
Top des ventes : ce salon de jardin design fait sensation, et son prix n'y est pas pour rien
Le salon de jardin MARIE de KETER est actuellement affiché à 139,99 euros au lieu de 149,99 euros, soit 6 % de remise chez Cdiscount.
Une offre intéressante pour aménager un espace convivial sans prise de tête.
Voici deux codes promo qui vont vous faire plaisir
:
Composé d'une banquette deux places, de deux fauteuils et d'une table basse carrée,
ce salon de jardin en résine
signé Allibert by KETER offre un espace convivial pour profiter pleinement des beaux jours. Avec son design en résine tressée imitation rotin et sa couleur gris graphite, il s'intègre naturellement dans un jardin, sur une terrasse ou sous une pergola. L'ensemble est pensé pour un usage quotidien : les coussins d'assise apportent un confort immédiat, tout en étant amovibles pour faciliter le rangement et le nettoyage. La table basse, dotée d'un plateau effet lattes de bois, permet de poser facilement un plateau repas, des boissons ou un livre. Résistant aux intempéries et aux UV, ce salon de jardin en résine ne nécessite qu'un entretien minimal. Il est fabriqué en Europe et garanti deux ans, un bon point pour celles et ceux qui recherchent du mobilier durable, sans contraintes.
Cliquez ici pour
retrouver l'offre Cdiscount sur le salon de jardin Marie de KETER
Les meilleures offres disponibles chez Cdiscount :
Offre à durée limitée et dans la limite des stocks disponibles. Voir conditions sur le site Cdiscount
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le HuffPost France
4 hours ago
- Le HuffPost France
Contrex et Hépar épinglés par Mediapart pour leurs taux « incommensurables » et « nuisibles » de microplastiques
SANTE - Nestlé toujours plus dans la tourmente. Des taux de pollution de microplastiques « incommensurables » ont été retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, selon le magistrat chargé de l'enquête préliminaire dans le cadre des poursuites contre Nestlé Waters concernant des décharges sauvages de déchets polluants dans les Vosges, révèle ce samedi 9 août Mediapart. Nestlé Waters est poursuivi pour avoir stocké des déchets et maintenu quatre décharges sauvages à Contrexéville, They-sous-Montfort, Saint-Ouen-Les-Parey et Crainvilliers, représentant un volume cumulé de 473 700 mètres cubes, l'équivalent de 126 piscines olympiques. Le procès, décidé après une enquête du pôle régional environnement du parquet de Nancy, se tiendra du 24 au 28 novembre. Nestlé est notamment poursuivi pour avoir, autour de ces décharges, « laissé s'écouler dans les eaux superficielles et souterraines » des « particules de microplastiques » à des concentrations « rendant toute vie aquatique impossible et ayant des effets nuisibles sur la santé, la flore et la faune ». Des « effets nuisibles sur la santé humaine » Les révélations de Mediapart, qui a contribué avec Le Monde et Radio France aux révélations sur les traitements illégaux utilisés par le passé par Nestlé Waters sur ses eaux, indiquent que les décharges de plastique « sont (à) l'origine » de taux élevés de microplastiques retrouvés à la sortie des forages des eaux ensuite embouteillées sous les marques Contrex et Hépar. Le média s'appuie notamment sur une enquête de l'Office français de la biodiversité (OFB) et de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (Oclaesp). « Une analyse chiffrée illustre que les proportions sont incommensurables s'agissant de l'introduction de microplastiques dans les sols vosgiens par Nestlé aux lieux des décharges, sur les terres et les eaux situées en aval », indique le magistrat chargé de l'enquête, selon Mediapart, alertant sur « leurs effets nuisibles sur la santé humaine ». Les taux de microplastiques sont de 515 particules de microplastique par litre (mp/L) pour Contrex, et 2 096 pour Hépar, soit des concentrations 51 000 à 1,3 million de fois supérieures à celles retrouvées dans des lacs, fleuves et rivières par deux études sur lesquelles s'appuient les enquêteurs. Et de 5 à 2 952 fois supérieurs aux taux moyens dans les nappes phréatiques du monde, selon d'autres études. Ces taux sont également supérieurs à ceux retrouvés dans d'autres eaux en bouteille par des chercheurs. « La dégradation est substantielle en ce qu'ils sont fragmentés en micro voire nanoplastiques, imprégnés et diffusés dans les sols et les réseaux d'eaux souterraines, de sorte qu'aucune dépollution n'est envisageable », ajoutent les enquêteurs. Nestlé Waters dément Contacté par Mediapart, Nestlé Waters affirme « qu'aucune pollution n'est avérée aux termes des analyses environnementales partagées avec les autorités. Toutes nos eaux peuvent être bues en toute sécurité ». Le média indique avoir consulté une note confidentielle dans laquelle Nestlé affirme en 2022 que les décharges pourraient avoir « un impact sur la qualité des eaux ». Selon l'entreprise, les décharges incriminées datent des années 1960, avant qu'elle ne soit propriétaire des terrains pollués. Les taux de microplastiques dans les eaux minérales naturelles ne sont pas réglementés. Omniprésentes dans l'environnement, ces substances sont au cœur des négociations en cours à Genève pour élaborer un traité contre la pollution plastique.

