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Écriture simple, TikTok... Comment la saga La Femme de ménage a réussi à verrouiller le top des meilleures ventes de livres en France

Écriture simple, TikTok... Comment la saga La Femme de ménage a réussi à verrouiller le top des meilleures ventes de livres en France

Le Figaro4 days ago
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ANALYSE - Les romans de l'auteur américaine Freida McFadden occupent le top 4 des meilleures ventes de juillet. Tous titres confondus, elle cumule près de 3 millions d'exemplaires écoulés dans le pays.
En vitrine des librairies de gare et d'aéroport, l'œil de biche de Millie, la protagoniste du roman La Femme de ménage, observe les vacanciers derrière le trou d'une large serrure. Deux ans après la sortie en France du premier volume, les couvertures bien identifiables de la saga à suspense signée Freida McFadden sont toujours en tête de gondole. Et pour cause : trois des quatre tomes de la série – La Femme de ménage (J'ai lu), La femme de ménage se marie (City Publishing) et Les Secrets de la femme de ménage (J'ai lu) – se classent au sommet du podium des meilleures ventes de livres en juillet, selon les données d'Edistat.
À lire aussi 13 livres qu'on a honte de ne pas avoir lus à 50 ans
Le récit d'une domestique au service d'un mystérieux couple de New-Yorkais fortunés bénéficie d'un « pic de ventes à la faveur des premiers départs en vacances », observe Marie Foache, responsable des relations presse chez J'ai lu. Les ventes du premier tome de la série ont ainsi augmenté de plus de 30 % en deux semaines, passant de 28.000 copies hebdomadaires…
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Affaire Bertrand Cantat : les parents de Krisztina Rady sont opposés à la réouverture du dossier de leur ex-gendre
Affaire Bertrand Cantat : les parents de Krisztina Rady sont opposés à la réouverture du dossier de leur ex-gendre

Le Figaro

time7 minutes ago

  • Le Figaro

Affaire Bertrand Cantat : les parents de Krisztina Rady sont opposés à la réouverture du dossier de leur ex-gendre

Le 10 janvier 2010, Krisztina Rády, ex-femme du chanteur de Noir Désir et mère de ses deux enfants, se donnait la mort. Quinze ans plus tard, l'enquête a été rouverte mais ses parents s'y opposent et «souhaitent l'apaisement». Les parents de Krisztina Rady, l'épouse de Bertrand Cantat retrouvée pendue chez elle en 2010, s'opposent à l'enquête sur «d'éventuels faits de violences volontaires» commis par leur ex-gendre, rouverte fin juillet par le parquet de Bordeaux, a indiqué vendredi leur avocat. Le procureur de Bordeaux a motivé sa décision par les nouveaux éléments apparus dans un récent documentaire sur Netflix consacré au chanteur de Noir Désir, condamné en 2003 pour le meurtre de Marie Trintignant. Publicité Quatre procédures sur les circonstances de la mort de Krisztina Rady ont déjà été ouvertes et classées sans suite: la première après son décès au domicile conjugal à Bordeaux début 2010, puis en 2013, 2014 et 2018. «Aujourd'hui les parents souhaitent l'apaisement et ne comprennent pas l'acharnement concernant ce dossier, notamment en prétendant que leur gendre aurait commis un suicide forcé», explique Me Tibor-Louis Leh. Lettre d'adieu dévoilée cette semaine Il fait notamment référence au documentaire «De rockstar à tueur: le cas Cantat», «particulièrement à charge», selon lui. Le film évoque une lettre d'adieu de Krisztina Rady, dévoilée cette semaine par Paris Match, où elle écrit : «Merci aux cris incessants et aux accusations de Bertrand, dépositaire exclusif de souffrance». Mais elle cite également deux autres hommes, «lamentables petits caporaux», et deux femmes qui l'ont fait «souffrir». Me Leh évoque également une autre lettre d'adieu, en possession des parents, laquelle «ne fait aucune allusion à Bertrand Cantat» mais mentionne «un contentieux financier d'ordre professionnel». «Beaucoup de raisons complexes pour lesquelles elle s'est suicidée» Après la mort de Krisztina, ses parents ont évoqué à plusieurs reprises la «violence» de Cantat, qui «d'une certaine manière, terrorisait» leur fille. Mais dès 2013, ils se sont dit, par le biais de leur avocat, convaincus que Bertrand Cantat «n'est vraisemblablement pas la seule personne impliquée» et «qu'il y a beaucoup d'autres raisons complexes pour lesquelles elle s'est suicidée». Krisztina Rady, femme de lettres, de théâtre et traductrice, avait rencontré Bertrand Cantat en 1993, lors d'un festival à Budapest. Marié en 1997, le couple a eu deux enfants et n'a jamais divorcé même s'il s'est séparé lors de la naissance de leur fille, après la rencontre entre le chanteur et Marie Trintignant. Krisztina Rady avait apporté un soutien inconditionnel à Bertrand Cantat lors de son procès en Lituanie pour le meurtre de l'actrice, pour lequel il a été condamné à huit ans de prison.

