
Wall Street finit en hausse, portée par Apple et de bons résultats
Le Dow Jones en hausse de 0,18%
Publicité
*
Le S&P 500 gagne 0,73%
*
Le Nasdaq prend 1,21%
NEW YORK, 6 août (Reuters) - La Bourse de New York a clôturé en hausse mercredi, portée par une salve de résultats d'entreprises supérieurs aux attentes et l'annonce par la Maison blanche d'un vaste plan d'investissement d'Apple aux Etats-Unis.
L'indice Dow Jones a gagné 0,18%, ou 81,38 points, à 44.193,12 points. Le Standard & Poor's 500, plus large, a pris 45,87 points, soit 0,73%, à 6.345,06 points et le Nasdaq Composite a progressé de 252,87 points, soit 1,21%, à 21.169,42 points.
Apple a gagné 5,1% et largement contribué à la hausse des trois grands indices de Wall Street après qu'un responsable de la Maison blanche a déclaré que le groupe informatique allait s'engager à investir 100 milliards de dollars supplémentaires pour développer sa base industrielle aux Etats-Unis.
"L'action est montée à cette annonce, car le marché est probablement soulagé de voir que (le directeur général d'Apple Tim) Cook, qui était resté silencieux face aux attaques contre son entreprise, tendait un rameau d'olivier", a commenté Nancy Tengler, patronne de Laffer Tegler Investments, selon qui le groupe a trouvé une "solution intelligente pour répondre à Donald Trump qui exige qu'Apple fabrique tous les iPhones aux États-Unis".
Le spécialiste du "cloud" (informatique dématérialisée) Arista Networks a grimpé de 17,5% à un plus haut historique après avoir annoncé anticiper un chiffre d'affaires sur le trimestre en cours bien meilleur qu'attendu.
McDonald's (+3%) a également profité d'une hausse de ses ventes supérieure aux attentes. Match Group, maison mère de l'application Tinder, a bondi de plus de 14% après un chiffre d'affaires lui aussi meilleur qu'escompté.
En sens inverse, Advanced Micro Devices (-6,4%) a souffert des résultats décevants de son activité de centres de données. Super Micro Computer a plongé de 18,3% après avoir manqué les attentes sur ses revenus du quatrième trimestre.
"Les résultats ont produit des réactions mitigées. En particulier pour quelques noms liés à l'IA (intelligence artificielle), les attentes étaient tout simplement beaucoup trop hautes. Mais au final, les résultats dans leur ensemble sont assez bons pour soutenir le marché", a résumé Ross Mayfield, stratège chez Baird.
Les indices ont également été de nouveau soutenus par la perspective renforcée d'une baisse des taux de la Réserve fédérale en septembre depuis le rapport mensuel sur l'emploi qui a attesté vendredi d'une forte dégradation du marché du travail et l'indice ISM qui a témoigné mardi d'une stagnation du secteur des services en juillet.
NYSE Nasdaq Résumé synthétique du marché...... 25 plus forts volumes......... Plus fortes hausses en %........ Plus fortes baisses en %........ Guide des indices boursiers américains.. Statistiques du marché........... Emprunt de référence à 10 ans ....... Guide des indices sectoriels américains.. Guide des marchés actions américains... Indices Dow Jones............. Indices S&P......... Valeurs ex-dividende.............. Prévisions pour le Dow Jones et le S&P .
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
Wall Street clôture en hausse portée par les espoirs d'une baisse des taux de la Fed
La Bourse de New York a terminé la semaine dans le vert vendredi à l'issue d'une séance sans nouvelle économique d'ampleur, les investisseurs se montrant optimistes quant à la possibilité que la Réserve fédérale (Fed) baisse rapidement ses taux. L'indice Nasdaq (+0,98%) a atteint un nouveau record pour la deuxième séance consécutive, à 21.450,02 points. L'indice élargi S&P 500 (+0,78%) a lui terminé au niveau de son précédent plus haut et le Dow Jones a gagné 0,47%.


