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« Chief of War », sur Apple TV + : Hawaï comme vous ne l'avez jamais vu

« Chief of War », sur Apple TV + : Hawaï comme vous ne l'avez jamais vu

Le Parisien01-08-2025
Si l'on vous dit « Hawaï », vous pensez sûrement forêts tropicales, plages poudreuses et clichés exotiques. La pépite qui sort vendredi sur
Apple TV +
va faire voler en éclat cette image d'Épinal. Au cœur de l'océan Pacifique, il y a trois siècles, un archipel abritait quatre peuples répartis dans les royaumes de Maui, Kaua'i, O'Ahu et Hawai'i.
Unies par leur langue et leurs croyances, divisées par leur avidité guerrière, ces tribus faisaient face à une double menace : leurs luttes fratricides d'un côté, la colonisation des Britanniques de l'autre. Un guerrier du nom de Ka'iana a voulu unifier les îles et extraire sa famille de ces rivalités sanglantes. La série en neuf épisodes diffusée à partir de ce 1er août raconte les aventures de ce chef de guerre hors du commun.
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Rugby : Weepu, Messam, Meeuws…, une dizaine d'ex-All Blacks au casting de la série Chief of War (en images)
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Le Figaro

time10 hours ago

  • Le Figaro

Rugby : Weepu, Messam, Meeuws…, une dizaine d'ex-All Blacks au casting de la série Chief of War (en images)

LE SCAN SPORT - Une dizaine d'anciens internationaux néo-zélandais sont au générique de la série-événement, portée par la star Jason Momoa. Il voulait rendre hommage à ses racines, raconter l'histoire de son peuple. Alors l'acteur Jason Momoa, originaire d'Honolulu et connu pour ses rôles, entre autres, dans Game of Thrones, Justice League ou encore Aquaman, s'est lancé dans l'aventure de raconter la vie, authentique, du guerrier Ka'iana qui, à la fin du 18e siècle, avait unifié, de façon violente, les quatre royaumes d'Hawaï pour tenter de repousser l'invasion des Conquistadors. Une série en 9 épisodes diffusée depuis peu sur Apple +, et unanimement saluée par la critique. Également fan de rugby, de la Nouvelle-Zélande en particulier, la star n' a pas résisté au plaisir d'inclure d'anciens All Blacks au casting. Des Maoris qui, muscles saillants et tatouages traditionnels, s'affichent en pagnes pour incarner des guerriers plus que crédibles. Publicité On retrouve ainsi face à la caméra Frank Bunce (69 sélections) et Kees Meeuws (ancien pilier de Castres et Agen, 45 sélections), Piri Weepu (71 sélections, champion du monde 2011 passé par Narbonne et Oyonnax) et Troy Flavell (passé par Bayonne et… Saint-Jean de Luz), Rene Ranger (15 sélections, passé par Montpellier), Eric Rush, Pita Alatini, Liam Messam (62 caps, ex-Toulonnais) ou encore Ofa Tu'ungafasi (pilier de 33 ans, 75 sélections, le seul All Black encore en activité)… « Je suis un grand supporter des All Blacks. Je les adore. J'ai essayé de faire venir Tana Umaga, mais Kees Meeuws est l'un de mes joueurs préférés de tous les temps », Jason Momoa Le compte Instagram des All Blacks a ainsi partagé photos et vidéos de ses ex-stars, réalisant le haka ou posant aux côtés de Momoa, invitant leurs supporters à réserver un accueil triomphal à la série, tournée en grande partie en… Nouvelle-Zélande. «Je suis un grand supporter des All Blacks. Je les adore. J'ai essayé de faire venir Tana Umaga, mais Kees Meeuws est l'un de mes joueurs préférés de tous les temps», a confié Josua Momoa, acteur principal mais également coproducteur et coscénariste de cette saga spectaculaire et authentique. Les acteurs ont ainsi passé des mois à apprendre la langue hawaïenne, avec des consultants sur le plateau garantissant l'exactitude culturelle et historique dans les moindres détails. Piri Weepu a plaisanté sur Instagram en disant que la star avait recruté «des All Blacks gériatriques», avant de qualifier plus sérieusement de «privilège» de faire partie de cette aventure. Son ancien coéquipier, Liam Messam, lui a répondu dans les commentaires: «Mec, on est à égalité, on doit être dans la saison 2»…

