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Le Figaro
18 minutes ago
- Le Figaro
Une lycéenne soupçonnée de triche à l'IA obtient finalement son bac
Une «erreur de saisie», affirme l'administration. C'est ce qui a conduit Nina Viriot à être accusée à tort de triche avec l'intelligence artificielle, lors de l'épreuve de philosophie du bac le 16 juin dernier. La lycéenne de 18 ans a finalement obtenu son bac avec mention assez bien, après plusieurs semaines d'incertitude avant le verdict final. Le cauchemar avait commencé le 3 juillet dernier, veille de publication des résultats de l'examen. Nina reçoit alors un message sur sa boîte mail qui l'informe qu'un «procès-verbal de suspicion de fraude» a été établi à son encontre. En attendant, elle n'a pas accès à son relevé de notes, ni au rattrapage. Et celle qui souhaite intégrer une école pour devenir ingénieure du son ne peut pas non plus valider sur Parcoursup son inscription dans l'établissement. En cause, une suspicion sur sa copie, alors qu'elle raconte avoir pourtant obtenu la note de 18 sur 20 dans cette matière. De plus, son livret scolaire ainsi que son comportement ne laissaient présager aucun signe de tricherie. Une «erreur» selon le rectorat Ce mardi, c'est pourtant un renversement total de la situation qui s'est produit. Selon les informations du Parisien, la convocation disciplinaire a en réalité été envoyée par erreur. C'est ce qu'affirme le Service des examens dans un courrier officiel envoyé à la mère de la candidate, où l'on peut lire : «Après vérification dans notre système d'information, la convocation que vous avez reçue n'aurait pas dû vous être adressée. En effet, la rectrice de Paris avait décidé de ne pas poursuivre votre fille pour fraude. Une erreur de saisie a entraîné l'émission d'une convocation». Un immense soulagement pour la famille de Nina, en particulier sa mère, qui affirme que «c'était les montagnes russes émotionnelles». La jeune fille souffre d'un trouble de l'attention et bénéficie donc d'un PAP (Plan d'Accompagnement Personnalisé). Il lui permet non seulement d'avoir un tiers-temps supplémentaire lors des épreuves, mais aussi de rédiger ses copies sur un ordinateur non connecté à Internet et vide de tout fichier personnel. Quant au rectorat de Paris, il a par ailleurs confirmé avoir pris la décision de ne pas poursuivre la jeune fille «lundi en fin de journée, après s'être penché sur son profil d'élève, et avoir étudié son livret scolaire et ses notes du bac». Pour ce qui est du double envoi de mail, le rectorat pointe une «erreur» émanant de la Maison des examens.


Le Parisien
18 minutes ago
- Le Parisien
Déstockage Amazon : 5 offres à ne pas laisser passer aujourd'hui
Les entrepôts d'Amazon ont beau être immenses, ils peuvent tout de même atteindre leurs limites au bout d'un moment. Et quand cela arrive, le cybermarchand n'a plus le choix : il baisse le prix de certains produits en surstock, dans le but de les déstocker au plus vite. C'est ainsi que les articles en question arrivent au sein de la rubrique Amazon Outlet, où il est possible de les acheter à prix très bas. Le high-tech et le petit électroménager sont à l'honneur en ce moment : voici cinq produits à ne pas laisser passer. Vous avez envie d'installer une bande LED connectée chez vous ? La Philips Hue White and Color Ambiance de 3 mètres coûte actuellement 44,08 euros au lieu de 69,99 euros. Ce pack permet une utilisation immédiate, puisque cette guirlande LED adhésive peut être contrôlée depuis l'application mobile Hue App. Elle est compatible avec Alexa, Google Assistant et Apple HomeKit. Vous pouvez également utiliser un hub Hue si vous en possédez un, de manière à synchroniser l'éclairage de votre bande avec des ampoules, par exemple. Cliquez ici pour profiter de l'offre sur le ruban LED Philips Les écouteurs sans fil Xiaomi Redmi Buds 6 passent quant à eux de 49,99 euros à 39,99 euros. Ils sont compatibles avec tous les smartphones puisqu'ils se connectent simplement en Bluetooth. Ils délivrent un son Hi-Fi et disposent d'une annulation active du bruit très performante, ce qui vous permet d'écouter votre musique sans être gêné par votre entourage. Si vous possédez un smartphone sous Android, ces écouteurs prennent en charge Google Fast Pair. Cliquez ici pour profiter de l'offre sur les écouteurs sans fil Xiaomi