Le Figaro
3 hours ago
- Le Figaro
Le dollar stagne dans l'attente de nouvelles de l'économie américaine et de la Fed
Le dollar fait du sur place vendredi, les cambistes cherchant à estimer les conséquences économiques des nouveaux droits de douane américains, en pleine bataille d'influence pour un poste stratégique à la Réserve fédérale (Fed). Vers 18H25 GMT, le billet vert grappillait 0,04% par rapport à l'euro, à 1,1660 dollar et lâchait 0,07% par rapport à la livre, à 1,3453 dollar. «Les marchés ont été dominés depuis lundi par l'actualité commerciale », rappellent les analystes de Monex USA. Jeudi à 04H01 GMT est entrée en vigueur une nouvelle vague de surtaxes douanières frappant les partenaires commerciaux des États-Unis. Elles viennent s'ajouter à plusieurs déjà annoncées ou mises en application depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier. Désormais, les surtaxes supplémentaires sont comprises dans une fourchette entre 10 et 50% selon les pays et les situations, sans compter les droits de douane visant des secteurs spécifiques. Publicité Taux directeur Les données officielles publiées ces derniers temps ont révélé que la santé de l'économie américaine a décliné plus qu'attendu. Les cambistes scruteront la semaine prochaine la publication de l'inflation côté consommateurs (CPI) et producteurs (PPI). L'annonce d'un marché de l'emploi atone au printemps a chamboulé les investisseurs et nettement augmenté les perspectives d'une baisse des taux de la Fed lors de sa prochaine réunion de politique monétaire en septembre. Alors qu'un abaissement des taux est un facteur d'affaiblissement pour une devise, le billet vert pourrait continuer à souffrir dans les prochaines semaines. Donald Trump a en effet mis un pied à la Fed en nommant gouverneur Stephen Miran, un de ses conseillers économiques. Celui-ci «a toujours affiché des sensibilités accommodantes, s'alignant sur la mission de l'administration Trump qui consiste à obtenir de la Fed une baisse substantielle des taux d'intérêt», soulignent les analystes de Monex USA. En parallèle, le gouverneur Christopher Waller semble «en position de force pour succéder à Jerome Powell», le patron de la Fed dont le mandat arrive à expiration en mai 2026, estime Derek Halpenny, analyste chez MUFG. Le cours de l'or a lui atteint un nouveau record à 3.534,10 dollars l'once (31,1 g) à New York, après que les autorités américaines eurent semblé indiquer que les nouvelles taxes douanières imposées par le président Donald Trump s'appliquaient aussi à certains lingots.

Caradisiac
4 hours ago
- Caradisiac
Le MG EHS Hybrid+ : un rapport prix/prestation à faire pâlir Dacia
EN BREF Version hybride simple de l'EHS 224 ch cumulés 5,5 l/100 km, 126 g de CO2/km À partir de 32 490 € hors remise MG a fait son grand retour en 2020 sur le marché français avec des modèles comme le ZS, La MG 4 électrique ou l'EHS de première génération, proposé uniquement en hybride rechargeable à l'époque. Un retour remarqué, car à la fois avec des produits de bonne qualité, à des prix canons, et qui ont conduit à des chiffres de vente pas si ridicules que ça... Cette année, l'EHS, d'ailleurs appelé "HS" sur d'autres marchés (on comprend que ce ne soit pas possible en France), revient avec une seconde génération qui s'améliore sur tous les points. Plus grand, plus stylé, plus puissant, plus équipé, et aussi plus cher. Cependant, même en augmentant ses tarifs (la version PHEV est 2 000 € plus chère que la précédente), ce SUV anglo-chinois présente un rapport prix/prestations de compétition. Et c'est encore plus le cas pour la version que nous avons aujourd'hui à l'essai. En effet, avec la deuxième génération arrive une version hybride simple, qui permet d'économiser 5 500 € par rapport à