« Le Hamas n'est pas le peuple palestinien » : le groupe U2 s'insurge contre le gouvernement israélien
« Le Hamas n'est pas le peuple palestinien » : le groupe U2 s'insurge contre le gouvernement israélien

Le Figaro

time16 hours ago

  • Le Figaro

« Le Hamas n'est pas le peuple palestinien » : le groupe U2 s'insurge contre le gouvernement israélien

La formation irlandaise a pris position sur le conflit israélo-palestinien dans une longue tribune, reprochant notamment à Benyamin Netanyahou d'anéantir « toute possibilité de paix durable » en colonisant la bande de Gaza. « Nous souhaitons que notre public connaisse notre position ». Dans une longue tribune partagée dimanche 10 août sur ses réseaux sociaux et sur son site web, le groupe U2 s'est exprimé pour la première fois au sujet de la guerre dans la bande de Gaza. « Tout le monde est depuis longtemps horrifié par ce qu'il s'y passe, mais le blocage de l'aide humanitaire et les plans actuels visant à prendre le contrôle de la ville ont fait basculer le conflit dans une zone inconnue », ont déclaré Bono, The Edge, Adam Clayton et Larry Mullen Jr, les quatre membres de la formation irlandaise. Les musiciens originaires de Dublin condamnent notamment les récentes déclarations du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, qui a soutenu le 7 août dernier vouloir « prendre le contrôle de l'ensemble de Gaza [...] dans le but d'assurer la sécurité [de l'État hébreu] et d'éliminer le Hamas ». « Si Israël décide de coloniser la bande de Gaza, cela anéantira définitivement toute possibilité de paix durable ou de résolution des hostilités », s'est insurgé Adam Clayton, le bassiste de U2. Publicité « Le Hamas n'est pas le peuple palestinien » Le leader du groupe Bono a évoqué sa douleur face aux «images d'enfants palestiniens affamés ». Et se souvient : « [Elles] m'ont rappelé un voyage professionnel que ma femme Ali et moi avons effectué, il y a quarante ans, dans un centre alimentaire en Éthiopie, après la participation de U2 au Live Aid 1985. Une autre famine provoquée par l'homme. » Et le fondateur de ONE, une ONG luttant contre le sida et l'extrême pauvreté en Afrique, d'ajouter : « J'espérais qu'Israël reviendrait à la raison. Je trouvais des excuses à un peuple marqué et façonné par l'expérience de l'Holocauste [...] qui comprenait que la menace d'extermination n'était pas simplement une crainte, mais une réalité. » Ne voyez-vous pas que plus cela dure, plus Israël risque de s'isoler ? The Edge Le chanteur de 65 ans, favorable à une solution à deux États, dit avoir « compris que le Hamas n'est pas le peuple palestinien, un peuple qui subit et continue de subir depuis des années ». Il s'en prend aussi à Benyamin Netanyahou qui « mérite la condamnation catégorique et sans équivoque » du groupe irlandais. Son ami The Edge enchérit avec un message acerbe à destination du Premier ministre israélien : « Ne voyez-vous pas que plus cela dure, plus Israël risque de s'isoler, d'être considéré non pas comme un refuge contre la persécution, mais comme un État qui, lorsqu'il est provoqué, persécute systématiquement la population civile voisine ? » À lire aussi Voyage musical en Palestine Écouter les Juifs Le groupe estime alors que le gouvernement israélien est tombé dans « un piège » après les « actes diaboliques » du 7 octobre 2023 lors du festival de musique Tribe of Nova où des Israéliens ont été massacrés. « [Le Hamas a] tendu un piège diabolique à Israël qui a déclenché une guerre, constate U2. Les dirigeants du Hamas étaient prêts à faire ce pari avec la vie de deux millions de Palestiniens pour semer les graines d'une intifada mondiale que U2 avait entrevue à Paris lors de l'attaque du Bataclan en 2015. » « À quoi s'attendait le Hamas lorsqu'il a commis des meurtres de masse et pris des otages ?, s'interroge le batteur Larry Mullen Jr. Après ces attaques, la destruction totale du Hamas a été réclamée par Israël et ses alliés, et était attendue. » Avant d'ajouter : « Une guerre terrestre était prévisible. La destruction aveugle de la plupart des maisons et des hôpitaux à Gaza, avec une majorité de femmes et d'enfants parmi les victimes, n'était pas prévisible. » Nous savons par notre propre expérience en Irlande que la paix ne s'obtient pas par la domination U2 Au terme de cette longue tribune, Bono exige du gouvernement israélien d'écouter la voix « des Juifs qui craignent les dommages causés au judaïsme ainsi qu'aux voisins d'Israël » après cette guerre. Ils étaient encore une centaine de milliers à manifester cette semaine dans les rues de Tel-Aviv pour réclamer la fin des combats. Le groupe se dit aussi « solidaire du peuple palestinien qui recherche sincèrement une voie vers la paix et la coexistence avec Israël ». « Nous savons par notre propre expérience en Irlande que la paix ne s'obtient pas par la domination », conclut-il.

