Près de 150 albums, une série animée… Qui se cache derrière l'âne Trotro, chouchou des petits depuis 25 ans ?

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Le Figaro

a few seconds ago

• Le Figaro

«Icône intemporelle» : Joan Collins, 92 ans, radieuse en maillot de bain blanc sous le soleil de Saint-Tropez

L'actrice britannique a enchanté Instagram en posant dans un chic une-pièce pendant ses vacances sur la Côte d'Azur. Une fois de plus, Joan Collins prouve que le style n'a pas d'âge. L'icône de la série Dynastie (1981 - 1989) s'est affichée sur Instagram depuis Saint-Tropez, rayonnante dans un maillot une pièce blanc immaculé accompagnée d'un sarong bleu, la tête sublimée par un large chapeau rouge et parée de bijoux turquoise. Raffinée jusque dans les moindres détails, elle a parachevé son allure d'une manucure écarlate impeccable aux pieds et d'un rouge à lèvres assorti. Même sa serviette d'un bleu éclatant venait parfaitement compléter cet ensemble. Joan Collins dans le sud de la France. Instagram @joancollinsdbe @rene_horsch Une icône glamour au naturel assumé Les fans de Joan Collins sont rapidement intervenus sur les réseaux sociaux avec des messages admiratifs, la qualifiant d'«immense source d'inspiration», de «véritable icône, si glamour et chic» ou encore de «dame fabuleuse et élégante». Fidèle à son naturel, Collins avait révélé ses secrets de beauté dans les pages de l'édition anglaise du magazine Glamour en 2012, confessant avoir essayé le botox une seule fois, une expérience qu'elle n'a pas appréciée : «Je l'ai fait une fois sur le front et cela fait un mal de chien !» Plus récemment, en 2023, lors d'une interview accordée au Guardian, elle insistait encore : «Merci. Je n'ai rien fait. Je ne pourrais pas faire tout ça. D'abord, j'ai la phobie des aiguilles. C'est ma mère qui m'a conseillé de m'hydrater et d'utiliser une crème de nuit.» Joan Collins dans Dynastie. Instagram @whatalexiswore Publicité De nouveaux rôles en perspective L'inoubliable interprète d'Alexis Carrington n'a rien perdu de son énergie ni de son ambition. À 92 ans, elle envisage déjà de nouveaux projets, comme elle l'a confié sur son compte Instagram : «Le producteur pense à faire une suite de Murder Between Friends (un film policier dans lequel elle a joué cette année, NDLR). (...) En attendant, je me détends dans le sud de la France sous une chaleur de 90°. Je pense à mon prochain mouvement ou à mon prochain film !». Une énergie inépuisable, nourrie par le soleil méditerranéen.

Le Parisien

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• Le Parisien

« Mes enfants ont eu peur » : Tahar Rahim a perdu 20 kilos pour jouer dans « Alpha »

Dans « Grave », Julia Ducournau filmait une cannibale. Dans « Titane », une héroïne en transmutation. « Alpha », qui se passe, sans que cela soit précisé, pendant les années sida (les années 1990, datées par les premiers ordinateurs domestiques, les grosses télés…), met en scène un toxicomane et malade d'un mystérieux virus, Amin (Tahar Rahim), oncle d'une adolescente, Alpha (Mélissa Boros), elle-même en danger, dont la mère (Golshifteh Farahani), médecin, cherche à maintenir un lien familial et de sécurité dans un monde en chaos.

Le Figaro

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• Le Figaro

«L'Amour est dans le pré : que sont-ils devenus ?» : la compagne d'un ancien candidat frappée par la maladie

Ludovic, candidat de la saison 19 et Julia, sa nouvelle compagne, s'attendent à rencontrer des difficultés pour avoir des enfants, comme ils l'ont confié sur M6 et à Télé Loisirs. Certains retours sur images sont plus optimistes ou heureux que d'autres. Ainsi «L'Amour est dans le pré : Que sont-ils devenus?», dont la seconde partie était diffusée ce lundi 18 août 2025, dans laquelle Karine Le Marchand retrouve chaque année, pour le plus grand plaisir des téléspectateurs, les candidats de la saison ou des saisons précédentes. Certains avaient trouvé l'amour. D'autres non. Certains ont décidé de changer de vie. D'autres non. Certains galèrent. D'autres non. Julia et le vigneron Ludovic se sont rencontrés au lendemain du tournage de la saison 19 du docuréalité de Karine Le Marchand et semblent filer depuis le parfait amour - lors du bilan de la saison 19, Ludovic, en effet, s'était présenté sans Mélanie, son coup de cœur de la saison. À lire aussi «Je ne me suis pas assez méfiée» : Mélanie raconte son expérience avec Ludovic dans «L'amour est dans le pré» Publicité Affectant mais pas rédhibitoire En l'espace de quelques mois, l'ancien candidat et sa nouvelle compagne ont emménagé ensemble et souhaitent fonder une famille. De beaux projets en perspective donc. Sauf que Julia a découvert qu'elle est atteinte d'une maladie héréditaire, qui si elle n'est pas rare, peut se révéler impactante. «On en parle dans l'épisode, mais ce qu'il faut savoir, c'est que j'ai une maladie héréditaire, la polykystose hépatorénale, donc pour le sujet de la parentalité, ça va être un petit combat», a confié la compagne de Ludovic à Télé-Loisirs . «On va engager un processus début d'année qui s'appelle un DPI, diagnostic préimplantatoire. Il n'y a pas beaucoup de centres qui le font. Ça, ça va nous prendre quelques mois, mais on est sur ce projet de parentalité», a-t-elle ajouté. À lire aussi Audiences : Retour en force de «L'Amour est dans le pré : Que sont-ils devenus?» sur M6 Et le vigneron de confirmer : «On a ce désir d'être parents donc on a une procédure à faire et ça va prendre un peu plus de temps. C'est un moyen d'éviter toutes les maladies génétiques et laisser un maximum de chances aux futures générations. C'est un processus avec un dossier, ça prend quelques mois, quelques années, on ne sait pas trop». Mais qu'est-ce au juste que cette maladie? «La maladie fait que les reins ne filtrent plus, ce qui crée des kystes dans le corps si on vient à faire un effort trop important», avait expliqué la jeune femme dans une publication datant d'avril sur Instagram. «On vit un petit peu avec une épée de Damoclès sur la tête . Mais au-delà de ça, on vit», écrivait-elle aussi. Cette maladie touche plusieurs membres de sa famille dont sa mère et son frère. «Quand on voit ma maman, on ne se dit pas qu'elle est malade. Comme mon frère, ça ne se voit pas. Ils prennent des traitements, ils sont suivis régulièrement», dira-t-elle encore. On imagine d'ores et déjà que si sa mère a eu deux enfants, rien ne contre-indique qu'elle puisse en avoir aussi.