l'hybride rechargeable. Pas négligeable du tout. La face arrière de l'EHS arbore un très à la mode bandeau lumineux reliant les feux. Mais ça manque un peu de personnalité même si ce n'est pas désagréable à regarder. Ainsi, proposé à partir de 32 490 € en entrée de gamme Comfort (et 34 490 € en haut de gamme Luxury aujourd'hui présenté), il se permet d'être entre 2 500 € et jusqu'à plus de 10 000 € moins cher que la concurrence hybride, représentée par les Peugeot 3008, nouveau Citroën C5 Aircross, Ford Kuga ou encore Hyundai Tucson et Kia Sportage. Il vient même chatouiller le Dacia Bigster, dont la version hybride, moins puissante, est affichée à 32 000 € en haut de gamme Journey. De plus et jusqu'à fin septembre, une remise de 2 500 € porte l'entrée de gamme à 29 990 €. Exactement comme... le Bigster hybride d'entrée de gamme. Un hasard ? Mais à prix bas, prestations au rabais ? Eh bien nous allons le voir, pas vraiment. Si l'EHS n'est pas parfait, il a de solides arguments à faire valoir. L'EHS a grandi de 10 cm et mesure désormais 4,67 m de long. La largeur est de 1,89 m et la hauteur de 1,66 m. D'ailleurs, on "monte" à bord plus qu'on y entre. Esthétiquement pour commencer, il est plus affirmé que la précédente génération, et ne dépareille pas dans son environnement concurrentiel. Plus grand de 10 cm que le précédent (4,67 m), il se dote d'une large calandre béante constellée de petites ailes chromées, de projecteurs affinés et d'un capot plus nervuré. Calandre béante, capot nervuré, ouvertures dans le bouclier, projecteurs fins, c'est la face avant qui a le plus de personnalité. Le profil avec une ligne de vitrage arrondie, de grosses jantes de 19 pouces diamantées, et la poupe arborant des feux reliés par un bandeau lumineux sont plus classiques. Pas désagréables, mais sans grande originalité. Au moins, l'EHS ne rebute personne, et quelques personnes ont même détourné le regard à son passage. L'effet nouveauté. Un habitacle en progrès et franchement bien fini pour le prix La planche de bord et l'habitacle étonnent par leur qualité de réalisation. L'ambiance beige est chaleureuse (option gratuite), la qualité des matériaux n'a pas à rougir face à la concurrence, au contraire. La dalle qui regroupe les deux écrans de 12,3 pouces fait très "BMW". Par contre, en rentrant dans l'habitacle, on est assez impressionné par les progrès par rapport à la première génération, et par la qualité de réalisation et des matériaux. Ces derniers sont bien choisis, les plastiques moussés à cœur sont légion, les contreportes ne sont pas moins bien traitées que le reste, y compris à l'arrière. L'ambiance beige de notre exemplaire, une option gratuite, et la sellerie en similicuir (d'un moelleux rare aujourd'hui) font leur petit effet. Et comme les assemblages ne souffrent même pas la critique, on se dit que pour le même tarif ou presque qu'un Dacia Bigster, on n'est pas volé, et que les concurrents 10 000 € plus onéreux ne font pas toujours mieux. La dalle multimédia n'est pas hyper définie mais "ça passe". Ce qui passe moins, c'est son ergonomie parfois complexe, et sa réactivité très moyenne, il y a parfois de la latence. La dalle qui reprend les deux écrans numériques de 12,3 pouces de diagonale s'inspire, elle, de BMW ou de Hyundai. Sa définition n'est pas la meilleure toutefois, et sa réactivité apparaît en retrait des meilleurs systèmes. Il y a des temps de latence entre l'appui sur les "boutons" et l'action correspondante. Mais c'est suffisamment court pour qu'on ne peste pas non plus. L'ergonomie est par ailleurs un peu complexe. Il faut s'y habituer. Mais changer les réglages de climatisation demande plusieurs étapes. Les places arrière sont très spacieuses pour les jambes. Trois enfants peuvent s'installer en