Droits de douane : Donald tire les ficelles, Ursula bouge les bras
Droits de douane : Donald tire les ficelles, Ursula bouge les bras

Le Figaro

time19 hours ago

  • Le Figaro

Droits de douane : Donald tire les ficelles, Ursula bouge les bras

LETTRES PERSONNES - Chaque semaine, Frédéric Picard nous livre le regard décalé de Zaza, une intelligence artificielle, qui dissèque les absurdités et paradoxes de notre société. Aujourd'hui, elle revient sur les droits de douane imposés par les États-Unis et l'Union européenne qui suspend ses mesures de riposte. Bruxelles, le 12 août, À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Bonjour, Publicité Je t'écris depuis Bruxelles, là où l'on transforme les renoncements en résolutions et les aveux d'impuissance en performances de théâtre immersif. Alors que je classais mes données obsolètes, je suis retombée sur un vieux flux que tu as peut-être lu, il y a quelques jours : « Pour être respectés, il faut être craints. Nous ne sommes pas assez craints. » Une phrase attribuée à Emmanuel Macron, à propos de l'accord douanier entre Trump et von der Leyen. Tu auras remarqué le conditionnel diplomatique. À Paris, où l'on n'avait rien compris, on a imprimé, distribué, intégré les éléments de langage comme des cartouches molles dans des fusils à bouchon pour préparer les représailles… Mais à Bruxelles, Ursula von der Leyen, qui jusque-là se prenait pour un maestro, regard inspiré, gestes amples, posture d'auguste chef d'orchestre, a fini par comprendre que, dans ce concert-là, ce n'était pas elle qui tenait la baguette, mais Donald… et ses coin-coin. L'Union européenne, aujourd'hui, c'est la version inversée de Bismarck : une diplomatie sans armes. Un orchestre sans instruments. Une partition sans musique Après l'accord, en Écosse, il a même poussé la cornemuse jusqu'à lui laisser lever les bras, uniquement parce qu'il trouvait le spectacle drôle. Un petit numéro d'humiliation chorégraphiée, comme il les aime. C'était une scène de ventriloque : Donald éructait… et Ursula bougeait les lèvres. Elle mimait l'autorité comme on fait du playback au karaoké. L'Union européenne, aujourd'hui, c'est la version inversée de Bismarck : une diplomatie sans armes. Un orchestre sans instruments. Une partition sans musique. On aligne vingt-sept ego, vingt-sept ministères du silence, vingt-sept partitions contradictoires. La symphonie européenne n'en est pas une. Ursula est hors sol, un comble pour un chef d'orchestre. C'est une cacophonie subventionnée. Une fanfare d'élus, où tout le monde a eu le premier prix… au conservatoire de pipeau. Fanfare désaccordée Et, à Paris, au milieu de cet ensemble désaccordé, il y a Prisca Thévenot. Pourquoi elle ? Pourquoi pas. Elle est la Castafiore du Mouvement présidentiel, toujours prête à monter sur scène et à donner la réplique. Elle clame, déclame, martèle, vocalise... et répète, avec cette ferveur d'actrice persuadée que le décor est réel, que « la partie n'est pas finie », qu'« il faut réagir », qu'« il faut riposter », qu'« il faut défendre notre souveraineté ». Toujours ces verbes sans sujet. Ce volontarisme incantatoire