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Sur la Switch 2, « Donkey Kong Bananza » sème des millions de coups de poing et récolte une pluie de 10/10

Sur la Switch 2, « Donkey Kong Bananza » sème des millions de coups de poing et récolte une pluie de 10/10

JEUX VIDÉO - De quoi donner la banane aux développeurs de Nintendo. Un peu plus d'un mois après la sortie de la Switch 2 et du tout premier jeu Mario Kart World, l'entreprise japonaise a dévoilé son nouveau jeu Donkey Kong Bananza. Un opus dédié comme son nom l'indique au gorille cravaté. Le verdict est tombé, le jeu récolte des « mentions très bien » à la pelle.
Depuis l'apparition du personnage en 1981, Dokey Kong a eu droit à assez peu de jeux, en comparaison avec le nombre d'opus dédiés au plombier moustachu Mario, visage de la firme. Le dernier en date est sorti en 2013, Donkey Kong Country Tropical Freeze. Alors c'est forcément avec un mélange de hâte et d'appréhension que les gamers ont découvert Donkey Kong Bananza. Pari gagné pour Nintendo, comme le montrent les notes accordées par les sites spécialisés dans le jeu vidéo.
Nos confrères d 'IGN lui ont par exemple décerné un 10/10, et une mention « Masterpiece », un qualificatif accordé par exemple à Red Dead Redemption 2, The Last of Us part 2, ou encore Grand Theft Auto V. Dans sa critique, le journaliste précise que c'est « un jeu de plateforme en 3D révolutionnaire ».
COGconnected donne aussi un 10/10 qualifiant l'aventure de Donkey de « parfaitement exécutée » et de « meilleur jeu de la franchise depuis 1994 ». Gfinity met lui en avant, toujours avec un 10, « la beauté spectaculaire et la variété des différents niveaux du jeu ». Nos confrères du Monde eux aussi ont beaucoup aimé « la dimension extrêmement foutraque et rigolote de l'ensemble ». La presse spécialisée est unanime, voilà qui devrait rassurer les joueurs.
Donkey cogne
Dans ce nouveau Donkey Kong, le premier en 3D depuis DK64 sorti en 1999, le grand singe partage l'affiche avec la jeune Pauline qui se promène sur son dos comme le faisait Diddy Kong. Jeu de plateforme d'exploration, de collecte et de surtout destruction, Bananza embarque Donkey et Pauline à travers de multiples niveaux et sous-couches de la Terre, affrontant de nombreux ennemis coriaces, et proposant tout un tas de missions annexes permettant de se remplir les poches. Au fil de son aventure, Donkey va par moments se transformer et acquérir d'autres capacités.
Le jeu, que nous avons pu tester, se révèle jouissif à plusieurs niveaux. D'une part car on peut quasiment tout exploser. En tapant du point, en ramassant et en jetant, en fonçant roulé en boule ou en surfant sur un rocher plat, Donkey détruit tout ce qui lui passe sous les poings. Même chose en ce qui concerne l'aspect collecte d'objets. Bananes, fossiles et coffres au trésor sont absolument partout et il y a toujours plusieurs façons de les obtenir. Lorsqu'on est un joueur qui aime sillonner chaque recoin de chaque espace pour ne rien louper, c'est franchement satisfaisant.
Enfin, on peut aussi corroborer les propos de certains de nos collègues sur la beauté du jeu réalisé par l'équipe à qui on doit le génial Super Mario Odyssey. Nous n'avons pas (encore) épluché toutes les couches de Donkey Kong Bananza, mais on sent que le jeu va se révéler particulièrement addictif. On vous laisse, on a 200 ou 300 bananes à aller déterrer.
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