
Ce robot nettoyeur de piscine va rendre votre bassin impeccable (et il est en promo)
Sur le site de son fabricant, le robot écumeur de piscine Dreame J1 s'affiche à 549 euros au lieu de 599 euros.
Capable de se mouvoir à une vitesse maximale de 15 cm/s, le
robot écumeur de piscine Dreame J1
peut fonctionner sur trois modes : Ligne d'eau, Surface et Combiné. Pour paramétrer votre nouvel outil de nettoyage, vous aurez la possibilité de télécharger l'application Dreamehome sur votre smartphone ou votre tablette. Depuis cette interface intuitive servant notamment de télécommande, vous aurez accès à de nombreuses informations, telles que la température actuelle de l'eau. Muni d'un système simple de distribution de chlore, le robot de piscine Dreame J1 embarque un panier filtrant anti-reflux. Cet appareil abrite aussi un collecteur de 5L, que vous n'aurez aucun mal à vider. Pourvu d'une brosse à double rouleau, votre nouveau nettoyeur pourra compter sur sa technologie de détection des bords PoolSense pour éviter les chocs. Doté d'un mode d'accostage automatique, le robot écumeur Dreame J1 est résistant aux UV, aux intempéries et à l'érosion.
Cliquez ici pour
profiter de l'offre sur le robot de piscine Dreame J1

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
43 minutes ago
- Le Figaro
«Nous devrions avoir une électricité encore moins chère qu'il y a quinze ans» : la colère d'Henri Proglio sur la politique énergétique
VIDÉO - L'ancien patron d'EDF (2009-2014) a la parole rare et scrutée. Il était l'invité de l'émission «Points de Vue» (Le Figaro TV) pour livrer sa «vision stratégique» sur l'énergie, lui qui assume une position claire : «nul besoin d'énergies non pilotables supplémentaires» et «nécessité d'étendre l'usage du parc nucléaire existant». L'énergie devient depuis quelques jours le casus belli par excellence, où transparaissent, au sein du gouvernement, deux tendances distinctes fracturant le bloc central. Celle d'une concentration des investissements sur le nucléaire et l'hydroélectrique portée par Bruno Retailleau, Julien Aubert et François-Xavier Bellamy dans Le Figaro, et celle portée par d'autres ministres, aux côtés de figures des Républicains et du chef de l'État lui-même - qui s'est d'ailleurs permis de recadrer son ministre de l'Intérieur à ce sujet - privilégiant l'accélération de la production électrique d'origine éolienne et solaire. Ce mercredi, le Sénat se penche à nouveau sur la programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) - la désormais fameuse «loi Gremillet» - et le débat semble encore loin d'être tranché. Là où les politiques affichent leurs dissensions et se désunissent, l'industriel Henri Proglio privilégie une feuille de route qui a le mérite de la transparence : sortie des règles de tarification du marché européen de l'électricité, allongement de la durée de vie des centrales existantes, fin des investissements publics dans les énergies non pilotables (éolien et photovoltaïque) et retour à un tarif régulé et identique de l'électricité pour tous - particuliers comme industriels - différent du tarif à l'export. Publicité «La priorité d'accès au réseau de l'éolien et du photovoltaïque abîme le nucléaire» Invité de «Points de Vue» (Le Figaro TV), l'ancien patron d'EDF et de Veolia décline ses propositions. «L'éolien et le photovoltaïque ont la priorité d'accès au réseau. Ça abîme le nucléaire qui n'est pas fait pour moduler et cela a même pour conséquence d'augmenter considérablement le prix du nucléaire en plus de le fragiliser», avance Henri Proglio. Qui préfère «investir dans l'extension du parc nucléaire existant. Avec un milliard d'euros par réacteur, on peut gagner vingt ans. Cela ferait environ 50 milliards d'investissements contre déjà 7 et 10 milliards par nouveau réacteur de type EPR2. De fait, cela ferait baisser mécaniquement le prix de l'énergie». À lire aussi Stéphane Bern : «Les lobbys éoliens, avec la complicité de nos politiques, ont réussi à défigurer la France» «En fait, il n'y a pas de raison objective à voir le prix de l'électricité augmenter depuis quinze ans. Le parc