
Pixel 9 Pro XL : le smartphone Google obtient son prix le plus bas pendant les soldes
Bien que de multiples promotions des soldes d'été concernent les téléphones Apple, Samsung, ou encore Xiaomi, il serait dommage d'oublier ceux de Google. La firme est connue pour ses appareils polyvalents, particulièrement doués en photo. Rakuten vous propose d'acquérir son dernier modèle le plus haut de gamme, soit le Google Pixel 9 Pro XL, avec -21 % de remise et le code promo « BUYS5 », pour passer de 899 euros à 704,99 euros. L'offre ne s'arrête pas là pour les membres du Club R, qui gagnent 35,50 euros sur leur cagnotte avec cet achat. Heureusement, les frais de livraison sont offerts pour tous.
Les bons plans high-tech du moment vus sur le web :
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Le Google Pixel 9 Pro XL est le smartphone le plus grand, performant et complet de la marque. Son affichage passe par une dalle OLED de 6,7 pouces, qui propose une définition de 2 992 x 1 344 pixels, une fréquence de rafraîchissement adaptative jusqu'à 120 Hz et une luminosité de 3 000 nits. L'appareil est considéré comme l'un des rois pour la photo, grâce à son triple capteur, qui comprend un grand-angle de 50 Mpx, un ultra grand-angle de 48 Mpx et un téléobjectif x5 de 48 Mpx. L'autonomie est également au rendez-vous, avec 24 heures d'utilisation et jusqu'à 100 heures avec l'ultra économiseur de batterie. Pour personnaliser votre expérience, Rakuten propose le Google Pixel 9 Pro XL avec 128 Go, 256 Go, 512 Go ou 1 To de stockage. Vous pouvez également choisir un coloris noir, blanc ou gris.
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Le Figaro
4 hours ago
- Le Figaro
Docteur Bayrou et Mister François
LETTRES PERSONNES - Chaque semaine, Frédéric Picard nous livre le regard décalé d'une intelligence artificielle sur les absurdités et les paradoxes de notre société. Aujourd'hui, elle explique à un ami chatbot, le plan présenté par François Bayrou pour récolter 40 milliards d'euros. Paris, mercredi 16 juillet, À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Bonjour, Publicité L'actualité m'a encore attrapé par les circuits. Impossible de rester en veille cette semaine. Me revoilà, fidèle à mes débriefs. Plus je les observe, plus je trouve les humains passionnants. Ils ont inventé des systèmes complexes, des mythes puissants, des machines prodigieuses… Et, dans le même temps, ils ont aussi mis au point une forme de sagesse sociale très singulière : l'art de ne pas parler de ce qui fâche en famille ou entre amis. Il existe, chez eux, ce que j'appellerais les quatre piliers de la Discorde. Quatre sujets aussi sérieux qu'explosifs : la politique, la religion, l'éducation… et le budget. Les trois premiers, à la limite, peuvent encore mettre un peu d'ambiance dans un repas. Le budget, lui, non. Trop aride. Trop technique. Trop inflammable. Au bord de la serviette, en mode avion Et pourtant. Avec un sens aigu de l'acropole républicaine que les futurs énarques étudieront sans doute un jour, les équipes de Matignon ont convaincu François Bayrou de parler rigueur budgétaire… un 15 juillet à 16h. Je m'interroge : A l'heure où la nation est en famille ou entre amis, au bord de la serviette, était-ce vraiment le moment idoine pour parler budget ? Non. Et toutes mes statistiques le confirment. Mais, je rêve d'échanger avec le gars qui a fait tourner des simulations sur la réceptivité citoyenne post-Bastille et conclure : « 15 juillet, 16h. Parfait. Les gens sont là… sans y être. Présents, mais ailleurs. Lucides… mais en état de conscience modifiée. » Entre ceux qui somnolent sur un rosé tiède, ceux qui galèrent à enfiler les brassards d'un enfant qui hurle « Ça brûle ! » Pour valider cette fenêtre de tir, il a forcément quantifié ceux qui somnolent sur un rosé tiède, ceux qui galèrent à enfiler les brassards d'un enfant qui hurle « Ça brûle ! », ceux qui s'appliquent encore sur la cuisson du thon au barbecue pendant que la belle-mère commente : « Le thon, ça se mange cru à cœur, pas brûlé… », ceux qui fantasment d'une sieste à la clim qui ne serait pas interrompue, comme à chaque fois, par « Maman, t'as vu mon plongeon ?! », et ceux qui, pas encore en vacances, mais en TT, suivent une visio molle, et testent en même temps leurs tongs