'une interdiction est en vigueur sur internet pour les enfants de 12, 13 ou 15 ans etc. Interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans en France Les cinq premiers pays à franchir le pas sont la France, le Danemark, la Grèce, l'Italie et l'Espagne. Cette proposition était particulièrement poussée par la France, la ministre chargée du Numérique, Clara Chappaz, défendant une vérification de l'âge « au niveau européen » pour accéder aux réseaux sociaux. Début juin, le président français Emmanuel Macron s'est engagé à interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans en France si, « d'ici quelques mois », cela ne se faisait pas au niveau européen. Les effets négatifs des réseaux sociaux sur la santé L'Union européenne dispose d'un arsenal législatif parmi les plus stricts au monde pour encadrer les géants du numérique. Mais les appels à aller plus loin se multiplient parmi les Vingt-Sept, alors que des études démontrent les effets négatifs des réseaux sociaux sur la santé mentale et physique des jeunes. Lundi, la Commission européenne a également publié des recommandations à l'attention des réseaux sociaux pour les jeunes, pour permettre par exemple aux mineurs de bloquer plus facilement des utilisateurs. Ces mesures incluent également la suppression de fonctionnalités potentiellement addictives comme les « coches », qui indiquent qu'un message a été lu et peuvent pousser à attendre frénétiquement une réponse. Veiller à la sécurité des jeunes en ligne « Il est primordial de veiller à ce que nos enfants et nos jeunes soient en sécurité en ligne », a déclaré la commissaire Henna Virkkunen. « Les plateformes n'ont aucune excuse pour poursuivre des pratiques qui mettent les enfants en danger », a-t-elle estimé. Bruxelles mène actuellement des enquêtes sur les réseaux sociaux Facebook et Instagram du groupe américain Meta, ainsi que sur TikTok, dans le cadre de son nouveau Règlement sur les services numériques (DSA). Ces plateformes sont soupçonnées de ne pas suffisamment protéger les enfants des contenus nuisibles. Fin mai, la Commission a également ouvert une enquête sur quatre sites pornographiques (Pornhub, Stripchat, XNXX, et XVideos) soupçonnés de ne pas empêcher l'accès des enfants aux contenus pour adultes.