Redmi Buds 6 Besoin d'un babyphone ? Le Philips Avent Babyphone est proposé au prix de 169,99 euros au lieu de 189,99 euros. Il s'agit d'un modèle haut de gamme, qui filme de jour comme de nuit et qui embarque des haut-parleurs, un microphone, un capteur de température et un écran de 3,5 pouces. C'est le babyphone idéal pour surveiller votre enfant durant ses siestes et la nuit, grâce à une autonomie qui monte jusqu'à 12 heures. Il fonctionne dans un rayon de 300 mètres. Cliquez ici pour profiter de l'offre sur le babyphone Avent Philips Le casque gaming filaire Turtle Beach Recon 70 est disponible pour 29,59 euros au lieu de 34,99 euros. Ce modèle s'adresse à toutes les catégories de joueurs, puisqu'il est aussi bien compatible avec le PC qu'avec les consoles de jeux PS5, PS4, PS4 Pro, Xbox Series X, Xbox Series S et Xbox One. Sa prise de 3,5 mm peut même être utilisée sur certains smartphones et tablettes. Il délivre un son surround spatial et un son 3D en fonction de la machine sur laquelle il est branché. Enfin, ce casque vous permet de communiquer en cours de partie. Cliquez ici pour profiter de l'offre sur le casque de gaming Turtle Beach Recon Enfin, du côté du petit électroménager, on trouve l'airfryer Russell Hobbs Air Fryer XXL 8,3L Rapid Air à 79,99 euros au lieu de 109,99 euros. Avec sa capacité de 8,3 litres, il est idéal pour préparer des repas familiaux, et sa grande cuve est compatible avec les pizzas jusqu'à 26 cm de diamètre. Ses neuf modes de cuisson le rendent très polyvalent, avec une température qui démarre à 40°C et monte jusqu'à 200°C. De quoi en faire un remplaçant de votre four dans de nombreuses situations. Cliquez ici pour profiter de l'offre sur le Air fryer Russell Hobbs Devenez membres Amazon Prime gratuitement en cliquant ici


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
Guerre en Ukraine : controverse autour de véhicules Stellantis utilisés par l'armée russe
La diffusion d'images montrant des drones d'attaque russes lancés depuis des pick-up Dodge Ram 1500 – produits par Stellantis – a créé la polémique sur les réseaux sociaux. Les images de la propagande russe diffusées le lundi 21 juillet ont fait polémique sur les réseaux sociaux. Si le but était de faire la promotion d'un drone d'attaque projeté depuis un 4x4 dont le plateau arrière avait été spécialement aménagé ; ce n'est pas ce qu'ont retenu les internautes européens. En cause, le véhicule - un Dodge Ram 1500 noir - produit par Stellantis. Et le compte spécialisé OSINTtechnical s'interrogeant : «Comment se fait-il que tant de nouveaux modèles de camions Ram 1500 fabriqués par Stellantis se retrouvent en service en Russie, en particulier comme plates-formes pour lancer des drones d'attaques Shahed sur l'Ukraine ?». Selon l'expert aéronautique Xavier Tytelman, contacté par Le Parisien, ces pick-up présentent des avantages militaires significatifs. Robustes et adaptés aux «routes pourries du front», ils permettent d'éviter l'usage de boosters pour le décollage des drones, leur donnant ainsi la capacité d'emporter davantage d'explosifs. Publicité Comment expliquer cette présence de voitures Stellantis ? Cependant, plusieurs voix appellent à la prudence. Certains internautes évoquent la possibilité d'un «fake» ou d'une opération de propagande utilisant d'anciennes images recyclées. Qu'en est-il vraiment ? Contacté par Le Parisien, le groupe Stellantis se montre ferme dans sa réponse. La firme rappelle avoir «arrêté toutes les ventes de véhicules en Russie et suspendu ses opérations de fabrication dans ce pays» dès 2022. L'entreprise précise également qu'elle «interdit contractuellement à tous les canaux de distribution d'envoyer des véhicules en Russie». Malgré l'embargo en vigueur, la Russie pourrait se procurer ces véhicules via des pays tiers. Dimitri Uzunidis, professeur d'économie à l'université du Littoral-Côte d'Opale, explique au Parisien que «Moscou contourne les mesures coercitives à son encontre via la Géorgie, l'Ouzbékistan, l'Azerbaïdjan». Les véhicules, neufs ou d'occasion, transitent par ces pays avant d'être acheminés vers la Russie, légalement ou en contrebande. Stellantis estime que ces pratiques échappent à son contrôle : «la société ne peut pas commenter les reventes non autorisées ou non supervisées effectuées par des tiers», se défend le groupe automobile.