
Auchan brade le prix de ses TV Samsung : à ce prix-là, elles risquent de partir très vite
L'achat d'un téléviseur est l'une des plus grosses décisions que vous pouvez prendre pour votre salon. Pour un modèle avec une qualité satisfaisante et qui dure dans le temps, tournez-vous vers une marque fiable comme Samsung. D'autant plus que le site d'Auchan se lâche en ce moment sur les promotions des TV 4K, pour économiser jusqu'à -23 % sur des références populaires de différentes tailles et gammes. SI la livraison peut être gratuite, l'enseigne vous propose de venir chercher votre article rapidement et sans frais dans l'un de ses magasins.
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Des TV 4K Samsung pour différents budgets en promotion sur le site Auchan
La TV LED Samsung TU65CU7025
La meilleure vente du site chez les téléviseurs est la Samsung TU65CU7025, actuellement affichée à -23 % de réduction, qui passe de 649 euros à 499 euros. Il s'agit d'une TV LED de 65 pouces, qui supporte le HDR10+ et qui fait également office de Smart TV.
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La TV QLED Samsung TQ75QE1DAU
Vous souhaitez une meilleure qualité d'image ? La Samsung TQ75QE1DAU est alors faite pour vous, avec son tarif de 799 euros au lieu de 899 euros. Pour ce prix, vous disposez d'une TV QLED de 75 pouces, qui offre un meilleur contraste, des couleurs plus vives et une luminosité plus intense.
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La TV LED Samsung TU50DU8505
Pour une télévision UHD à bon prix, Auchan vous propose la Samsung TU50DU8505 à 449 euros, avec 50 euros remboursés sur votre cagnotte, pour une valeur finale de 399 euros. Elle vous propose un affichage de 50 pouces, qui trouve facilement sa place dans votre salon ou même dans une chambre.
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Une ressortissante chinoise soupçonnée d'espionnage avait une antenne de 7 mètres dans son jardin de Haute-Garonne
Une quinquagénaire qui serait liée à une entreprise d'État impliquée dans le développement de missiles chinois a été repérée par les services de renseignement français à quelques kilomètres d'un site jugé «stratégique». Il est rare qu'un petit village du sud de la France se retrouve au cœur d'une affaire d'espionnage. C'est pourtant ce qui est arrivé à Boulogne-sur-Gesse (Haute-Garonne), une petite commune d'environ 1500 habitants au début de l'année 2022. Lors d'un contrôle, l'agence nationale des fréquences (ANFR), qui gère l'ensemble des fréquences radioélectriques en France, se rend compte qu'une maison est équipée d'une antenne qui n'a pas à être là. Et pour cause, la maison se trouve non loin du Téléport d'Aussaguel, un site radioélectrique proche de Toulouse équipé de onze antennes satellites qui envoie des signaux et des données numériques partout dans le monde. D'après nos confrères de franceinfo, ce site piloterait notamment des satellites construits par Airbus et Thalès et utilisés par le Centre national d'études spatiales (CNES). Alertés par l'ANFR, les services de renseignements ouvrent une enquête, car l'antenne serait en capacité d'intercepter les communications entre des appareils en orbite et le Téléport d'Aussaguel. Publicité De son côté, le parquet de Saint-Gaudens ouvre son enquête, tout en collaborant avec la cellule de la Direction du renseignement et de la sécurité de la défense dépêchée sur place. «Dans cette affaire il y a deux enquêtes, un volet judiciaire 'pur' et un volet qui concerne une atteinte aux intérêts de la nation», confie au Figaro le procureur de la République de Saint-Gaudens. «Je comprends bien que l'utilisation de l'antenne ne me concerne pas. Mais le fait est que cette dernière était placée à un endroit stratégique. C'est une zone d'interdiction, donc l'emplacement fait qu'il y a une infraction», poursuit-il. Ancienne employée d'une entreprise d'État Lorsque le magistrat dépêche la force publique sur place pour constater l'installation, les agents découvrent une antenne «de 5 à 7 mètres» plantée dans le jardin. «On comprend assez vite que ça ne sert pas à faire de la radio», ironise Christophe Amunzateguy. Sur place, ce dernier décrit une scène digne d'un James Bond : «Lorsqu'on est entré dans la maison, on a trouvé une salle avec de grandes armoires remplies de matériels informatiques ainsi qu'une caméra qui surveillait l'extérieur. Mais quand on est arrivé, tout était débranché», relate le magistrat. Il confirme que la maison en question était occupée par une ressortissante chinoise qui avait «entre 45 et 50 ans» et qui parlait parfaitement bien français. Cette dernière vivait avec un ancien employé de chez Airbus et avait un gros patrimoine «avec pas mal d'appartements sur Toulouse». Le procureur affirme d'ailleurs que le couple n'était pas du village, «ils étaient surtout sur Toulouse, cette habitation était plutôt un lieu choisi avec un simulacre de maison, je n'ai jamais cru qu'ils habitaient là», indique-t-il. D'après les informations de franceinfo, la ressortissante chinoise s'appellerait Dong H., et serait une ancienne employée de l'Académie chinoise de technologie spatiale, une entreprise d'État qui participe au développement des missiles chinois. Installée par des sociétés espagnoles L'intéressée serait même la présidente d'une société, potentiellement écran, baptisée STAHD Europe, filiale d'une entreprise chinoise spécialisée dans l'opération de station de communication par satellite. Une entreprise déjà soupçonnée d'espionnage à plusieurs reprises à travers le monde. Toujours est-il que lorsque le procureur ordonne une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), la suspecte et son avocat ont opposé «un énorme dossier civil impliquant plusieurs cabinets de conseil. Ça avait l'air d'être une grosse affaire, même si on ne saura jamais si c'était vrai ou pas», insiste Christophe Amunzateguy. L'avocat expliquait alors que sa cliente représentait une société de communication qui souhaitait «émettre des donnés, mais ce n'était pas clair du tout», se rappelle le magistrat. Ce que le procureur affirme avec certitude, c'est que l'antenne est restée dissimulée environ trois mois. «Ce qu'on a bien voulu me dire, c'est que l'antenne est arrivée par petits bouts et a été montée par des sociétés espagnoles», confie-t-il. Il souligne également que tout cela se passe dans un territoire rural expliquant toute cette installation a pu se faire à l'abri des regards. Au final, aucune condamnation n'a été prononcée puisqu'il n'y a «aucune preuve formelle» que cette antenne a émis, «même si on pense que c'est le cas», avoue le magistrat. Ce dernier assure que l'antenne a été démontée début 2023 tout en certifiant que ce n'est pas lui qui était aux opérations à ce moment-là. Pour ce qui est de la ressortissante chinoise, «depuis, aucune nouvelle, la maison est inhabitée».


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