
« À l'air libre, ça me plaît » : à Paris, les parcs se transforment en salles de muscu gratuites

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Le Parisien
15 minutes ago
- Le Parisien
Réalité virtuelle : dans les secrets de fabrication des visites immersives au musée
Alors que ce type d'expérience hors norme se multiplie depuis quelques mois dans le secteur culturel, nous avons voulu savoir comment un tel projet pouvait aboutir. Comment collaborent des institutions pas forcément habituées à travailler ensemble, comme le Château de Versailles, le programme artistique VIVE Arts, la société de production Gedeon Experiences et le studio Small Creative…


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
«Survivre pour Diane» : la belle déclaration d'amour de Guillaume Durand à son épouse
Le journaliste, atteint d'un cancer de la mâchoire, s'est exprimé sur la relation qu'il entretient avec son épouse. Le couple envisage même de renouveler ses vœux de mariage. «Réchapper d'un cancer de la mâchoire relève du miracle», a sombrement déclaré Guillaume Durand à nos confrères de La Tribune dimanche, à l'occasion du questionnaire de Proust. Interrogé sur son état d'esprit actuel, le journaliste s'est exclamé : «Survivre pour Diane, mon épouse». Après 28 ans d'amour, l'ancien présentateur d'«Esprits libres» sur France 2 s'est confié sur le soutien de ses proches, vital dans son combat contre la maladie. «À chaque PET-scanner (examen pour détecter une tumeur cancéreuse, NDLR), j'ai rendez-vous avec la mort, et une heure plus tard, je suis encore en vie. Je dois ça à mes médecins, à mes enfants. Surtout ma dernière fille. Pouvais-je la laisser seule ? Évidemment non», a révélé le père de cinq enfants, dont la dernière n'a que 17 ans. Publicité Pas question pour l'animateur de se laisser abattre, il compte même renouveler ses vœux avec la mère de ses deux derniers enfants, Diane de Mac Mahon . «Tout ce qui ne se fête pas s'oublie. J'adore faire des cadeaux. Avec mon épouse, nous envisageons très sérieusement de nous remarier, en évitant Venise, qu'a choisie ce plouc de Jeff Bezos», a dévoilé sans détour Guillaume Durand. À lire aussi Guillaume Durand, figure emblématique de Radio classique, quitte la station Le journaliste de 72 ans est en rémission depuis janvier 2022. Selon lui, c'est son métier qui est responsable de la maladie. «Se lever à cinq heures pendant un an, deux ans, trois ans, vingt-cinq ans... Il y a un moment où le corps - fût-il sportif et magnifique - encaisse», avait-il exposé dans «C médiatique» sur France 5, en décembre dernier. Pour Guillaume Durand, aucune autre raison ne peut expliquer ce cancer : «Je suis tombé très malade alors que je n'avais aucun signe, aucune addiction, rien. J'ai eu le cancer de la mâchoire ; je n'ai jamais fumé, pas de drogues sauf des pétards à l'époque de Led Zeppelin et je ne bois pas». Pourtant, malgré les inconvénients de sa profession, le journaliste l'avait affirmé : «Je ne regrette absolument pas, on n'a qu'une seule vie et il faut en profiter. C'est une expérience phénoménale».


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
«Là où je vais, le réseau est inexistant»: comment cette cheffe d'entreprise organise sa déconnexion estivale
MA RECETTE POUR DÉCOMPRESSER - Au terme d'une année intense, les patrons usent de techniques variées pour s'accorder une réelle pause. Alaia Pères, cofondatrice de la marque de cosmétiques bio Alaena, ne se laisse pas le choix de couper. Près d'un salarié sur deux (48%) affirme ne pas réussir à rompre totalement avec le travail pendant la période estivale, avance un sondage réalisé par Indeed France et l'institut Censuswide. Un phénomène accentué chez les dirigeants, qui peinent souvent à s'éloigner de leur ordinateur ou de leur téléphone, de peur qu'une situation ne nécessite leur intervention. Alaia Pères a réglé le problème : en vacances, elle reste invariablement sur répondeur. Ce qui s'apparente à un défi pour nombre de ses pairs. Mais pour la cofondatrice d'Alaena, griffe de soins du visage et de spa, la déconnexion estivale relève de l'obligation. Outre l'énergie et l'enthousiasme qu'ils lui procurent, les voyages sportifs qu'elle prévoit chaque année lui apportent une vision plus claire de ses priorités et de ce qu'elle aimerait développer. Elle choisit donc ses destinations en conséquence. «Je privilégie les lieux sauvages, vastes et peu fréquentés ; ces endroits encore préservés qui invitent à l'exploration et à l'aventure». Pour s'assurer ne pas toucher terre pendant ses congés, pas question pour Alaia Pères de paresser sur un transat, les doigts de pied en éventail. Elle articule chaque expédition autour d'une activité sportive : surf, randonnée, vélo, ski de fond, ... «Selon la saison et l'inspiration, commente-t-elle. Mes idées naissent souvent de rencontres, d'un podcast écouté au hasard, un livre, un film ou encore de villes ou pays qui me font rêver depuis des années». Publicité Isolée du monde Cet été, elle a jeté son dévolu sur le Canada. En couple, elle a traversé les Rocheuses du nord au sud, pour rallier l'Idaho, aux États-Unis d'où son conjoint est originaire. «À bord d'un 4x4 équipé d'une tente de toit, nous partions à la recherche de coins perdus, sommets à gravir, glaciers à franchir. Nous en avons pris plein les yeux avec des paysages spectaculaires, une succession infinie de pics acérés, lacs turquoise, forêts denses et... d'ours», s'enthousiasme-t-elle. Et de poursuivre : «Nous préférons les road trips, en van ou à vélo. Ce mode de voyage nous permet de vivre au jour le jour, de suivre nos envies, sans avoir à planifier ni réserver des mois à l'avance». Une liberté totale qui tranche avec son quotidien de cheffe d'entreprise. Dans ces conditions, son impératif à couper se révèle inévitable. «Bien souvent, cela ne constitue même pas un choix : là où je vais, le réseau est inexistant», souligne-t-elle. Isolée du monde, elle ne consulte ses messages qu'au bout d'une semaine, sans jamais ouvrir ses mails. Si elle priorise son épanouissement durant ces moments, Alaia Pères n'en oublie jamais son business : elle connaît les bénéfices que lui procure ce retrait. «À mon retour, les problèmes paraissent plus simples à résoudre», glisse-t-elle. Son cerveau s'avère reposé... et plus agile. «Après avoir surmonté certaines situations imprévues en voyage, j'ai appris à ne pas paniquer, à chercher d'autres solutions et à constater qu'on peut souvent aller bien au-delà de ce que l'on imaginait possible», conclut-elle.