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Articles connexes


Le Parisien
26 minutes ago
- Le Parisien
Comme en Australie, on « CoastSnap » dans l'Hérault pour surveiller l'érosion du trait de côte
Les usagers des plages de l'Hérault, touristes comme locaux, sont mis à contribution par le conseil départemental pour surveiller et comprendre l'évolution du trait de côte (la limite entre les parties immergée et émergée de la plage). L'initiative, lancée en 2017 en Australie, s'appelle CoastSnap et a déjà été reprise par le Morbihan et l'Aude ainsi qu'en région Nouvelle-Aquitaine. « Nous avons installé juste avant l'été trois bornes en bordure de plage pour permettre à quiconque muni d'un smartphone de faire une photo du littoral et de nous l'envoyer, explique Cécile Villatte, chef du service Eau, risques et littoral. Un cadre en bois a été installé spécialement pour cela : on y pose son téléphone pour que la photo soit toujours prise sous le même angle. Il suffit ensuite de scanner un QR code qui renvoie sur la page Internet où l'on dépose anonymement son cliché. » « Rien que la première semaine d'août, nous avons reçu une trentaine de photos » Les trois premières bornes sont situées à Frontignan-plage au bout de l'impasse des Puffins, au Grau d'Agde, au niveau de l'embouchure de l'Hérault, et à l'entrée de la plage du Petit Travers à Mauguio-Carnon. « Rien que la première semaine d'août, nous avons reçu une trentaine de photos. C'est un bon début. Tout le monde entend parler du recul du trait de côte, des effets du changement climatique, mais il important de continuer à sensibiliser en impliquant davantage les usagers pour qu'ils se rendent vraiment compte de ce qui se passe », insiste Cécile Villatte.


Le Figaro
26 minutes ago
- Le Figaro
Canicule : à Bordeaux, les piscines seront exceptionnellement ouvertes le 15 août
La Gironde reste placée en vigilance orange canicule. À la veille de ce week-end prolongé, la mairie a décidé de renforcer ses mesures de prévention. Tout pour se rafraîchir. Alors que le week-end s'annonce encore (très) chaud à Bordeaux, avec des températures qui vont avoisiner les 40 degrés Celsius, la municipalité a annoncé des nouvelles mesures pour affronter l'épisode caniculaire. Ce vendredi 15 août, trois piscines municipales habituellement fermées les jours fériés (Judaïque-Jean Boiteux, Galin et Georges Tissot) accueilleront le public de 15h à 20h. Jusqu'à la fin de l'alerte orange, l'ensemble des piscines prolongera également ses horaires jusqu'à 20h. La plage de Bordeaux-Lac bénéficiera également d'une surveillance renforcée jusqu'à 20h. Les musées municipaux, tous climatisés, resteront ouverts de 11h à 18h, jusqu'à dimanche. Les parcs et jardins conservent leurs horaires étendus, jusqu'à 23h. Publicité 19 sites équipés de brumisateurs Le centre Jean-Moulin reste ouvert pour recevoir quotidiennement les sans-abri de 13h à 22 h, avec l'appui de la réserve citoyenne métropolitaine et des associations partenaires. Un accès aux douches sera également proposé place Pey Berland, en face de la mairie, dans des camions de la Croix-Rouge, de 13h à 22h. La municipalité rappelle que «19 sites équipés de brumisateurs et de nombreux points d'eau potable sont également à disposition dans la ville». La mairie annonce également que le Centre communal d'action sociale (CCAS) et les médiateurs accentuent leur présence dans les rues. Ils distribueront des bouteilles d'eau, délivreront des messages de prévention et orienteront les Bordelais et les touristes vers les points d'accueil et de rafraîchissement.


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Virus du Nil occidental : les deux malades détectés en Seine-Saint-Denis sont sortis de l'hôpital
Au lendemain de l'annonce de la détection de deux cas autochtones — c'est-à-dire résultant d'une contamination sur place — du virus du Nil occidental (West Nile) en Île-de-France, l'agence régionale de santé d'Île-de-France (ARS IDF) donne des précisions sur l'état de santé de ces deux malades détectés en Seine-Saint-Denis début août. Le premier cas, recensé le 1er août, est âgé de 64 ans et le second, recensé le 5 août, est âgé de 25 ans. « Ils ne faisaient pas partie de personnes à risque de forme grave, indique l'ARS IDF. Les patients ont été hospitalisés, toutefois leur évolution a été favorable et ils sont tous les deux rentrés à domicile. » Ce virus, qui avait déjà été détecté dans le Var cet été, est transporté par les oiseaux et transmis aux humains par les moustiques du genre Culex, une espèce distincte du moustique-tigre. « Une maladie à déclaration obligatoire » Si l'infection passe en grande majorité inaperçue, elle peut aussi donner des symptômes comme « un syndrome pseudo-grippal (fièvre importante accompagnée de maux de tête, douleurs musculaires ou abdominales, nausées, diarrhées), détaille l'ARS. Dans de rares cas (moins de 1 %), des complications neurologiques (méningite, encéphalite) peuvent survenir. » C'est un médecin hospitalier qui a détecté l'infection des deux malades de Seine-Saint-Denis, en réalisant un prélèvement sanguin ou un test PCR. Le virus du Nil Occidental étant une « maladie à déclaration obligatoire », il en a ensuite informé l'ARS.