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Le Figaro
14 minutes ago
- Le Figaro
Deutsche Telekom relève de nouveau ses prévisions au terme d'un bon deuxième trimestre
Le groupe allemand de télécommunications Deutsche Telekom a relevé jeudi ses prévisions annuelles, pour la deuxième fois cette année, porté par la bonne performance de sa filiale américaine T-Mobile, qui a stimulé l'activité au deuxième trimestre. «Nous constatons également au deuxième trimestre une forte croissance des deux côtés de l'Atlantique», a déclaré Tim Höttges, le président du directoire du groupe basé à Bonn. Sur la période d'avril à juin, Deutsche Telekom a enregistré un chiffre d'affaires en hausse de 1% à 28,7 milliards d'euros, conforme aux attentes des analystes sondés par Factset. Hors effets de change et de périmètre, la croissance organique atteint 4,0%. En Allemagne, le résultat opérationnel a progressé malgré un léger recul du chiffre d'affaires de 1,3%, en raison d'une baisse des ventes d'appareils mobiles. Par contraste, les activités de services, plus rentables, ont progressé de 1,1% de manière organique. Le résultat opérationnel ajusté après loyers (EBITDA AL) du groupe a augmenté de 1,7% à 11 milliards d'euros, et le résultat net hors intérêts minoritaires a progressé de 25% sur un an, à 2,6 milliards d'euros, se situant au-dessus du consensus. Publicité Sur l'année, le leader européen des télécoms s'attend désormais à un résultat opérationnel ajusté après loyers (EBITDA AL) de «plus de 45,0 milliards d'euros», contre une précédente prévision d'environ 45 milliards et après avoir atteint 43,0 milliards l'année précédente. La révision à la hausse des prévisions reflète principalement la bonne performance de la filiale américaine T-Mobile, qui a récemment relevé ses objectifs de croissance de sa clientèle pour 2025. Autre indicateur clé du secteur, le flux de trésorerie disponible après loyers, déterminant pour le calcul du dividende et la capacité d'investir, a reculé au deuxième trimestre de près de 7%, à 4,9 milliards d'euros. Mais sur l'année, il est désormais attendu à plus de 20 milliards d'euros, contre environ 20 milliards précédemment et 19,2 milliards atteints en 2024.


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Credor Goldfeather, entre tourbillon et laque urushi
La manufacture horlogère japonaise marie une nouvelle fois haute horlogerie et artisanat traditionnel, le temps d'une Goldfeather tourbillon. Le Japon n'est pas la Suisse. Si son passé horloger remonte à plus d'un siècle, ses savoir-faire artisanaux lui sont propres et les grandes maisons japonaises veillent à les préserver comme à les transmettre. Un talent que ne possèdent hélas pas toujours les marques françaises, ou suisses… Pour sa nouvelle création, une édition limitée à dix exemplaires proposée à partir d'octobre prochain en Europe et en France pour 190 000 €, Credor a fait appel Isshu Tamura, maître artisan japonais de la technique de laque Urushi. Il a ainsi donné vie sur le cadran de cette montre aux oiseaux qui s'élèvent dans le ciel. La technique du e raden a permis d'incruster délicatement de la nacre de différentes couleurs sur le cadran laqué, créant un magnifique scintillement sur le fond sombre de l'urushi. Quant au kirikane, il s'agit d'un art décoratif consistant à découper de fines lignes ou formes de plaque d'or et à les appliquer sur des surfaces. Pour créer le cadran, Isshu Tamura applique avec soin chaque couche de nacre et de plaqué or, d'épaisseurs différentes. Une superposition contrôlée est essentielle pour obtenir une harmonie parfaite. Il affine ensuite la surface avec une précision extraordinaire pour obtenir une finition uniforme et faire ressortir la couleur idéale. Ce travail minutieux produit une surface lisse et une profondeur dans la fine couche de laque, créant un dégradé de couleurs qui dessine des courbes douces sur le cadran et évoque la beauté infinie du ciel. Credor Goldfeather tourbillon Credor Les paillettes d'or qui entourent la cage du tourbillon sont quant à elles réalisées en maki-e, une technique qui consiste à saupoudrer de la poudre d'or sur la laque. Le mouvement du tourbillon symbolise l'énergie rayonnante du soleil, tandis que le pont du tourbillon prend la forme d'un oiseau en vol, les ailes déployées. En effet, pour la première fois, une montre Credor Goldfeather intègre un tourbillon. Ce nouveau mouvement tourbillon, le calibre 6850, est assemblé par Katsuo Saito, lauréat en 2023 de la Médaille au ruban jaune. Une distinction décernée par le gouvernement japonais aux personnes devenues des modèles publics par leur diligence et leur persévérance dans leur profession. Credor Goldfeather tourbillon Credor Publicité Visible à travers le fond du boîtier, ce calibre présente un design dynamique inspiré des plumes, exprimé par une gravure complexe et un art urushi. Tout en abritant un mouvement tourbillon et en arborant la forme incurvée emblématique de Goldfeather, cette création conserve son profil fin de seulement 8,6 mm. Ce nouveau mouvement est doté d'un barillet à ressort agrandi qui étend la réserve de marche à 60 heures. Le boîtier central, les cornes et la partie du fond non recouverte de verre saphir, tous formés d'une seule pièce, lui confèrent une silhouette épurée. Le boîtier est en platine 950, un matériau difficile à polir. Poli et fini à la main par des artisans qualifiés, le boîtier garantit des surfaces lisses et un confort optimal au poignet, ainsi qu'une beauté sans compromis.


