
Notée 4,9/5, tous les bricoleurs s'arrachent cette perceuse-visseuse Bosch en promo
La perceuse-visseuse Bosch Professional GSR 18V-50 est actuellement proposée chez Cdiscount à 129,99 euros au lieu de 179,99 euros, soit 27 % de remise.
Une perceuse Bosch sur Cdiscount, bien notée (4,9/5), qui peut clairement vous simplifier la tâche à la maison, sans exploser votre budget.
Voici trois codes promo qui vont vous faire plaisir
:
Avec
cette perceuse-visseuse Bosch
, vendue chez Cdiscount, on peut visser, percer et bricoler sans se compliquer. Le format sans fil permet de bouger librement, que ce soit pour poser une étagère, monter un meuble ou percer dans du bois ou du métal. Elle tient bien en main, même quand on travaille longtemps, et la tête compacte permet d'atteindre des zones moins accessibles. Le pack inclut deux batteries, un chargeur, une sacoche et une série d'accessoires utiles pour couvrir les besoins les plus courants à la maison. Pas besoin d'avoir déjà une collection d'outils : tout est là pour commencer. Le crochet pour l'accrocher à la ceinture et l'éclairage intégré sont des petits détails pratiques qui font gagner du temps. L'ensemble est simple, fonctionnel, et convient bien aux bricoleurs réguliers comme à ceux qui veulent juste être équipés quand il faut.
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- Le Parisien
Médias : le groupe CMA CGM en passe de racheter la plateforme de vidéos Brut
Le groupe CMA CGM de l'homme d'affaires Rodolphe Saadé est entré en « négociation exclusive » en vue de l'acquisition du média vidéo en ligne Brut , dont il est déjà actionnaire, a-t-il indiqué vendredi dans un communiqué. CMA Media, filiale de CMA CGM , « renforcerait sa présence dans le digital avec l'arrivée de Brut », qui « s'est imposé comme une référence en France et à l'international », déclare l'armateur Rodolphe Saadé, cité dans le communiqué. Présent dans plus de 100 pays, Brut « touche chaque mois plus de 500 millions de spectateurs » via YouTube, TikTok, Instagram, Facebook et Snapchat, souligne CMA Media. Le « pure player » a levé près de 140 millions d'euros depuis son lancement en 2016 et compte parmi ses actionnaires le fondateur de Free, Xavier Niel , le milliardaire François-Henri Pinault, via la holding Artemis, ou encore Orange, rejoints en 2023 par le groupe maritime français CMA CGM. Brut, qui emploie 250 salariés et s'est réorganisé ces dernières années pour faire des économies, est rentable depuis le dernier trimestre 2023. « Cela fait deux ans que l'on travaille avec CMA CGM, un groupe familial dont nous partageons beaucoup de valeurs », a relevé auprès de l'AFP Guillaume Lacroix, cofondateur et président de Brut. « Nous intégrerions CMA Media tout en restant indépendants », a-t-il ajouté, se félicitant de pouvoir avec CMA CGM projeter des investissements, notamment dans l'innovation. Brut recourt déjà largement à l'intelligence artificielle pour analyser par exemple les commentaires générés par ses contenus. Auprès des annonceurs, il met en avant la masse de données (temps passé devant une vidéo, nombre de vues, interactions…) en sa possession, en particulier sur les jeunes audiences. « Les fondateurs et l'équipe dirigeante de Brut resteraient pleinement impliqués dans cette nouvelle phase », précise CMA Media, qui veut « préserver l'ADN » de Brut : « un journalisme exigeant, des formats natifs et une voix engagée sur les grands enjeux sociaux, environnementaux et culturels ». Le milliardaire Rodolphe Saadé bouscule depuis près de trois ans le paysage médiatique français. CMA CGM est devenu propriétaire du groupe La Provence (quotidiens La Provence et Corse Matin) en octobre 2022. Il s'est ensuite invité au capital du groupe audiovisuel M 6 fin 2022, puis à celui de Brut, avant de prendre le contrôle du journal économique La Tribune et d'en lancer une édition dominicale en 2023. À l'été 2024, CMA Media a racheté la chaîne info BFMTV, la radio RMC et les chaînes de la TNT RMC Découverte et RMC Story à Altice. En mai, le groupe a aussi signé une promesse d'achat de la chaîne télé Chérie 25, actuellement dans le giron de NRJ Group. L'acquisition de Brut « serait une nouvelle étape dans la construction d'un groupe média solide, moderne et tourné vers l'avenir », selon Rodolphe Saadé.