L'Équipe
5 hours ago
- L'Équipe
DIRECT. Antalyaspor-Kasimpasa (Championnat de Turquie 2025-2026) en direct
L'Équipe, les sociétés de son groupe et leurs 272 partenaires utilisent des cookies ou traceurs pour stocker et/ou accéder à des informations sur votre terminal et traiter des données personnelles vous concernant. Cela nous permet de vous afficher de la publicité personnalisée en fonction de votre navigation, de vos données de profil ou de votre localisation, de personnaliser le contenu éditorial, de mesurer l'audience de notre site et de permettre l'interaction avec les réseaux sociaux. Pour accéder gratuitement au site (hors contenus exclusifs abonnés), vous devez accepter l'utilisation des traceurs de publicité personnalisée, par L'Équipe et des tiers partenaires. En cas de refus, navigation et fonctionnalités seront limitées sur le site. Vos préférences s'appliqueront uniquement à nos sites et pourront être modifiées à tout moment via le menu « paramétrer mon consentement ». Plus d'informations : politique de confidentialité.


Le Parisien
6 hours ago
- Le Parisien
Des taux « incommensurables » de microplastiques retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, révèle une enquête
Le géant de l'eau confronté à la justice. Des taux de pollution de microplastiques « incommensurables » ont été retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, selon le magistrat chargé de l'enquête préliminaire dans le cadre des poursuites contre Nestlé Waters. L'information a été révélée samedi par Mediapart. Nestlé Waters est poursuivi pour avoir stocké des déchets plastiques et maintenu quatre décharges sauvages dans quatre communes des Vosges : Contrexéville, They-sous-Montfort, Saint-Ouen-Les-Parey et Crainvilliers. Ces décharges représentent un volume cumulé de 473 700 m cubes, l'équivalent de 126 piscines olympiques. Elles pourraient avoir contaminé les sols et donc les eaux embouteillées du groupe. « Des effets nuisibles sur la santé » Nestlé est notamment poursuivi pour avoir, autour de ces décharges, « laissé s'écouler dans les eaux superficielles et souterraines » des « particules de microplastiques » à des concentrations « rendant toute vie aquatique impossible et ayant des effets nuisibles sur la santé, la flore et la faune ». Les informations de Mediapart, qui a contribué avec Le Monde et Radio France aux révélations sur les traitements illégaux utilisés par le passé par Nestlé Waters sur ses eaux, indiquent que les décharges de plastique « sont (à) l'origine » de taux élevés de microplastiques retrouvés à la sortie des forages des eaux ensuite embouteillées sous les marques Contrex et Hépar. VidéoIl y aurait bien plus de particules de plastique que prévu dans les bouteilles d'eau, selon une nouvelle étude Le média s'appuie notamment sur une enquête de l'Office français de la biodiversité (OFB) et de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (Oclaesp). « Une analyse chiffrée illustre que les proportions sont incommensurables s'agissant de l'introduction de microplastiques dans les sols vosgiens par Nestlé aux lieux des décharges, sur les terres et les eaux situées en aval », indique le magistrat chargé de l'enquête selon Mediapart, alertant sur « leurs effets nuisibles sur la santé humaine ». Le groupe dément toute pollution Les taux de microplastiques sont de 515 particules de microplastique par litre (mp/L) pour Contrex, et 2 096 pour Hépar, soit des concentrations 51 000 à 1,3 million de fois supérieures à celles retrouvées dans des lacs, fleuves et rivières selon deux études sur lesquelles s'appuient les enquêteurs. Contacté par Mediapart, Nestlé Waters affirme « qu'aucune pollution n'est avérée aux termes des analyses environnementales partagées avec les autorités. Toutes nos eaux peuvent être bues en toute sécurité ».