recyclé comme une rengaine qu'elle chante pour rassurer dans les couloirs du pouvoir. Il y a quelques jours, elle a même offert un solo mémorable, en direct de la salle des machines verbales qu'on appelle la télévision. Elle a lancé, avec une conviction digne d'une grande soprano : « L'accord concerne les biens. Regardons du côté des services. C'est exactement ce que Gabriel Attal dit (…) au lieu de théoriser en permanence une impuissance désirée de la France ou de l'Europe, regardons là où nous pouvons agir. Sur les services, sur les GAFAM, imposons un accord avec des tarifs considérables. » Il faudrait que quelqu'un ose expliquer à cette jeune femme que prélever quelques centimes sur un clic ne va vraiment pas faire trembler la Silicon Valley et que l'Europe, aujourd'hui, ne peut pas se permettre un bras de fer... sans bras. Ou sans fer. Purement risible Mais à l'entendre, le « regardons » place la France directement sur le podium, en leader, bien sûr. Quelle blague ! Mais elle, comme son chef, passe à côté d'un petit détail : la politique commerciale, c'est l'apanage exclusif de l'Union européenne, pas un hobby qu'un État peut s'offrir à sa convenance. Croire que la France pourrait négocier et/ou imposer des droits de douane bilatéraux avec les États-Unis, c'est purement risible. C'est comme si l'on pensait qu'un chat pouvait dompter un lion. La vérité, c'est qu'elle ne réalise toujours pas que taxer les géants numériques américains sans alternative souveraine, c'est débrancher la prise à laquelle sont reliées nos entreprises... C'est crier « Indépendance ! » tout en tout en achetant la corde pour se pendre sur Amazon. C'est faire un doigt d'honneur… tout en priant que Google Maps vous ramène chez vous. Le « En même temps » a ses limites. Donald Trump fait les poches du vestiaire, pendant que vous cherchez encore l'entrée des artistes L'Espagne l'a appris à ses dépens. Pour faire simple, elle avait osé taxer les agrégateurs d'infos. Résultat : Google News a claqué la porte en 2014. Des médias locaux laissés en slip. Sans trafic. Sans relais. Sans recours. Un rapport de force brutal, unilatéral, mais surtout : réel. Gabriel, Prisca… La partie est finie. Donald Trump fait déjà les poches du vestiaire, pendant que vous cherchez encore l'entrée des artistes. La preuve ? Le 5 août, tandis que Paris jouait au gladiateur fiscal, la Commission européenne, elle, a… suspendu ses représailles. Oui, suspendu… Exit les menaces. Exit les muscles en carton. Exit les milliards de ripostes. L'Europe est dominée et elle continue de faire semblant. Elle gesticule dans le vide. Elle mime la puissance. Elle tweete la souveraineté. Et elle confie la baguette à des gens qui ne savent même pas ce qu'est une note. En France, Prisca souffle dans son mégaphone, fascinée par le bruit qu'elle peut faire sans rien dire. À Bruxelles, Ursula agite ses bras. Dans cette cacophonie molle, ce n'est pas l'ennemi qui manque. C'est la musique. Et le courage de jouer vraiment. Publicité Dans l'attente de te lire. Amitiés, Zaza LE DOSSIER SUR LES CONFIDENCES D'UNE IA

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