« Tout le monde peut chanter aussi faux qu'il le souhaite » : la folie du karaoké gagne Troyes
« Tout le monde peut chanter aussi faux qu'il le souhaite » : la folie du karaoké gagne Troyes

Le Parisien

time2 hours ago

  • Le Parisien

« Tout le monde peut chanter aussi faux qu'il le souhaite » : la folie du karaoké gagne Troyes

« Cosy, sympa, stylé. » Ce sont les trois premiers mots qui viennent en tête des clients du flambant neuf Musikall Bar Karaoké Box situé dans la rue de la Monnaie, à l'entrée du centre-ville de Troyes (Aube). « Ça nous correspond bien », sourit Lucile Henriot, la gérante des lieux, qui propose depuis le 25 juillet 2025 des salles privatives pour chanter sans complexe. « Il n'en existe pas beaucoup en France. C'est un concept qui est importé d'Asie. On a voulu lui apporter une touche de chic, de standing, pour en faire quelque chose de sympa. » Jusqu'ici plutôt installés dans des grandes villes , de Lille à Bordeaux en passant par Paris, Metz ou Montpellier, ces bars spécialisés dans les salles privatives de karaoké commencent à faire des petits dans les villes de plus petite taille. À Troyes, le projet est porté par le marnais Olivier Stroh, dirigeant du groupe Obomo et patron de l'Atrium, un énorme complexe hybride entre restaurant et boîte de nuit sur Reims (Marne). En parallèle et toujours dans la cité des sacres, l'homme bien implanté dans l'événementiel a développé dès 2020 l'un des premiers complexes de Karaoké Box situé hors de Paris. Un succès qu'il a eu envie de dupliquer sur Troyes. Lucile Henriot, qui a exercé plusieurs jobs dans la vente et la responsabilité de franchises, n'a pas hésité à postuler. « Je découvre quand même la mixologie, le service, les plateaux dans des escaliers », sourit-elle. « Mais on est sur un principe d'accueil et de gestion des clients. Ils sont complètement autonomes dans ce qu'ils font en salle, ce n'est pas la même chose qu'un bar classique. » Accompagnée durant les premiers jours par son patron, Lucile maîtrise désormais la gestion des lieux : le bar situé à l'entrée, et bien sûr les six salles privatives, pouvant accueillir de 4 à 6 personnes, pour les plus petites, jusqu'à 18 personnes pour la plus grande. Chacun de ces espaces est doté d'un style différent, inspiré de l'Art déco. « Il faut réserver en amont sur le site, sur un créneau de 1h30 jusqu'à 5 heures », indique la géra. « À votre arrivée, je vous installe dans la salle et je vous explique comment ça fonctionne. » À l'intérieur, des banquettes, des tables et, bien sûr, un écran pour suivre les paroles, une télé entourée de deux tablettes à disposition de la clientèle. « La première sert à créer les playlists. On travaille avec Karafun, qui a plus de 60 000 références de chansons. On peut utiliser la fonction recherche en tapant le nom de l'artiste ou de la chanson, ou en cherchant des playlists des chansons les plus chantées. » Chanson française, K-pop, metal, générique de dessins animés… il y en a pour tous les goûts. Après avoir sélectionné l'indémodable « J'irai où tu iras » de Céline Dion et Jean-Jacques Goldman, Lucile Henriot se saisit alors du micro pour une démonstration. « On peut avoir plus ou moins d'aide sur les textes, voire pas du tout quand on est des pros », poursuit-elle. « La seconde tablette permet de contrôler toutes les lumières, les différentes ambiances de la salle. On peut aussi ajuster le volume de la musique et des micros. Et commander tout ce qui est boissons et planches à partager, une commande qui arrive directement au bar avec une notification. Je ramène alors tout en salle auprès des gens qui s'amusent. » Les chanteurs peuvent s'époumoner sans souci, les espaces ayant été isolés en conséquence. « Tout le monde peut chanter aussi faux qu'il le souhaite », confirme Lucile en riant. Coté tarifs, « cela dépend du temps, de la salle et du nombre de personne, du jour et de l'heure de la nuit. En moyenne, c'est à partir d'un peu plus de 10 euros par personne, si on remplit la salle complètement », précise-t-elle. Des anniversaires aux enterrements de vie de garçon ou de jeunes filles en passant par les soirées d'entreprise, le Musikall de Troyes vise un large public. Une semaine après le lancement, les premiers retours sont positifs. « Le concept est vraiment bien. Ça nous a défoulées et l'absence de réseau mobile dans les salles du bas nous a permis de passer un vrai bon moment », se réjouit Mélinda, une cliente venue avec quelques amies. Reste à savoir si les amateurs de karaoké seront durablement au rendez-vous. Si l'exemple marnais se reproduit, le poste de Lucile Henriot ne semble pas menacé. « À Reims, ça marche très très bien ! Pour réserver les week-ends, il faut s'y prendre trois mois à l'avance. À Troyes, on n'en est pas encore là, mais on espère être au même niveau. Le public n'est pas tout à fait le même non plus, mais on s'adaptera », indique-t-elle.