électronucléaire et hydraulique français a traversé toutes les turbulences, le monde entier nous l'enviait, et permettait de satisfaire la quasi-totalité des besoins énergétiques de la France. Ce parc est toujours extraordinairement efficace. On n'avait absolument pas besoin d'énergies non pilotables supplémentaires», précise-t-il. «Les Français ont investi au moins 1500 milliards dans le nucléaire et les barrages. L'électricité - dont le prix a pourtant doublé - devrait être encore moins chère qu'il y a quinze ans» Henri Proglio, ancien PDG d'EDF (2009-2014) Dans une colère froide, Henri Proglio regrette un prix de l'électricité dissuasif pour l'électrification des usages et fatal à la réindustrialisation. «Les Français ont investi, depuis 60 ans, entre 1500 et 2000 milliards sur les capacités de production d'électricité. Quand je m'élève contre la déraison qui a fait zigzaguer les pouvoirs publics, c'est parce qu'il faut savoir qu'au vu de ces investissements considérables, nous devrions avoir une électricité encore moins chère qu'il y a quinze ans.» L'exact inverse d'une amère réalité : la facture des Français a doublé depuis 2011. Ce qui amène l'homme d'affaires à plaider pour un tarif national et universel de l'électricité, tout en conservant un tarif de marché à l'export. «Il ne vous a pas échappé que nous avons longtemps eu un tarif régulé de l'électricité, décidé par l'État en concertation avec EDF. Et ça n'a pas empêché EDF de vivre, ça a même permis des profits records et de financer le parc nucléaire. Le prix français était le même prix pour tous les Français et c'était heureux, l'on ne se rendait même pas compte qu'il pourrait en être autrement», ponctue Henri Proglio face à Vincent Roux.


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Ce PC portable gamer HP profite d'une remise rare de 200 euros
Il y a de cela une dizaine d'années, il n'était pas évident de trouver un PC Portable susceptible de proposer une expérience gaming digne de ce nom. Si certains modèles pouvaient faire l'illusion, ils étaient souvent très chers et bon nombre d'utilisateurs se sont retrouvés avec des configurations qui chauffaient énormément, occasionnant des pannes importantes, voire carrément la mise hors-service de composants. Cette miniaturisation de l'informatique a profité de l'avancée technologique et on trouve aujourd'hui des appareils portables bien plus résistants sur la durée. Le HP Victus 16 réunit tout le nécessaire pour profiter de son écran 16,1 pouces avec des options optimales et de beaux graphismes. Le PC portable gamer HP Victus 16 passe au prix de 1199,99 euros au lieu de 1399,99 euros sur Cdiscount. Une telle promotion, c'est une aubaine ! Voici deux codes promo qui vont vous faire plaisir : Si vous avez toujours voulu profiter de jeux vidéo à n'importe quel endroit, le PC portable gamer HP Victus 16 est fait pour vous ! Équipé d'un écran Full HD de 16,1 pouces, le HP Victus 16 embarque un processeur AMD Ryzen 7-7840HS, 32 Go et un espace de stockage de 512 Go en SSD PCIe Gen4 NVMe M.2. La carte graphique, quant à elle, est une NVIDIA GeForce RTX 4070 qui est à même d'accueillir des jeux d'excellence comme Cyberpunk 2077, The Witcher III Wild Hunt, Forza Horizon 5 ou encore Assassin's Creed Shadows. Vous pouvez ainsi profiter d'une résolution de 1920 x 1080 pixels avec de nombreux effets activés et une animation très fluide. En termes de batterie,celle-ci peut tenir jusqu'à 7 heures et 45 minutes, ce qui laisse une marge intéressante pour se divertir. Cliquez ici pour retrouver l'offre de Cdiscount sur le PC portable Gamer HP Victus 16 Les meilleures offres Cdiscount du moment : Offre à durée limitée et dans la limite des stocks disponibles. Voir conditions sur le site Cdiscount


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Guerre en Ukraine : la Russie dit avoir pris une localité dans la région de Dnipropetrovsk, une première