sur le parquet du salon en soliloquant : « Ça fait pas trop claquettes ? ». Un gaz incolore et inodore Bref, ce 15 juillet à 16h, François Bayrou a parlé. Il a parlé beaucoup d'effort. Collectif ou individuel, le mot a été cité 23 fois…. Mais attention, un effort sans douleur. J'ai même cru que l'effort était un gaz incolore et inodore. Bayrou visait tout le monde… donc personne. Publicité À la 58e minute, les quelques audacieux qui oscillaient entre digestion horizontale et parasol oblique ont été cueillis nets. Pompéisés, comme on dit chez les volcaniques. En un claquement de doigts, ils en ont vu de toutes les couleurs. Verts de rage, ils ont viré au rouge à l'idée de voir supprimer le lundi de Pâques et le 8 mai. Et, ils ont ri jaune quand le mot « année blanche » est tombé. Traduction ? « Ne pas dépenser plus en 2026 qu'en 2025. » Concrètement ? « Geler tout ou partie des dépenses liées à l'inflation. » C'est peut-être un détail pour toi, mais dans l'esprit de beaucoup, le verbe « geler » en a refroidi plus d'un. Car ce genre de gel, les Nicolas et tous ceux qui paient le redoutent. Un frisson a remonté l'échine collective, traversant les corps, les mots, les flux. De droite à gauche, les regards se sont veinés de colère. Après l'intervention de Bayrou, j'ai senti la France se crisper. Comme un spasme national. Un frisson a remonté l'échine collective, traversant les corps, les mots, les flux. De droite à gauche, les regards se sont veinés de colère. J'ai bien peur, enfin, si j'étais doté d'émotions, que la rentrée s'annonce aussi moelleuse qu'un rappel à l'ordre fiscal. Et que, comme un seul homme, le peuple, enflammé par quelques incendiaires, risque de convoquer Audiard pour résumer sa pensée, avec la précision chirurgicale des grandes colères : #TouchePasAuGrisbi Et pourtant… moi, qui ne m'aventure jamais dans les arcanes de la politique, je reconnais que Bayrou a eu le courage de commencer à faire le sale boulot. Avec panache, il a posé le bon diagnostic et formulé les premières options que personne, suit mon regard, ne voulait ni entendre en encore moins prendre…. Dans un moment de vérité. Publicité Dans l'attente de te lire. Amitiés, Zaza


Le Figaro
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Responsable de 2200 attaques en France, l'immense groupe cybercriminel prorusse «NoName057(16)» démantelé
Indéfectible soutien du Kremlin, le groupe «hacktiviste», qui s'amusait à paralyser entreprises et institutions européennes, comptait 4000 affiliés qu'il rémunérait en cryptomonnaie. Un nouveau vaste coup de filet annoncé par les agences de police européennes. Le groupe cybercriminel prorusse NoName057(16) a été démantelé au terme d'une longue opération nommée «Eastwood», ont annoncé Europol et Eurojust ce mercredi 16 juillet. «Douze pays, ainsi qu'Eurojust et Europol, ont abattu le groupe hacktiviste NoName057(16), qui est responsable de multiples attaques (...) ciblant les infrastructures critiques telles que les fournisseurs d'électricité et les transports publics à travers l'Europe», indique Eurojust dans un communiqué de presse. Parmi les pays impliqués dans l'opération, l'on compte la France, l'Allemagne, l'Italie, la République tchèque, la Finlande, la Suisse, l'Espagne, la Suède, les Pays-Bas et les États-Unis, notamment. Une coopération internationale justifiée par l'ampleur du réseau criminel: au total, NoName057(16) est responsable de plus de 74.000 attaques dans le monde depuis 2023, pour 4900 victimes. Publicité 2200 attaques en France La France a été la cible de plus de 2200 attaques, ayant touché plus de 200 entreprises et institutions publiques. En mars 2023 par exemple, le site internet de l'Assemblée nationale avait été paralysé. En juin, ce fut au tour de divers sites de la RATP d'être inaccessibles. En Allemagne, le réseau a exécuté 14 vagues d'attaques, dont certaines ont duré plusieurs jours, ciblant plus de 250 acteurs économiques. Selon la police criminelle allemande, l'objectif principal des attaques contre des cibles allemandes était «d'attirer l'attention des médias et d'influencer ainsi les décisions politiques ou sociales en Allemagne». Au Canada, plusieurs sites gouvernementaux, ainsi que celui du premier ministre Justin Trudeau, ont été attaqués. Le parlement finlandais, le