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
Naf Naf : les magasins se préparent déjà à fermer, avant même la décision du tribunal ce jeudi
Les 588 salariés de l'enseigne sont peu confiants face aux offres de reprise sur lesquelles doit se prononcer le tribunal de commerce. «Naf Naf vous dit au revoir.» Des affichettes annonçant une fermeture prochaine sur certaines vitrines, des vendeuses lasses, des clientes déçues... Dans une ambiance pesante, la marque de prêt-à-porter Naf Naf, en redressement judiciaire, attend d'être fixée sur son sort ce jeudi 7 août. Le tribunal devra trancher sur les offres de reprise partielle qui ont été déposées pour l'enseigne en difficulté voire, si aucune n'est validée, se résoudre à une liquidation. En France, Naf Naf emploie 588 salariés, avait noté le tribunal dans la décision de redressement de judiciaire en mai. Dans plusieurs boutiques parisiennes, le plus malin des trois petits cochons qui a donné son nom à la marque de mode féminine iconique des années 90 salue tristement ses clientes via quelques pancartes. Le climat est morose à l'intérieur des boutiques du centre de la capitale, où plusieurs employées dénoncent des directions successives qui «n'écoutent pas» et qui «reproduisent les mêmes erreurs». Publicité «Les prix ont augmenté, la qualité a baissé» De fait, la marque «Au Grand Méchant Look» a connu trois redressements judiciaires successifs, dont le dernier en mai inquiète ses quelque 600 employés en France. «Rien ne change, au premier redressement, il fallait fermer des boutiques puis relancer la marque», résume une vendeuse. Sa collègue renchérit : «Certaines (clientes) ne reconnaissent pas la marque. On entend ça depuis 3, 4 ans, depuis le premier rachat. La marque a dégringolé, et ils continuent de s'enfoncer». Dans les points de vente, les portants se dégarnissent, les cartons s'empilent à l'étage et les clientes se font rares dans cette atmosphère de déstockage. «Depuis cinq ans, on a enchaîné les changements de propriétaire. Les prix ont augmenté, la qualité a baissé», déplore une salariée. La même nostalgie transparaît chez les clientes dont Sabrina, 45 ans : «J'ai grandi avec Naf Naf. Avant, quand on voulait une belle robe, on venait ici». La quadragénaire regrette de moins bonnes finitions et des tissus «cheap» (bon marché, NDLR) et soupire : «Ça serait dommage que ça ferme parce que je n'aime pas acheter sur internet et aujourd'hui tout ferme». Plusieurs offres de reprise Le Groupe Beaumanoir (Caroll, Bonobo, Cache Cache...) a offert de reprendre la marque Naf Naf et 12 magasins en France, «sélectionnés pour leur emplacement stratégique permettant au groupe de poursuivre et renforcer son maillage territorial sur ses marques actuelles». «L'offre inclut également la reprise de 48 collaborateurs rattachés à ces magasins et près de 250 offres de reclassement supplémentaires au sein de ses différentes enseignes», a complété le groupe qui a partiellement racheté en juin la marque de prêt-à-porter féminin Jennyfer. La CFDT s'est dite non favorable dans un communiqué de fin juillet à cette proposition prévoyant «la reprise d'un nombre très limité de magasins et de salariés» et considère de ce fait qu'elle «s'apparente davantage à une offre liquidative». L'offre qui trouve grâce aux yeux du syndicat est celle d'Amoniss, propriétaire de Pimkie, qui aimerait «reprendre 30 magasins tout en gardant la marque Naf Naf, avec la reprise de 146 CDI», dévoile la CFDT. Cette dernière ne cache toutefois pas ses inquiétudes, la situation financière du candidat restant «fragile». Sollicité, Amoniss n'avait pas réagi dans l'immédiat. Publicité Confrontée à «des difficultés de trésorerie», Naf Naf avait été placé en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Bobigny (Seine-Saint-Denis) en mai. En juin 2024, après un précédent redressement judiciaire, le repreneur turc Migiboy Tekstil s'était engagé à sauver 90% des emplois et conserver une centaine de boutiques en propre. À l'époque, la société avait offert plus de 1,5 million d'euros pour reprendre l'enseigne française. Ce faisant, l'entreprise turque avait sauvé 521 emplois sur 586 et une centaine de boutiques en France, et repris les filiales en Espagne, en Italie et en Belgique.