C'est une première depuis le début de l'invasion , en février 2022. La Russie a revendiqué lundi la prise d'une localité dans la région de Dnipropetrovsk , dans le centre-est de l'Ukraine, au moment où les discussions diplomatiques entre Moscou et Kiev sont dans l'impasse. Cette conquête russe, si elle était confirmée par Kiev, constituerait un nouveau revers symbolique pour les forces ukrainiennes. La Russie a aussi de nouveau lancé dans la nuit une centaine de drones et tiré des missiles contre son voisin, faisant au moins quatre morts et plusieurs dizaines de blessés. « La localité de Datchnoïe, dans la région de Dnipropetrovsk, a été libérée », s'est félicitée dans un communiqué l'armée russe, qui avait annoncé début juin mener une « offensive » inédite dans cette partie de l'Ukraine. Elle a en outre diffusé une vidéo censée montrer ses soldats dans ce village à environ 70 kilomètres à l'ouest de la grande ville de Donetsk, sous contrôle russe. L'Ukraine n'a pas réagi dans l'immédiat à cette annonce russe mais, plus tôt lundi, l'état-major de ses forces armées avait assuré que des assauts russes avaient été « repoussés » la veille « dans les environs » de Datchnoïe. Dimanche, une unité ukrainienne combattant dans le secteur avait quant à elle affirmé toujours « contrôler » Datchnoïe. Elle avait également dénoncé les « fausses informations » en provenance de Moscou concernant une avancée dans cette zone et publié une vidéo montrant, d'après elle, le drapeau ukrainien au-dessus d'un bâtiment à Datchnoïe. « Nous sommes là et nous sommes prêts à nous battre jusqu'au bout ! Nous ne céderons pas un seul mètre de notre territoire sans nous battre », avait également assuré cette unité. Une réelle progression russe dans la région de Dnipropetrovsk aurait une valeur stratégique sur le terrain, en pleines discussions diplomatiques poussives en vue d'un règlement du conflit. Le président russe Vladimir Poutine maintient toujours ses demandes maximalistes , en premier lieu que Kiev cède à la Russie les régions ukrainiennes annexées et que l'Ukraine renonce à rejoindre l'Otan. Des conditions inacceptables pour les dirigeants ukrainiens et leurs alliés occidentaux. L'Ukraine, pour sa part, exige que l'armée russe se retire entièrement de son territoire, occupé à hauteur d'environ 20%. Avant l'assaut russe à grande échelle de février 2022, quelque trois millions de personnes vivaient dans la région ukrainienne de Dnipropetrovsk, dont environ un million dans la capitale régionale, Dnipro, qui est régulièrement la cible de frappes meurtrières russes. De nombreux Ukrainiens, fuyant les combats dans les régions orientales de Donetsk et de Lougansk, y ont trouvé refuge après l'offensive initiale des troupes russes il y a près de trois ans et demi. L'annonce par la Russie de la prise de Datchnoïe intervient à un moment où son armée poursuit son pilonnage des villes et villages d'Ukraine. Dans la nuit de dimanche à lundi, elle a tiré quatre missiles et envoyé 101 drones, dont 75 ont été interceptés par la défense antiaérienne ukrainienne, faisant au moins quatre morts et plusieurs dizaines de blessés dans plusieurs régions, selon les autorités ukrainiennes. Dans la ville de Kharkiv, un journaliste de l'AFP a vu des civils être évacués d'un bâtiment, après qu'il avait été endommagé par un tir russe. Certains ont dû se réfugier dans des abris non loin, seulement quelques affaires et leurs animaux de compagnie sous les bras. D'après l'armée ukrainienne, les forces russes ont notamment frappé deux centres de recrutement militaire, à Kharkiv et Zaporijjia, y faisant au moins quatre blessés, selon un bilan provisoire. L'armée russe, pour sa part, s'est targuée d'avoir « touché » ces sites, ainsi que d'autres cibles du complexe militaro-industriel ukrainienne. Face à l'intensification des attaques russes, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a une nouvelle fois martelé que la livraison de systèmes de défense antiaérienne par les Occidentaux demeurait « la priorité absolue ». Mais les Etats-Unis, jusqu'à récemment le premier soutien militaire de l'Ukraine, ont annoncé la semaine dernière avoir interrompu la fourniture de certaines armes, y compris des munitions de systèmes de défense Patriot , qui permettent de limiter l'ampleur des bombardements russes.