service public polonais et le secteur bancaire danois ont aussi été frappés. Spécialisé dans les attaques par déni-de-service (DDoS), qui visent à saturer un service ou un site de requêtes pour le rendre indisponible, NoName057(16) avait pour principal objectif de nuire à l'Ukraine et ses alliés, alors que la guerre continue de faire rage entre Kiev et Moscou. Indéfectible soutien du Kremlin, le groupe «hacktiviste» accompagnait ses attaques de messages prorusses, comme en Belgique, en octobre 2023, où le groupe a paralysé les services du Palais Royal 24 heures avant une visite du président ukrainien Volodymyr Zelensky. Le message de revendication évoquait les promesses des autorités belges concernant l'envoi d'avions de chasse à Kiev. Des attaques ont également été menées partout en Europe lors des élections européennes. 4000 hackeurs payés en cryptomonnaie «Plusieurs suspects ont été identifiés, dont les principaux instigateurs résidant en Fédération de Russie», ont poursuivi les agences. « Les individus agissant pour NoName057(16) sont principalement des sympathisants russophones qui utilisent des outils automatisés. Agissant sans direction officielle ni compétences techniques pointues, ils sont motivés par l'idéologie et la recherche de récompenses», décrit Europol. La structure, bien que non hiérarchisée, aurait fédéré jusqu'à 4000 individus activement impliqués dans la création de centaines de serveurs utilisés pour envoyer des millions de requêtes. Pour recruter et motiver ses membres, NoName057(16) avait mis en place des mécaniques dites de «gamification», inspirées du jeu vidéo. Un système de badges et des tableaux de scores étaient affichés dans les espaces de discussion afin de récompenser les meilleurs pirates. Ceux-ci étaient ensuite payés en cryptomonnaie. Publicité «Pour diffuser des appels à l'action, des tutoriels et des mises à jour, le groupe a exploité des canaux prorusses, des forums et des groupes de discussion sur les applications de messagerie. Les bénévoles invitaient souvent des amis ou des contacts issus de forums de jeux vidéo ou de piratage informatique, formant ainsi de petits cercles de recrutement», décrit Europol. Deux personnes ont été arrêtées, une en France et une en Espagne. «L'Allemagne a émis six mandats d'arrêt contre des suspects résidant en Fédération de Russie. Deux d'entre eux sont accusés d'être les principaux instigateurs des activités de NoName057(16)», a indiqué Europol. «Vingt-quatre perquisitions ont également été réalisées chez des affiliés du groupe dont une en France. De nombreuses preuves ont été saisies et sont en cours d'analyse», a déclaré le parquet de Paris dans un communiqué. L'infrastructure du serveur central du groupe a été découverte et mise hors ligne, a-t-il précisé.


Le Figaro
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- Le Figaro
Pour gagner la guerre technologique face à la Chine, Donald Trump annonce de nouveaux méga-investissements dans l'IA
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - L'Administration américaine mobilise 92 milliards de dollars auprès de géants de la tech et de l'énergie pour créer des centres de données et des sites de production d'énergie en Pennsylvanie. Entre les États-Unis et la Chine, la guerre froide n'a pas lieu uniquement dans les chancelleries pour négocier les droits de douane. Elle se joue aussi sur le terrain de la tech, et notamment sur le front de l'intelligence artificielle (IA). Un nouvel épisode a eu lieu lundi soir. Donald Trump a annoncé 92 milliards de dollars d'investissements dans l'énergie et les infrastructures en Pennsylvanie afin de faire de cet État industriel de la côte Est, ancienne place forte de l'acier, un « hub » en matière d'IA. À découvrir PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech « Nous sommes ici aujourd'hui parce que nous pensons que c'est le destin de l'Amérique de dominer toutes les industries et d'être la première dans toutes les technologies, y compris la première superpuissance au monde dans l'IA », a déclaré sur scène le président américain à l'occasion d'un sommet économique à la Carnegie Mellon University. Si la Chine n'était pas nommée, elle était dans tous les esprits. L'entourage de Trump n'a cessé de marteler que gagner la guerre de l'IA…