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Amazon fait chuter le prix de la PS5 avec Call of Duty à 499 € !

Amazon fait chuter le prix de la PS5 avec Call of Duty à 499 € !

Le Parisien28-07-2025
La PlayStation 5 standard s'affiche à 499 € chez
Amazon
, soit une baisse de 9 % par rapport au prix habituel. Cette offre positionne la console au prix le plus bas constaté sur un an. Elle inclut une manette sans fil DualSense et le téléchargement de Call of Duty: Black Ops 6. La PS5 permet de jouer aux nouveautés tout en profitant d'un temps de chargement très court. Son interface facilite le passage d'une application à l'autre et sa compatibilité avec les jeux PS4 assure la conservation de vos titres préférés.
Cette console de salon propose des graphismes fluides sur les téléviseurs récents. Le disque SSD accélère les chargements, ce qui limite l'attente avant de commencer une partie. Le retour haptique de la manette sans fil offre des sensations plus réalistes dans les jeux compatibles.
La console de salon répond à vos besoins de divertissement avec une prise en main rapide. Son lancement rapide vous permet de passer d'un jeu à l'autre sans attendre. La rétrocompatibilité vous donne accès à votre bibliothèque PS4, ce qui simplifie la transition vers cette génération. Avec la manette sans fil, vous ressentez chaque mouvement et chaque impact, pour des sessions de jeu plus dynamiques. L'audio immersif vous aide à vous plonger dans l'action, même dans un salon bruyant. Le design blanc de la console s'intégrera facilement dans un meuble TV ou sur une étagère, sans occuper trop de place.
Affichée à 499 € chez
Amazon
, la console propose une configuration adaptée à un usage quotidien. Son format facilite le branchement rapide et la navigation dans les menus rend les réglages simples même pour les débutants. L'ajout d'un jeu récent dans le pack rend l'ensemble attractif, notamment pour les joueurs en quête de nouveautés. Ce modèle s'adresse à celles et ceux qui souhaitent retrouver un bon équilibre entre confort d'utilisation et possibilités de jeu à plusieurs.
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Une ressortissante chinoise soupçonnée d'espionnage avait une antenne de 7 mètres dans son jardin de Haute-Garonne
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Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Une ressortissante chinoise soupçonnée d'espionnage avait une antenne de 7 mètres dans son jardin de Haute-Garonne

Une quinquagénaire qui serait liée à une entreprise d'État impliquée dans le développement de missiles chinois a été repérée par les services de renseignement français à quelques kilomètres d'un site jugé «stratégique». Il est rare qu'un petit village du sud de la France se retrouve au cœur d'une affaire d'espionnage. C'est pourtant ce qui est arrivé à Boulogne-sur-Gesse (Haute-Garonne), une petite commune d'environ 1500 habitants au début de l'année 2022. Lors d'un contrôle, l'agence nationale des fréquences (ANFR), qui gère l'ensemble des fréquences radioélectriques en France, se rend compte qu'une maison est équipée d'une antenne qui n'a pas à être là. Et pour cause, la maison se trouve non loin du Téléport d'Aussaguel, un site radioélectrique proche de Toulouse équipé de onze antennes satellites qui envoie des signaux et des données numériques partout dans le monde. D'après nos confrères de franceinfo, ce site piloterait notamment des satellites construits par Airbus et Thalès et utilisés par le Centre national d'études spatiales (CNES). Alertés par l'ANFR, les services de renseignements ouvrent une enquête, car l'antenne serait en capacité d'intercepter les communications entre des appareils en orbite et le Téléport d'Aussaguel. Publicité De son côté, le parquet de Saint-Gaudens ouvre son enquête, tout en collaborant avec la cellule de la Direction du renseignement et de la sécurité de la défense dépêchée sur place. «Dans cette affaire il y a deux enquêtes, un volet judiciaire 'pur' et un volet qui concerne une atteinte aux intérêts de la nation», confie au Figaro le procureur de la République de Saint-Gaudens. «Je comprends bien que l'utilisation de l'antenne ne me concerne pas. Mais le fait est que cette dernière était placée à un endroit stratégique. C'est une zone d'interdiction, donc l'emplacement fait qu'il y a une infraction», poursuit-il. Ancienne employée d'une entreprise d'État Lorsque le magistrat dépêche la force publique sur place pour constater l'installation, les agents découvrent une antenne «de 5 à 7 mètres» plantée dans le jardin. «On comprend assez vite que ça ne sert pas à faire de la radio», ironise Christophe Amunzateguy. Sur place, ce dernier décrit une scène digne d'un James Bond : «Lorsqu'on est entré dans la maison, on a trouvé une salle avec de grandes armoires remplies de matériels informatiques ainsi qu'une caméra qui surveillait l'extérieur. Mais quand on est arrivé, tout était débranché», relate le magistrat. Il confirme que la maison en question était occupée par une ressortissante chinoise qui avait «entre 45 et 50 ans» et qui parlait parfaitement bien français. Cette dernière vivait avec un ancien employé de chez Airbus et avait un gros patrimoine «avec pas mal d'appartements sur Toulouse». Le procureur affirme d'ailleurs que le couple n'était pas du village, «ils étaient surtout sur Toulouse, cette habitation était plutôt un lieu choisi avec un simulacre de maison, je n'ai jamais cru qu'ils habitaient là», indique-t-il. D'après les informations de franceinfo, la ressortissante chinoise s'appellerait Dong H., et serait une ancienne employée de l'Académie chinoise de technologie spatiale, une entreprise d'État qui participe au développement des missiles chinois. Installée par des sociétés espagnoles L'intéressée serait même la présidente d'une société, potentiellement écran, baptisée STAHD Europe, filiale d'une entreprise chinoise spécialisée dans l'opération de station de communication par satellite. Une entreprise déjà soupçonnée d'espionnage à plusieurs reprises à travers le monde. Toujours est-il que lorsque le procureur ordonne une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), la suspecte et son avocat ont opposé «un énorme dossier civil impliquant plusieurs cabinets de conseil. Ça avait l'air d'être une grosse affaire, même si on ne saura jamais si c'était vrai ou pas», insiste Christophe Amunzateguy. L'avocat expliquait alors que sa cliente représentait une société de communication qui souhaitait «émettre des donnés, mais ce n'était pas clair du tout», se rappelle le magistrat. Ce que le procureur affirme avec certitude, c'est que l'antenne est restée dissimulée environ trois mois. «Ce qu'on a bien voulu me dire, c'est que l'antenne est arrivée par petits bouts et a été montée par des sociétés espagnoles», confie-t-il. Il souligne également que tout cela se passe dans un territoire rural expliquant toute cette installation a pu se faire à l'abri des regards. Au final, aucune condamnation n'a été prononcée puisqu'il n'y a «aucune preuve formelle» que cette antenne a émis, «même si on pense que c'est le cas», avoue le magistrat. Ce dernier assure que l'antenne a été démontée début 2023 tout en certifiant que ce n'est pas lui qui était aux opérations à ce moment-là. Pour ce qui est de la ressortissante chinoise, «depuis, aucune nouvelle, la maison est inhabitée».

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