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Alain, 77 ans, roule au quotidien avec sa Citroën type B2 de 1921 : «Chaque dos-d'âne est un supplice»
DANS MON GARAGE - Chaque vendredi, des passionnés dévoilent au Figaro l'histoire de leur véhicule d'exception. Aujourd'hui, Alain Blazy, 77 ans, nous raconte la vie extraordinaire de sa Citroën Type B2 de 1921, que son oncle lui a transmis. À 77 ans, Alain Blazy fait partie de ces passionnés qui ont transformé leur amour des voitures anciennes en véritable art de vivre. Ancien professeur de langues vivant près de Lille, il revenait chaque été dans sa ville natale de Foix pour retrouver son trésor : une Citroën Type B2 de 1921. La possession de ce modèle d'exception, Alain Blazy la doit à son oncle Roger Delboy, notable ariégeois grâce à son entreprise de transports. L'homme avait marqué le jeune Alain en lui transmettant le virus automobile. Quand Roger découvre et utilise pour la première fois le modèle, à Saint-Girons (09) il réveille instantanément en lui des souvenirs profonds : cette voiture lui rappelait les camions Citroën de ses débuts, les premiers véhicules avec lesquels il avait bâti son entreprise. «C'était pour lui une madeleine de Proust mécanique», commente Alain. Publicité En 1970, le jeune homme terminait ses études outre-Manche. C'est à son retour d'Angleterre que Roger Delboy lui offre cette voiture en cadeau. Une surprise de taille pour celui qui venait de décrocher son diplôme de professeur de langues. À l'époque, il fallait souvent acheter des pièces pour reconstituer ces voitures anciennes, mais celle-ci était complète, avec même un démarreur électrique, équipement rare pour un modèle de 1921. Voilà pour le début de l'histoire. Une époque où la voiture était corporatiste 54 années après, la centenaire rutile encore de sa carrosserie rouge et noire parfaitement conservée. 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Publicité Le système de freinage, uniquement sur les roues arrière, nécessite une vigilance constante. «Il faut toujours enfoncer délicatement la pédale tout en actionnant simultanément la tige du frein à main», explique Alain. Les ronds-points et les virages deviennent des exercices de haute voltige. L'absence de suspension transforme «chaque dos-d'âne en supplice», les vibrations étant si importantes qu'elles peuvent dévisser les boulons. Vitesse max : 70 km/h «Mais une fois bien lancée, c'est du pur bonheur. La vitesse max est de 70 km/h, mais par sécurité, je roule moins vite, elle a quand même du mal dans les virages», raconte Alain. Lors de ses sorties en banlieue lilloise, Alain ne passe pas inaperçu, quand certains automobilistes font les yeux ronds, d'autres s'arrêtent pour admirer la mécanique et partager leurs souvenirs d'enfance, certains brandissent un pouce en l'air en guise de sympathie. Depuis 54 ans qu'il possède cette voiture, Alain Blazy reste le seul à la conduire : «Elles sont difficiles à conduire, ce qui fait le charme ! Nous, on est sensible à ça, contrairement aux jeunes générations. Il y a une finition, un tableau de bord en alu, une recherche très poussée, une conduite particulière...» Pourtant, elles ont perdu de leur valeur. «Ces voitures sont moins cotées maintenant, elles intéressent moins les jeunes collectionneurs», tempère le septuagénaire. Selon lui, il y a une scission entre lui et les jeunes qui préfèrent les voitures d'après-guerre, celles des années 60, 70, 80. Les Madeleine de Proust ne se choisissent pas.