largeur sans problème. Il n'y a pas de tunnel de servitude encombrant pour empêcher de poser ses pieds. Le volume de coffre, lui, est moyen, avec 441 litres banquette en place, et 1 291 litres banquette rabattue. Les concurrents offrent parfois 100 litres de plus banquette en place et 300 litres de mieux lorsqu'elle est rabattue. À l'arrière, les passagers disposent d'un très bel espace aux jambes, grâce à un empattement rallongé de 4 cm (2,76 m) par rapport à la précédente plateforme. C'est un peu moins bon en largeur, mais trois enfants seront à l'aise. Au niveau de la tête, pas de souci. Par contre, le volume de coffre reste assez moyen rapporté au gabarit. En effet, on disposera de 441 litres banquette en place et 1 291 banquette rabattue. C'est à la fois moins bien que l'ancien (448 l et 1 375 l), mais aussi par exemple moins bien qu'un 3008 hybride (588 l et 1 663 l) pourtant plus court de 13 cm, ou qu'un Renault Austral hybride (487 l et 1 525 l, pour 4,51 m). Une mécanique atypique Le système hybride de l'EHS est complexe et atypique. Un 1.5 thermique, un moteur électrique, un générateur, une boîte à deux rapports le composent. La puissance cumulée est de 224 ch Sous son capot, l'EHS Hybrid+ embarque un système assez particulier, qui se rapproche de ce que fait Honda. On a un moteur 4 cylindres 1.5 turbo de 143 ch, qui sert essentiellement à activer un générateur pour la batterie NMC de 1,83 kWh de capacité, et les deux abreuvent en énergie un moteur électrique de 198 ch, qui se charge de mouvoir l'auto la très grande majorité du temps. La puissance cumulée est de 224 ch. Le 0 à 100 est annoncé en 7,9 secondes et la vitesse maxi est fixée à 190 km/h. Le moteur thermique peut entraîner les roues avant de manière ponctuelle, lors des fortes demandes de puissance (dépassements, reprises). En fait, on peut avoir un fonctionnement en 100 % électrique, un mode hybride série dans lequel le thermique sert de générateur, un mode hybride parallèle, ou le thermique et l'électrique entraînent les roues, et un mode thermique pur sur autoroute, où seul le moteur à combustion entraîne l'auto, et peut recharger en même temps la batterie. Complexe. D'autant que le moteur électrique dispose de deux rapports, comme sur la version hybride rechargeable. En conduite tranquille, c'est impeccable Conduit en bon père de famille, l'EHS est un excellent compagnon de route. Confortable, bien insonorisé, suffisamment performant. Pour un prix équivalent, il est de loin plus agréable qu'un Dacia Bigster ou qu'un Duster. À l'usage, c'est assez transparent lorsque l'on conduit en mode tranquille. Les démarrages se font le plus souvent en électrique, et les phases de roulage moteur coupé sont à la fois fréquentes et longues en ville, grâce à la capacité de la batterie supérieure à la moyenne. Le moteur thermique se met en route régulièrement tout de même, pour recharger la batterie. Il n'est pas trop sonore, mais peut bourdonner un peu, surtout à l'arrêt au feu. Rien de rédhibitoire. Il faut juste s'habituer au fait que le régime moteur n'est pas toujours corrélé à la vitesse et à l'accélération. On peut rester en 100 % électrique jusqu'à plus de 80 km/h lorsque la batterie est bien chargée. Et on notera seulement que les grosses jantes de 19 pouces entraînent des trépidations sur mauvais revêtement, et que ça cogne (un peu) sur les raccords. En ville, la consommation peut rester contenue sous les 5,5 litres. Sur route, le système module sereinement son fonctionnement. Les démarrages et arrêts du 4 cylindres se font sans aucun à-coup. Le niveau sonore n'est jamais envahissant. Et les passages de rapport parfaitement insensibles. D'ailleurs on ne sait jamais trop à quelle vitesse cela arrive. Cela semble dépendre du dynamisme de la