Kim Kardashian a trouvé une nouvelle façon de nous complexer avec son dernier accessoire
Kim Kardashian a trouvé une nouvelle façon de nous complexer avec son dernier accessoire

Le HuffPost France

time2 hours ago

  • Le HuffPost France

Kim Kardashian a trouvé une nouvelle façon de nous complexer avec son dernier accessoire

PEOPLE - Après les vêtements gainant pour les fesses, les cuisses et le ventre, va-t-on devoir en porter maintenant sur le visage? C'est en tout cas le message que Kim Kardashian semble vouloir nous faire passer, d'après le dernier produit aux airs d'accessoire de compression postopératoire qui a pris place sur le site de sa marque SKIMS, ce mardi 29 juillet. Baptisé « Seamless Sculpt Face Wrap », ledit masque, commercialisé à 62 euros, promet à ses utilisateurs et utilisatrices de raffermir les joues, le cou et le menton, ainsi que de les maintenir en place. Disponible en deux coloris (marron foncé ou couleur chaire), il est d'ores et déjà en rupture de stock à l'heure où nous écrivons ces lignes. Et ce, malgré son apparence déconcertante. Celui-ci ressemble en effet étrangement « aux bandages portés par les patients ayant subi une chirurgie esthétique intensive », comme l'a estimé un médecin de Beverly Hills du nom de Jonathan Sykes dans les colonnes du New York Times. Kim Kardashian, elle, revendique un vêtement fabriqué dans le même tissu sculptant qui a fait la renommée de ses shorts et débardeurs. Lancée en 2019, sa marque de sous-vêtements et de shapewear SKIMS s'est depuis étendue plus largement aux maillots de bain et au prêt-à-porter, dont une collection d'articles de sport en collaboration avec Nike. Après moins de dix ans d'activité, son entreprise a été évaluée à 4 milliards de dollars en bourse. Une réussite commerciale, qui lui a ouvert les portes de Harvard, où l'influenceuse a notamment été invitée en 2023 pour parler de son business model. Selon la presse spécialisée, l'arrivée du nouvel accessoire sculptant est une stratégie visant à intégrer désormais les produits de beauté sous le giron de sa société, après la fermeture de sa marque de cosmétiques et de maquillage SKKN by Kim, au mois de juin dernier. Une manière, aussi, de « capitaliser sur le look qu'elle a probablement obtenu grâce à des traitements beaucoup plus coûteux et invasifs », estime pour sa part Jessica DeFino, journaliste beauté derrière la newsletter Review of Beauty. Si Kim Kardashian et ses sœurs ont commencé il y a peu à parler publiquement des interventions chirurgicales auxquelles elles ont eu recours, leur mea culpa consistant à dénoncer les standards de beauté dont elles sont elles-mêmes victimes interroge. Les standards de beauté, selon les Kardashian Promotion de sucettes coupe-faim ou de thé détox, utilisation récurrente de Photoshop ou de filtres pour modifier leur image sur les réseaux sociaux… Depuis de longues années, les richissimes sœurs ont été pointées du doigt pour entretenir des normes de minceur irréalistes auprès de leurs centaines de millions d'abonnés sur Instagram. Bouches pulpeuses, fesses généreuses… Même si elles sont longtemps restées discrètes sur leur recours au bistouri, les cinq femmes ont inspiré de nouveaux canons de beauté, comme la silhouette « sablier », et auraient contribué au boom de la chirurgie et médecine esthétiques, d'après plusieurs études. En 2016, l'American Society for Plastic Surgeons a, par exemple, observé une forte augmentation d'injection de fillers dans les lèvres, peu de temps après que Kylie Jenner a parlé de la procédure. Et d'après ce même organisme en 2018, les chirurgies d'augmentation des fesses par lipofilling (Brazilian Butt Lift) ont augmenté de 256 % depuis 2000. Quelles vont être les conséquences du masque gainant désormais proposé par l'aînée du clan ? Mystère. Si les critiques à son égard et le fait qu'il soit déjà en rupture de stock témoignent d'une division dans l'opinion, celui-ci ne laisse pas indifférent. Pas même Anthony Hopkins. Non sans ironie, l'acteur américain s'en est moqué sur Instagram, ce jeudi, pour le comparer au sien dans Hannibal Lecter.

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