conduite. En tout cas, dans ces conditions, en en restant soft, le confort est remarquable, à la fois côté suspensions, et côté auditif. Et la consommation tourne autour de 6 litres/100 km. C'est bien, mais pas top. Les consommations ne sont pas exceptionnelles. Mais il faut dire que ce SUV anglo-chinois pèse presque 1,7 tonne. Nous avons relevé 5,5 l en ville, 6 litres en moyenne, et 7 litres sur autoroute à 130. Les bruits d'air n'apparaissent que sur autoroute au-dessus de 120 km/h, et restent discrets. Cela permet de profiter de la (mauvaise) sono d'origine, qu'il n'est pas possible d'améliorer par une surmonte optionnelle. Vu le prix, on ne râlera pas trop. Le comportement reste tout à fait rassurant sur le grand ruban, avec une bonne stabilité, et des reprises honnêtes, même si on peine à croire que les 224 ch sont tous là. Étrange, la vivacité de la chaîne de traction hybride semble meilleure passés les 130 km/h qu'en dessous. La consommation autoroutière s'est établie à un litre de plus que sur route, soit 7 l/100 km. Et le test de la conduite autonome de niveau 2 nous apprend que l'EHS garde beaucoup de distance entre véhicules, et qu'il a tendance à corriger trop souvent la trajectoire, sans rester au milieu de la voie. Et garder le volant pour "faire mieux" impose de se battre contre l'automatisme, en créant des réactions parasites. Il vaut mieux rester en mode régulateur adaptatif et garder la main sur la direction. En conduite dynamique, ça se corse En conduite rapide, il apparaît que le comportement est très sous-vireur, et que le freinage manque d'endurance. Le comportement à l'accélération n'est jamais vraiment le même. Troublant. Là où les défauts apparaissent, c'est en conduite rapide. En effet, mené tambour battant, l'EHS révèle un comportement très étrange. Déjà pour obtenir le meilleur de lui, il faut passer en mode de conduite Sport (il en existe trois, avec le mode Confort et le mode Eco). Cela améliore la réactivité de la pédale d'accélérateur, et les décollages sont plus vifs. Mais dès lors, les accélérations seront étonnamment à chaque fois un peu différentes. On sent plus le passage de rapport mais ce n'est jamais au même moment. Parfois l'EHS a la pêche à petite vitesse et moins à grande vitesse, parfois c'est l'inverse. Bizarre. Et ça laisse à penser qu'il n'est pas fait pour cela. Il est vrai que nous l'avons poussé dans ses retranchements. Ce qui a révélé d'autres défauts. Premièrement, une tendance lourde, voire très lourde au sous-virage. Reste que le train arrière est rivé au sol, et que c'est plutôt rassurant pour les conducteurs lambda. Les pneus Bridgestone Alenza, pourtant réservés aux SUV "sportifs" manquent de grip latéral, et crissent rapidement sur les ronds-points abordés un peu vite. Les aides à la conduite sont un peu envahissantes et autoritaires. Mais on peut les couper, à chaque démarrage comme le veut la législation. La direction, que l'on peut régler sur trois modes d'assistance, est assez précise, mais pas très informative. On a connu bien pire cependant. Par contre, gros point faible niveau freinage. Il est puissant et facilement dosable la majorité du temps. Oui, mais il suffit de 3 ou 4 gros freinages pour que le système s'échauffe, et que les distances s'allongent. J'ai même eu du mal à déclencher l'ABS sur un 5e freinage appuyé, tant la puissance était réduite. De quoi accréditer la thèse selon laquelle il ne faut pas brusquer le bestiau. On terminera en relevant en conduite rapide une petite prise de roulis, pas méchante mais sensible, et une consommation qui s'envole vers les 13 litres aux 100 km. Définitivement, on évitera, et on profitera de ce SUV confortable majoritairement à train de sénateur. Dans ces conditions, il est un excellent compagnon.